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  • » DISQUE - PUCCINI IN LOVE ... | Roberto Alagna

    Album - CD - Présentation, player - écoute, clips et informations à propos du disque "Puccini in Love" Album 2018 Duos ❝ PUCCINI IN LOVE ❞ Aleksandra Kurzak & Roberto Alagna Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak consacrent leur album aux plus beaux duos d'amour de Puccini, avec le Sinfonia Varsovia Orchestra sous la direction de Riccardo Frizza. Ecoutez & Commandez l'album > Menu PARUTIONS RECENTES Bas de page PUCCINI IN LOVE La première représentation de La Fille du Far-West de Puccini, au Metropolitan Opera de New York, fut prestigieuse. Enrico Caruso et Emmy Destinn incarnaient les deux rôles principaux, et nul autre qu’Arturo Toscanini était à la baguette. Le public fit un accueil enthousiaste à l’ouvrage dont le compositeur estimait que c’était le meilleur qu’il ait écrit jusque-là. Cet opéra marque un tournant dans son œuvre et inaugure le style des dernières années : les effectifs orchestraux sont importants, les couleurs, plus vives, regardent plus en direction du vérisme, et les passages lyriques sont plus rares que dans La Bohème ou Manon Lescaut , mais d’autant plus surprenants et intenses. Chaque opéra de Puccini a en réalité sa propre couleur , comme le montrent les extraits réunis sur l’album Puccini in Love de Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak, et tous ont en commun un merveilleux lyrisme, car le compositeur italien était un génial inventeur de mélodies. Ainsi sa musique est-elle à la fois prégnante et raffinée, et elle a toujours un grand succès auprès du public. C’est vrai aussi de celle, moins célèbre, du Trittico , qui se compose d’Il tabarro (La Houppelande), de Suor Angelica et de Gianni Schicchi . Il tabarro est, avec Madame Butterfly, le seul opéra de Puccini qui traite de la réalité sociale contemporaine. C’est un drame de jalousie, situé sur une péniche parisienne, qui se termine par un meurtre. Le compositeur l’a magistralement mis en musique, fondant le décor, l’atmosphère, les personnages et la progression de l’action en un ensemble unitaire éloquent. C’est donc aux duos pucciniens les plus émouvants que le ténor franco-italien Roberto Alagna et la soprano polonaise Aleksandra Kurzak, ont consacré leur premier disque commun. Y sont réunis des extraits de Manon Lescaut , La Fille du Far-West , Madame Butterfly , Il tabarro et La Bohème , une musique pleine de passion et de grands sentiments, génialement écrite pour la voix et subtilement orchestrée. Les deux chanteurs sont accompagnés par l’Orchestre symphonique de Varsovie placé sous la direction de Riccardo Frizza. Roberto Alagna , qui compte depuis des années parmi les meilleurs ténors de la scène internationale, s’est notamment imposé dans le répertoire italien et français. Sa première prestation commune avec Aleksandra Kurzak date de 2012, dans une production londonienne de L’Élixir d’amour de Donizetti. Il semble que l’élixir en question ait fait son effet jusque dans leur vie privée puisqu’ils se sont mariés et ont eu une fille. Ils ont ensuite partagé la scène entre autres à New York et à Paris, et ont également eu un grand succès à Munich dans La Juive de Halévy. Rigoureusement parlant, Aleksandra Kurzak a commencé à développer un amour de la musique avant sa naissance : sa mère est chanteuse d’opéra et son père corniste. Elle a ainsi régulièrement fréquenté l’Opéra de Wrocław avant même de pouvoir articuler un son. Elle est désormais cantatrice à son tour et a montré ses qualités exceptionnelles sur les scènes célèbres de New York, Milan, Vienne, Londres et Chicago dans divers ouvrages du répertoire, de Mozart à Rossini, ainsi qu’en Lucia di Lammermoor et en Gilda dans Rigoletto de Verdi.. Ces dernières années, elle n’a cessé d’élargir la palette de son répertoire, abordant avec beaucoup de réussite des rôles plus dramatiques tels Rachel (La Juive , Halévy), Nedda (Pagliacci , Leoncavallo), Mimì et Liù (La Bohème et Turandot , Puccini) ou encore Desdemona (Otello ). TRACKLISTING 1. Tosca, Atto I: "Mario!" - "Son qui!" 2. La Bohème Atto I: "O soave fanciulla" 3. Manon Lescaut, Atto I: "Vedete? Io son fedele" 4. Il Tabarro: "È bel altro il mio sogno" 5. Manon Lescaut, Atto II: "Tu, tu, amore? Tu?" 6. La Rondine, Atto II: "Paulette!" 7. La Fanciulla del West, Atto II: "Minnie che dolce nome" 8. Il Tabarro: "Dimmi: perché gli hai chiesto" 9. La Rondine, Atto III: "Nella tua casa" 10. Madama Butterfly, Atto I: "Viene la sera" Conductor: Riccardo Frizza Soprano: Aleksandra Kurzak Tenor: Roberto Alagna Orchestra: Sinfonia Varsovia Recording : Warsaw, Witold Lutosławski Concert Studio of Polish Radio, February 20–22 and 26–28, 2018 Recording Producer : Nicolas Bartholomée Recording Engineer : Maximilien Ciup Executive Producer : Alexander Busche Booklet Text : Roberto Alagna Editorial : texthouse [c) Sony Classical Photo (c) Digipack Sony Puccini TOUT N'EST QU'AMOUR ... ❝ Puccini aimait dire qu'il ne savait composer que pour le théâtre. En plein courant vériste, il affirme son style en y ajoutant une touche de romantisme. Son inspiration naît de ses personnages, de leurs histoires d’amour, de leurs drames. Les héroïnes et héros de ses livrets sont souvent des gens simples, presque quelconques. Comme Balzac, il crée ainsi sa comédie humaine. Tous ses opéras pourraient n’être une seule et même œuvre , se fondant dans la réalité de sa tumultueuse existence. Toutes les Mimì, Minnie, Tosca, Giorgetta, Butterfly et autres Manon représentent la femme absolue. Celle qui le fascine, l’attire, l’inspire, le rend amoureux. Ses personnages masculins sont le reflet de sa personnalité. Rodolfo, c’est lui. Tout comme Mario. Calaf aussi, tellement épris de Turandot qu’il en risque sa vie. Il est l’homme, le héro, l’amant, le séducteur, le vil, le fourbe, le goujat, le poète, l’artiste, le Chevalier, le soupçonneux, le traître … D’ailleurs, n’est-il pas multiple lui-même dans ses prénoms ? Giacomo, Antonio, Domenico, Michele, Secondo, Maria Puccini. Tous ses duos pourraient se conter comme une seule histoire d’amour . Ses couples ne pourraient être qu’un seul et même couple. La narration se ferait alors sans interruption, comme à l’écoute d’une intégrale. Tenez ! Placez donc le CD dans votre appareil … et appuyez sur ‘Play’ [...] ET AMOUREUX ... NOUS SOMMES [...] Que fait cette femme derrière cette porte ? Elle est inquiète, elle frappe. Son amant ne répond pas. C’est Floria Tosca. Quel caractère ! Elle a l’air furieuse … Elle appelle : Mario ! Mario ! Mario ! [ Tosca ] Mario a rassuré Floria. Elle est calme à présent, éperdument amoureuse. Il l’enlace et - comme le poète Rodolfo à sa Mimì - lui susurre à l’oreille : O Soave Fanciulla … [ La Bohème ] Hélas, les amoureux doivent se résigner à se séparer. Ils se promettent alors de se rejoindre dès que possible. Vedete ? Io son fedele … [ Manon Lescaut ] Oui, fuyons, fuyons tous deux ! Elle hésite … È ben altro il mio sogno ! [ Il Tabarro ] La vie est décidément trop dure. Giorgetta abandonne son Chevalier. Elle devient alors une ingrate courtisane, attirée par ce qui brille. Elle est Manon, ne recherchant que plaisir, insouciance et facilité. Le Chevalier la retrouve. Il est là devant elle. Il est pâle, défait. Elle le reconnaît à peine : Tu ? Tu, Amore ? [ Manon Lescaut ] Enfin Manon, nous voilà seuls ensemble ! Non, tu n’es plus Manon… Comme l’hirondelle, tu es revenue. Tu es Magda, ou plutôt Paulette … Paulette! I nostri amici … [ La Rondine ] Tu dis te nommer Minnie … Che Dolce Nome ! [ Fanciulla del West ] Hélas je ne puis rester. Ne m’y oblige pas, je pourrais ne plus jamais te quitter. Dimmi: perchè gli hai chiesto ? [ Il Tabarro ] Je voudrais tant que tu sois mienne. Tu dis ne pas en être digne … Nella tua casa io non posso entrare … [ Rondine ] Reviens ! Je t’en supplie ! Je t’aime … Ne crains rien. Approche. Le soir descend … Viene la sera … [ Butterfly ] Tout n'est qu'amour et amoureux ... nous sommes ! ❞ Haut de page Bas de page Haut de page

  • CLIPS - MUSIC VIDEOS - CAPTATIONS | Roberto Alagna

    Répertoire de clips vidéos, vidéos musicales, captations, extraits de DVD, streaming et prestations filmées Menu ZOOM SUR Bas de page PLAYLIST VIDEO CLIPS CLIPS - SINGLES CLIPS - CREATIONS DVD - EXTRAITS TRAILERS Cliquez sur le bouton VIDEO CLIPS pour voir sur YouTube PLUS DE PLAYLISTS Cliquez sur le bouton GO bleu pour explorer toutes les PLAYLISTS de la chaîne YouTube A LA UNE CE MOIS-CI : Visionnez la SELECTION du mois directement ci-dessous VIDEO MUSIC - SINGLE VIDEO MUSIC - REHEARSAL - AMATEUR SHOOTAGE VIDEO MUSIC - CREATION - SINGLE VIDEO MUSIC - REHEARSAL - AMATEUR SHOOTAGE VIDEO MUSIC - CREATION - SINGLE INEDIT VIDEO MUSIC - STAGE PERF - AMATEUR SHOOTAGE VIDEO MUSIC - CONCERT - EXTRACT VIDEO MUSIC - CREATION Menu ZOOM SUR Haut de page

  • PLANNING | Roberto Alagna

    Planning - Agenda - Schedule - Dates - Spectacles - Représentations - Concerts - Productions - Opéras Pour faire défiler l'agenda vers le bas, cliquez sur " en voir plus " (depuis un terminal mobile) ou utilisez la barre latérale de défilement située sur le bord droit du tableau (depuis un ordinateur) . Pour accéder aux descriptifs complets, cliquez sur "Réponses" ou rendez-vous directement sur BANDSINTOWN (depuis un ordinateur pour la version web) : https://www.bandsintown.com/a/252957-roberto-alagna Bas de page Haut de page Pour en voir plus, BARRE de DEFILEMENT

  • LIVRES - AUTEUR | Roberto Alagna

    Roberto Alagna - Auteur : informations, références et extraits d'ouvrages dont Roberto Alagna est l'auteur. Menu PUBLICATIONS Bas de page Avec Alain Duault ❝ MON DICTIONNAIRE INTIME ❞ Parution le 21 février 2019 Éditions Le Passeur ISBN: 9782368906101 / 141 x 206 cm / 252 pages Infos Editeur | Commander le livre > Ancre Livres Dico Mon Dictionnaire Intime Avec Alain Duault C'est au fil des pages de son Dictionnaire Intime et des mots égrenés par ordre alphabétique que le ténor se livre et se dévoile en compagnie d'Alain Duault. Roberto Alagna se dévoile comme jamais et livre ce qui l’anime, les valeurs auxquelles il croit et ce qui donne du sens à son existence. (L'Editeur) ❝ C’est une intimité souvent émouvante, parfois surprenante, toujours attachante que révèle ce livre unique, une sorte de photographie intérieure d’un artiste à la voix incomparable. ❞ Quinzaines ❝ L'émouvante introspection de Roberto Alagna : le ténor se raconte avec passion dans un ouvrage qui lui ressemble. ❞ Laure Joanin-Llobet ❝ Dans un dictionnaire pas comme les autres, le ténor nous en dit plus sur lui: l’opéra bien sûr mais aussi sa vie personnelle, ses idées, ses pensées. Et l’on découvre ainsi que Roberto Alagna ne manque pas d’humour. Il a été ovationné dernièrement à New York où il interprétait le rôle de Don José dans l’inoubliable opéra Carmen de Georges Bizet. Roberto Alagna est une bête de scène. Car il faut, certes, du courage et une bonne condition physique pour monter sur scène pendant au moins trois heures mais il faut surtout du travail. Beaucoup de travail. Le ténor franco-italien, qui a débuté en chantant dans des pizzerias et des cabarets, publie son Dictionnaire intime dans lequel il en dit plus sur lui. Comme il nous l’a précisé: "Dans ce livre, tout est vrai". Ce dictionnaire a été écrit comme un jeu de question-réponse: Alain Duault, spécialiste de la musique classique, lui envoyait des mots et Roberto Alagna donnait ses réponses. C’est à travers celles-ci que vous découvrirez quel homme se cache derrière l’exceptionnel chanteur. ❞ Alain Maestracci Continuer Continuer Continuer Menu PUBLICATIONS Autobiographie ❝ JE NE SUIS PAS LE FRUIT DU HASARD ❞ Parution le 17 janvier 2007 Éditions Grasset ISBN: 9782246685418 / 141 x 225 cm / 304 pages Infos Editeur | Commander le livre > Ancre Livres Fruit du Hasard Je ne suis pas le fruit du hasard Avec Danièle Mazingarbe ❝ Au printemps dernier, j'étais à New York pour chanter Faust au Metropolitan Opera. Les fenêtres de ma chambre, au trentième étage, donnaient sur les arbres de Central Park. Je repensais aux récits de mon arrière-grand-mère Antonietta : son arrivée en bateau dans cette ville, voici bien longtemps, l'émouvante vision de la Statue de la Liberté dans le petit matin, sa rencontre avec son futur mari, ce Mister Jimmy à la voix légendaire. Je repensais à la lignée qu'ils engendrèrent, les hommes et les femmes de ma famille, tous amoureux de la voix, qui bercèrent mon enfance de grands airs et de chansons. Je ne suis pas le fruit du hasard, mais l'enfant d'une longue évolution des générations. ❞ Roberto Alagna En entreprenant d'écrire sa vie, Roberto Alagna ne voulait pas se contenter de raconter sa carrière, mais plutôt de faire comprendre d'où il vient. C'est l'objet de cette véritable saga, quête des origines, récit plein de romanesque d'une vie aux accents souvent dramatiques sur fond de bel canto. L'histoire commence à New York dans les années 1920, quand l'arrière grand-mère de Roberto, venue de Sicile avec son père, fait la connaissance du beau Jimmy à la voix de velours. Ils rencontreront le mythique ténor Caruso et auront quelques relations avec une certaine amicale des Siciliens d'Amérique? Nous suivons ces Italiens passionnés d'art lyrique, où tout le monde chante et connaît des livrets d'opéra par coeur, jusqu'à la naissance de Roberto, en 1963, à Clichy-sous-Bois, dans la banlieue parisienne. Son père est maçon, comme son grand-père, comme ses oncles. L'enfance entre immigrés, une adolescence rythmée par Elvis Presley, la découverte de sa voix, ses débuts de chanteur dans des cabarets, le difficile chemin jusqu'à la gloire : l'autobiographie de Roberto Alagna déborde d'anecdotes, d'images fortes, séduit par sa sincérité. Ce livre surprenant devrait intéresser un très large public, au-delà du cercle des amateurs d'opéra. (L'Editeur) ❝ Non Roberto n'est pas le fruit du hasard, car membre d'une famille de Siciliens immigrés où les belles voix ne manquent pas, qui a le chant dans la peau et dans le sang. Pour le reste, son récit montre bien que s'il occupe aujourd'hui cette position de star lyrique, ce n'est pas sans un concours de circonstances étonnant. La découverte de la musique à travers le film Le Grand Caruso et son interprète Mario Lanza, les chansons siciliennes entonnées dans les pizzerias puis les cabarets, les rencontres inattendues avec des professeurs de musique peu conformistes : n'est-ce pas, quand même, une suite de hasards ? Songez que quand il fit ses débuts sur scène dans La Traviata pour une tournée du festival de Glyndebourne, Roberto n'avait jamais assisté à un opéra et ne connaissait pas l'intégralité de son rôle. Il venait néanmoins de remporter le concours Pavarotti C'est donc la réussite éclatante d'un fils de l'immigration qu'il décrit : l'enfance à Clichy-sous-Bois, l'apprentissage du français, les bagarres, puis la bande de copains guitaristes et chanteurs, l'omniprésence familiale, les débuts fracassants à Monte-Carlo et Milan, le mariage avec Florence, morte trop vite d'une tumeur, puis le grand amour. Tout cela se laisse lire agréablement et nous fait découvrir un tempérament attachant. ❞ La Croix ❝ Plus qu’une simple narration, évocatrice des choix de vie et de répertoire, le texte du ténor est à l’égal de sa personnalité : entier, déterminé, tranché mais aussi tendre et généreux. ❞ ClassiqueNews Menu PUBLICATIONS Haut de page

  • RÔLES - OPERAS - PRODUCTIONS | Roberto Alagna

    Pour en savoir plus sur une sélection de rôles et personnages, opéras ou productions dans lesquelles Roberto Alagna s'est produit ou investi Menu ZOOM SUR Bas de page CYRANO de BERGERAC Musique : Franco Alfano LIVRET : Henri Cain d'après Edmond Rostand ❝ J'e n ai trouvé la partition par hasard. Et quand je l’ai vue, j’ai eu des larmes aux yeux, parce que je l’ai trouvée d’une beauté incroyable, et je l’ai gardée avec moi pendant cinq ans. Cinq ans et personne ne voulait la monter. Alors, je l’ai montée moi-même. Et vous savez que cette version de 1935 que nous avons faite avec mes frères, nous sommes les seuls au monde à l'avoir chantée. Alfano a été obligé de la modifier en 1936 pour faire une version italienne à Rome, pour José Luccioni. Ensuite, lorsque l'œuvre a été donnée en France, ce fut dans la traduction de la version italienne, mais la version originale de 1935 n’avait jamais été jouée. ❞ Roberto Alagna (Interview OperaLively , 2016) ❝ C'est une œuvre très forte et un énorme défi pour le ténor. C'est un rôle difficile à chanter en raison de l'étendue de sa gamme vocale et la hauteur de sa tessiture. C'est aussi un rôle très long et la nature du personnage est complexe. Il se compose d'une combinaison de plusieurs traits de caractère qu'il faut savoir saisir théâtralement. C'est un ouvrage merveilleux que je suis toujours ravi de faire découvrir.❞ Roberto Alagna (Interview Die Bühne , 2017) ❝ J'interprète avec énormément de plaisir la version originale de 1935, que mes frères et moi avons recréée et mise en scène pour la première fois à Montpellier en 2003, bien que ce soit un des rôles les plus difficiles qui soit et qu'il m'ait été donné de chanter. Mon "Cyrano" ("Version Alagna" dans la réédition de la partition chez Ricordi) est fondamentalement différent de la version italienne de 1936. Nous avons travaillé sur le manuscrit, et avons tout rétabli: dans notre version, il n'y a pas un mot qui ne soit pas de Rostand.❞ Roberto Alagna (Interview MerkerOnline , 2017) LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE Musique : DAVID ALAGNA LIVRET : Roberto, David et Frederico Alagna d'après Victor Hugo ❝ J’étais à Chicago il y a près de vingt ans et je chantais Roméo et Juliette. J’étais tout seul et j’avais écrit à Frederico en lui disant que je me sentais comme un condamné. Pour me faire une blague, il m’a envoyé le livre du Dernier jour d’un condamné de Victor Hugo. En le lisant, j’ai entendu une sorte de musique et je me suis dit que cela ferait un bel opéra. J’ai appelé David en lui disant que l’on devrait peut-être en faire un opéra. Il m’a alors lancé en boutade : « tu n’as qu’à commencer à faire le livret ». Dans la foulée, je me suis mis à faire une sorte d’ébauche de livret que j’ai renvoyé à mes deux frères. Frederico a trouvé cela intéressant et David a commencé à écrire la musique de l’Intermezzo. Comme on a vu qu’il était très inspiré musicalement, on lui a dit de continuer tant que l’inspiration était présente. Il a en finalement écrit tout l’opéra seul. J’ai donc fait le premier livret et Frederico l’a retravaillé avec David. À un moment, l’ouvrage était trop long et quasiment inchantable pour un seul chanteur et ils ont eu l’idée d’imaginer une condamnée, dans une prison américaine d’aujourd’hui. C’est là qu’on s’aperçoit que l’ouvrage de Victor Hugo est toujours actuel. ❞ Roberto Alagna (Interview Opéra de Marseille, Le savoir-frères , 2017) OTELLO Musique : GIUSEPPE VERDI LIVRET : Arrigo Boito D'Après William Shakespeare ❝ Otello est un rôle magnifique, shakespearien, c'est-à-dire dans lequel il faut autant jouer la comédie que chanter. J'ai joué Roméo dans «Roméo et Juliette» pendant des années, une interprétation pour laquelle j'ai reçu le prix Laurence Olivier à Londres. Que ce trophée porte le nom de l'un des plus grands acteurs shakespeariens a rendu pour moi cette distinction encore plus belle. Et puis, il y a cette musique divine dans laquelle on retrouve toutes les qualités de Verdi. Cette œuvre figure parmi les dernières qu'il a composées. C'est la synthèse de sa carrière. Toute sa vie d'homme et de compositeur, toutes les expériences qu'il a traversées, s'y trouvent. Il va à l'essentiel, au plus profond des personnages, pas seulement d'Otello, mais de Iago et des autres. Tous les personnages sont magnifiquement caractérisés par la musique et la profondeur de leurs sentiments. Otello porte avant tout le drame de l'intégration, du racisme. Il ne faut pas réduire ce personnage à la jalousie. Il faut surtout ne pas le juger. Je défends toujours les personnages que j'incarne, même les plus noirs. D'ailleurs, si les compositeurs n'aimaient pas les personnages les plus noirs, ils ne leur composeraient pas une telle musique !❞ Roberto Alagna (Telepro, Mes personnages me donnent des leçons , 2014) PAGLIACCI Musique : RUGGERO LEONCAVALLO LIVRET : ruggero leoncavallo ❝ Quand Canio chante "Ridi Pagliaccio", chaque artiste peut s'identifier à lui dans cet air, parce que, quoi qu'il advienne, décès d'un parent, enfants malades, ou tout autre problème, le spectacle doit continuer. Les gens ont payé et on doit tout donner au public. Canio souffre d'un véritable dilemme. Il a une sorte de complexe en lui. Il ne sait pas au fond s'il est un homme, un bon mari, parce qu'il passe tout son temps avec cette troupe, à se produire dans tout le pays. Peut-être parce qu'il est un véritable artiste, Canio ne connaît pas la frontière entre la réalité et la fiction. Pendant tout l'opéra, il pense tout le temps: "Suis-je un homme, ou pas ? Ou suis-je un Paillasse ? Suis-je Canio, ou Pagliaccio ? "Il dit :" Si cela se passait dans la vraie vie, Canio ferait cela, mais Pagliaccio fait cela. "Il parle toujours de "la vita" et "lo spettacolo" - c'est pourquoi il est très important que ce soit lui et non le baryton qui déclame à la fin "la commedia è finita!" A ce moment-là seulement, il décide qu'il est un homme, et non plus Pagliaccio; il ne joue plus ! J'ai chanté plusieurs fois les deux rôles ensemble avec Turiddu (Cavalleria Rusticana). Il est très difficile, une fois que l'on meurt sur scène, de renaître immédiatement pour un autre personnage, d'autant qu'il est très différent du premier. On doit revenir en scène pour commencer un autre opéra, et ces deux opéras sont très puissants. Pour moi, Canio est comparable à Otello. C'est pareil, voyez-vous. C'est très dangereux. Vous pouvez vous casser la voix avec Canio, juste avec l'entrée, si vous n'y prenez pas garde. C'est une scène très sonore : grand orchestre, gros chœur, tout le monde chante, et il faut chanter et se faire entendre au milieu de tout cela. ❞ Roberto Alagna (Interview OperaLively , 2016) SAMSON ET DALILA Musique : CAMILLE SAINT-SAËNS LIVRET : Ferdinand Lemaire ❝ Étudier Samson, c’est un peu comme tomber amoureux. Au plus vous travaillez la partition, au plus elle vous apparaît multidimensionnelle et fascinante. Il est surprenant de voir à quel point cet opéra est riche en termes de mélodies, quelle atmosphère y règne. On y entend des phrases incroyablement émouvantes. La partition n'est pas très haute et ne comporte pas beaucoup d’aigus, mais les notes se situent dans le Passage, là où c'est le plus difficile pour le ténor. Mais le vrai défi est le phrasé et le texte : il faut en comprendre chaque mot et Saint-Saëns écrit de très longues phrases et lignes mélodiques. En outre : d’un côté Samson doit incarner une certaine maturité, mais aussi la jeunesse. Vous avez besoin de brillance et de clarté vocales pour correctement positionner Samson d’un point de vue musical❞ Roberto Alagna (Prolog Wiener Staatsoper, Entretien croisé , 2018) WERTHER Musique : JULES MASSENET LIVRET : E. Blau, P. Milliet et G. Hartmann D'après Johann Wolfgang von Goethe ❝ Werther est un rôle difficile, un rôle qui tue sur scène mais aussi dans la vie. Depuis mon arrivée [à Bilbao], je ne réussis pas à dormir. C'est un orage, une torture (...). L'amour que Werther ressent pour Charlotte me parle beaucoup ... Chaque soir, on ne peut pas interpréter Werther de la même façon... On ne peut pas le préparer, il faut le vivre ! ❞ Roberto Alagna (Eklektika.com, Un Werther d'anthologie , 2015) Menu ZOOM SUR Haut de page

  • CRITIQUES - REVUES DE PRESSE p2 | Roberto Alagna

    Extraits - Chroniques - Critiques - Revues de Presse Index CHRONIQUES Bas de page CRITIQUES - REVUE DE PRESSE 2021 2021-Cav&Pag-Verona 2021-Butterfly-Berlin 2021-Concert-Hamburg 2021 2021-ConcertPuccini-Liège 2021-Concert-Gaveau 2021-Concert-Assisi PRECEDEMMENT en 2021 >> Extraits21-p2line1 Chro-CavPagVeron21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX Cavalleria Rusticana, mascagni & Pagliacci, Leoncavallo | ARENA DI Verona 31 JUILLET & 14 août 2021 IERI OGGI DOMANI - FRANCESCO LODOLA | ❝THE LAST DIVO, TRIUMPHANT DEBUT of Roberto Alagna at the Arena Di Verona . Today, no other tenor in the world gives off his charisma. Not only for his voice - still the most beautiful in the world - but also for his moving naturalness and innate instinct that makes him naturally a divo, without artifice nor affected postures. A temperamental Turiddu who wins the hearts from the Sicilian song. An intense complex Canio, embodied to perfection, both in gesture and vocal accent ❞ EXCERPT (translated from Italian): " The last Divo! ": This is just one of the acclamations that welcomed Roberto Alagna's triumphant Arena debut. Let's clear the field immediately: it is a thought we share. Today, no other tenor in the world gives off the charisma of Alagna. It is not only his voice, which is still the most beautiful in the world, but it is the naturalness with which he moves on stage, his innate instinct that makes him naturally a divo, without artifice nor affected postures. His temperamental Turiddu wins the hearts from the Sicilian song (launched with a lot of Sicilian linguistic sounds), highlighting the machismo of the relationship with Santuzza and the fragility in the last greeting to his mother. In the same way Canio is embodied with profound intensity, constructing to perfection - both in the gesture and in the vocal accent- all the smallest neuroses of a character so complex in his dualism of man and actor. The last divo? Yes sure." LA BARCACCIA - LOREDANA ATZEI | ❝DOUBLE BILL TRULY ENGAGING AND EXCITING at the Arena Di Verona . A splendid Turiddu, with a passionate temperament, expressing many different nuances both vocally and acting. In Pagliacci, Roberto Alagna in great form sings everything at his best without sparing himself in breath, and with great generosity in interpretation ❞ EXCERPT (translated from Italian): "Double bill at the Arena truly engaging and exciting. The Cavalleria Rusticana opens with the song "O Lola c 'hai di milatti la cammisa ..." in the version modified by Alagna that corrects the shot and brings the text back to a more authentic Sicilian dialect. He plays a splendid Turiddu, with a passionate temperament but not devoid of compassion. Both vocally and acting, he is able to express all the different nuances. […] In Pagliacci, Alagna in great form sings everything at his best without sparing himself in breath, and with great generosity in interpretation. At the end of the aria "Vesti la giubba ..." the audience insistently requested an encore. […] In short, two great shows: one at 9 pm ... and the other at 11 pm. A really nice evening." MTG LIRICA - MARIA TERESA GIOVAGNOLI | ❝TWO HEARTFELT, INTENSE AND FULL OF LIFE INTERPRETATION. Passionate Turiddu, overwhelming Canio, both conveyed by a voice still in great shape after so many years of career, stable and magnificently projected forward, so much so as to thrust the tenor to dare how and when he wants ❞ EXCERPT (translated from Italian): " The couple of the evening, Roberto Alagna and Aleksandra Kurzak , really attracted a large number of spectators who certainly surpassed those of the premiere and we must say that they even paid homage to the two performers several times during the show in the Arena Di Verona . Alagna is both Turiddu in Cavalleria and Canio in Pagliacci: the audience expects two heartfelt, intense and full of life interpretations and he pleases them. As much his Turiddu is passionate, at times intriguing and boyish, so much Canio is overwhelming almost over the top, conveyed by a voice that we still find in great shape after so many years of career, stable and magnificently projected forward, so much so as to thrust the tenor to dare how and when he wants. " FORUM OPERA - YANNICK BOUSSAERT | ❝DES DÉBUTS TONITRUANTS. Dans Cavalleria Rusticana, la cantilène Sicilienne est irréprochable, le timbre et l’engagement vocal épouse la virilité du personnage. Une fougue vocale qui culmine dans un brindisi solaire et sonore, des accents aussi naturels que déchirants. Le “Vesti la giubba” de Pagliacci est chanté tout en crescendo. Le timbre et le phrasé se conjuguent au service du texte. Une longue ovation méritée, ponctuée de demandes de bis. ❞ EXTRAIT (publié en français): " Aussi étrange que cela puisse paraitre, Roberto Alagna ne s’était jamais produit aux Arènes de Vérone. Grâce à la volonté de la directrice Cécilia Gasdia, c’est désormais chose faite depuis le samedi 31 juillet. Des débuts, et quels débuts ! Aux côtés de sa compagne à la ville, le ténor français endosse consécutivement les rôles de Turiddu et Canio cependant qu’Aleksandra Kurzak lui donne la réplique en Santuzza et Nedda. […] Dans la pièce « sicilienne », c’est hors scène que les festivaliers le découvrent. La cantilène est irréprochable, le timbre et l’engagement vocal épouse la virilité du personnage. Le portrait du séducteur s’anime dans une fougue vocale qui culmine dans un brindisi solaire et sonore. Dans la dernière scène avec Mamma Lucia, Roberto Alagna fend l’armure de Turiddu et laisse passer toutes les fissures et la peur existentielle du personnage dans des accents aussi naturels que déchirants. […] Dans Pagliacci, on retrouve nos trois principaux chanteurs et leurs qualités. […] Roberto Alagna délivre un « vesti la giubba » tout en crescendo où le timbre et le phrasé se conjuguent au service du texte. Il recevra une longue ovation méritée, ponctuée de demandes de bis." TOUTE LA CULTURE - PAUL FOURIER | ❝MIRACLE DES GRANDS SOIRS, ENCHANTEMENT à l'Arena Di Verona . Avec la distribution flamboyante de ce soir, on a atteint des sommets. Splendide spectacle, une de ces grandes soirées qui portent très haut la quintessence de l’opéra dramatique italien. TURIDDU puriste, vocalement, la clarté de la prononciation est parfaite. Le duo avec Santuzza - presque dérangeant tant le couple est en fusion et que les sentiments ambivalents d’amour et de haine sont là si bien mis en évidence - est d'anthologie. PAGLIACCIO suprême, Alagna rappelle sa filiation avec les grands Canio du passé, Caruso en tête. Son 'Vesti la giubba' magnifié est un condensé d'art brut qui laisse pantois. Conscient du moment d'exception, le public tentera en vain de lui arracher un bis. L’orchestre répond aux tentatives désespérées de Nedda / Kurzak et aux emportements somptueusement dramatiques de Canio dans un saisissant "No, Pagliaccio non son". Le tenor va crescendo, et se consume sur scène. On touche là au sublime. ❞ EXTRAIT (publié en français): " Avec la distribution flamboyante réunie ce soir et la direction de Marco Armiliato, on a atteint des sommets. [...] Dans CAVALLERIA RUSTICANA, en puriste, Roberto Alagna ouvre la représentation, en coulisses, par la cantate "Lola ca di latti la cammisa" en dialecte sicilien. Lorsqu’il réapparaît ensuite, c’est un homme pressé, sanguin, bien peu intéressé par cette Santuzza qui se dresse sur sa route. Vocalement, une fois de plus, la clarté de la prononciation est parfaite et doit être particulièrement appréciée par les Italiens présents. [...] Le duo entre Santuzza et Turiddu est presque dérangeant tant le couple est en fusion et que les sentiments ambivalents d’amour et de haine sont là si bien mis en évidence. Le "A te la male pasqua" prémonitoire que Kurzak lance à Alagna est l’aboutissement magnifique de ce duo d’anthologie qui saisit toute l’assistance. D’autant que le jeu est au diapason notamment lorsque ténor se retournant du haut des escaliers, semble percuté par cette menace… moment de réflexion du personnage qui perçoit la bascule qui va lui être funeste. [...] Son "Mamma, quel vino" est extrêmement émouvant [...] Le ténor fait une fois de plus la démonstration extraordinaire de ce mélange de force, de fragilité et d’humanité qu’il sait mener au plus haut, mélange qui n’appartient qu’à lui, maître qu’il est dans ce répertoire qui lui est cher, car il sait en faire émerger l’essence pour le magnifier. [...] PAGLIACCO suprême - Après l’entracte, [...] on retrouve Alagna fanfaronnant dans son air d’entrée ("Une grande spettacolo"). Et le miracle se reproduit… Roberto Alagna rappelle là sa filiation avec les grands Pagliaccio du passé, Caruso en tête, en magnifiant le "Vesti la giubba" en un subtil dosage de déclamation triste et de vibrato contrôlé pour l’émotion. Ce condensé d’art brut laisse pantois et c’est en vain que le public, conscient du moment d’exception, tentera de lui arracher un bis. On sait que le ténor, par principe, n’en donne jamais. [...] Le ténor va crescendo, se consumant sur scène ; l’on touche là au sublime. Jouant d’abord l’indifférence feinte, Aleksandra Kurzak trouve alors les accents de désarroi puis se lâche dans un cri de défi saisissant, menant la tension à son comble lorsqu’Alagna, assassin de Nedda, conclut avec « La commedia e finita » dans un sanglot. C’est ainsi que se termine l’une de ces grandes soirées qui portent très haut la quintessence de l’opéra dramatique italien, en un lieu fait pour recevoir tous les excès, même les plus beaux. Dans leur petite caravane, ces saltimbanques – si utiles, si nécessaires, si talentueux – sont arrivés et ils nous ont donné là, plus qu’un splendide spectacle. Dans une période singulière, ils nous ont offert le miracle d’un moment de ravissement voire même d’enchantement." LA VERDAD - JOAQUIN GOMEZ GOMEZ | ❝THE OUTSTANDING BRILLIANCE OF ROBERTO ALAGNA. ‘Il grande tenore' brought the Arena Di Verona audience to its feet. He sang both Cavalleria and Pagliacci. In both his singing was exemplary and his interpretation was thrilling. A monumental Cavalleria. A masterful Pagliacci, overwhelming by the power of his humanity ❞ EXCERPT (translated from Spanish): "In 'Cavalleria ', his opening serenade (Siciliana) exuded the scent of passion, like Etna erupting near Catania at its foothills, with almost magical accent on all the vowels including ‚u‘, which Kraus said was the most difficult to adjust on the facial resonators. His duet with Santuzza, performed by his beloved wife Aleksandra Kurzak with great emphasis and wonderful vocal expression, had a controlled overflow. The highlight was his toast ('Viva il vino spumeggiante'). He climbed on the table at the Easter Sunday celebration and his voice echoed aloud from above, reaching every corner of the vast coliseum. The brightness of the vowels ‚i‘ and ‚e‘ reached the lineage of Corelli, the phrasing with incorporated legato reminded me of Bergonzi. It was so exciting and brimming with great fantasy, as if it were an act of love; so much that even my heart sped up in crescendo and I had to take Sumial 40 mg in prevention of tachyarrhythmias, which I sometimes have. Then his finale, the famous 'Addio a la Mamma', had the required brilliance and also chiselled each phrase, with a vocal expression of a son saying goodbye to his mother, because he knows he is going to die. A monumental 'Cavalleria'. What to say about „Pagliacci “: His 'ventrite ore' was anthological, placing a ‚B‘ note on the vowel ‚e', pure, bright, full, prolonged, showing a homogeneous, uniform and harmonious register in his vocal range, in a Pertile-like style, as Alagna‘s vocal teacher was the pupil of the excellent tenor Aureliano Pertile, much admired by Kraus for his great singing technique. Alagna‘s 'Vesti la giubba' began with great lyricism in piano to grow then in intensity, setting the audience on fire. Such was the enthusiasm that the viewers shouted "encore, encore". Alagna, humbly and with his personal modesty, persisted and continued the scene. Nedda was wonderfully interpreted by Kurzak and her singing offered a real masterclass in her part, reminiscent in some aspects of the famous Monserrat Caballé. Finally Roberto, in his 'No! Pagliaccio non son', put all his marvelous technique and the passion of a free man into play with an overwhelming power. The power of his humanity. (…) Roberto Alagna - a great master in the history of operatic singing, a man, an artist for eternity. IMPICCIONE VIAGGIATORE - ANDREA MERLI | ❝AN ABUNDANTLY WELL-DESERVED TRIUMPH. In spectacular vocal and physical shape, Alagna once again proved to be a remarkable Artist, endowed with an overwhelming personality, an undeniable theatrical instinct and a great charisma. Both priceless for the palpable emotion that they managed to convey in Cavalleria Rusticana, the couple Alagna/Kurzak hit the mark again in Pagliacci. Alagna offers a bright, resounding and at the same time very sweet Turiddu. In Pagliacci, his “Vesti la giubba” remains one of the magical moments of the evening in terms of intensity and scenic truth ❞ EXCERPT (translated from Italian): " The only performance in the Arena di Verona of Cavalleria Rusticana and Pagliacci by Roberto Alagna and his partner in life Aleksandra Kurzak : no need to say that the return - finally! - of the Italian-French tenor, was awaited “con febbril ansia evidente” [with febrile anxiety evident], paraphrasing Chenier's Incredible, after the Fedora at the Teatro alla Scala postponed due to Covid, but it will be proposed next season, we have attended a predictable and abundantly well-deserved triumph. In spectacular vocal and physical shape, Alagna once again proved to be a remarkable Artist, endowed with an overwhelming personality, an undeniable theatrical instinct and a great charisma. Alagna offers a bright, resounding and at the same time very sweet Turiddu , far from the image of the overbearing and prevaricating super macho, already in the "Siciliana" sung by changing a few words and thus making it even more Sicilian (on the phone he told me that Roberto Stagno, the first performer in 1890 and a true Sicilian, reproached Mascagni and indirectly Targioni-Tozzetti and Menasci for the lack of relevance of the stornello to his own language and to Verga's one) Alagna offers an unusual aspect of the man in love at the same time with two women, still attracted by Lola, who has not waited for his return from the military, and sincerely attached to Santuzza, whom in fact he recommends to his mother in the famous farewell. An affection that transpires, even in the vast Arena's space, for the perfect symbiosis with the Santuzza by Aleksandra Kurzak, to underline the fact that they went on stage without ever having rehearsed on stage before. Between the two, "chemistry" develops in the duet "Bada Santuzza" where Turiddu struggles to refrain from kissing, hugging and comforting her. Both priceless for the palpable emotion that they managed to convey. In Pagliacci , the couple Alagna - Kurzak hit the mark again [...] Once again the wife murderer acquires unusually human traits, despite the blasphemous crudeness of the text. We understand the emotional upset of Canio who, for a moment almost tries to win back his bride during the Arlecchinata of the second part. Nedda, with the talented Silvio by Mario Cassi, performs a poignant duet after the famous ballatella and finally finds new strength in affirming her independence at the cost of her life. There is something surprising in this singer who a few years ago still sang the Queen of the Night, for her interpretative character. Finally, Alagna's “Vesti la giubba” remains one of the magical moments of the evening in terms of intensity and scenic truth " THE BLOGART POST | ❝ROBERTO ALAGNA’S STAR SHONE ABOVE ALL, absolute protagonist of the evening in the double role, thrilling the audience with his stage presence and beautiful voice ❞ EXCERPT (translated from Italian): " In the cast gathered for this last performance of the diptych, Roberto Alagna ’s star shone above all, absolute protagonist of the evening in the double role of Turiddu and Canio; the Italian-French tenor, thanks to his stage presence and his beautiful voice, was able to offer a performance capable of thrilling the Arena di Verona audience. […] At the end of the performance, warm applause praised the cast, confirming the success of this last run and highlighting once again how the challenge of the Verona Arena this year was won again despite a thousand difficulties. " IERI OGGI DOMANI - FRANCESCO LODOLA | ❝In the cast gathered for this last performance of the diptych, Roberto Alagna ’s star shone above all, absolute protagonist of the evening in the double role of Turiddu and Canio; the Italian-French tenor, thanks to his stage presence and his beautiful voice, was able to offer a performance capable of thrilling the Arena di Verona audience. […] At the end of the performance, warm applause praised the cast, confirming the success of this last run and highlighting once again how the challenge of the Verona Arena this year was won again despite a thousand difficulties. ❞ EXCERPT (translated from Italian): "Few singers have the ability to be true on stage. Few artists know how to instantly create the word on the stage, make it spontaneous, as if those syllables were born in that very moment on their lips. Few, even among the great, managed to create this. It is a gift. Roberto Alagna possesses this gift, and so the second performance of his Turiddu and his Canio at the Arena di Verona (replacing the originally planned tenor), is different from the first, because new reflections emerge of the two kaleidoscopic interpretations collectively. Enjoying this greatness as an interpreter and as a singer (his voice is always the most beautiful and luminous) is a joy. There is an infinite youth, the youth of an artist who, despite having a very long experience on his shoulders, is there to take the audience by the hand and drag them to enthusiasm." Chro-Butterfly21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX MADAMA BUTTERFLY, PUCCINI | STAATSOPER UNTER DEN LINDEN, BERLIN 29 AOÛT 01-04 SEPT 2021 BERLINER ZEITUNG | ❝HOW OPERA SHOULD BE ❞ EXCERPT (translated from German) : "Great cheers in the Staatsoper Unter den Linden. Frenetic applause after Puccini's “Madama Butterfly” at the State Opera, Aleksandra Kurzak and husband Roberto Alagna gave a brilliant and overwhelming performance, the Staatskapelle under Massimo Zanetti was also celebrated, that's how opera should be! " Chro-TheArtOf2021 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT, THE ART OF ROBERTO ALAGNA | STAATSOPER, HAMBURG A LIFE FOR OPERA, 12 NOV 2021 HAMBURGER ABENDBLATT - MARCUS STÄBLER | ❝Strong debut. An amazingly intimate atmosphere. Not only an exceptional singer, but also a sensitive musician. With Wagner, impressive to see how he gets close to a language that is foreign to him. His brightly luminous sonority radiates into the room. Gripping expressiveness. The audience reacts with bursts of bravos. Standing ovation. ❞ EXCERPT (translated from German) : " The French-Italian star tenor began his solo evening at the Staatsoper Hamburg - the start of a new series - with four arias from the Baroque and Classical periods. He was able to create an amazingly intimate atmosphere with the pianist Morgane Fauchois-Prado. Above all, Alagna sang delicate notes with his eyes closed, took a verse of Pergolesi's Ascanio back to pianissimo and demonstrated that he is not only an exceptional singer, but also a sensitive musician. [...] In “Du moment qu’on aime” by Grétry, the tenor is visibly at home, he has this music not only in his voice, but also in his body. [...] With the support of his pianist partner, he enjoys to the full the soft colors, the melodies and the nuances. It is the same with the heartrending "Adina credimi" from "L’elisir d'amore" by Donizetti. The audience reacts with bursts of bravos. [Alagna] smiles like a shy boy who realizes he is loved. Sympathetic. In the second half of the program, the tenor turns the control further up, increasing dynamics and intensity of his performance. Alagna ventures into the German repertoire, with Wagner's Lohengrin, which he canceled in Bayreuth in 2018 and then performed on stage in a live stream from the Berlin State Opera [during the Covid outbreak] in 2020. It's impressive to see how he gets close to a language that is foreign to him and how his brightly luminous sonority radiates into the room. [...] His Verdi moment becomes the climax. The way in which Otello - Desdemone's jealous murderer - is broken by his act and finally stabs himself, the tenor sings it and lives it with gripping expressiveness and when needed, with a pinch of steel in the tone. After a magnificent interlude by the pianist and two lesser-known arias, he comes to the end of his strong debut at the Staatsoper with some encores, which he ends with a genuine tenor hit: "O sole mio", wonderfully ardent and belt out, which the audience celebrates with blown kisses and a standing ovation. " Chro-ConcPucciniLiège21 Extraits21p2Line2 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT PUCCINI | OPERA ROYAL DE LIEGE WALLONIE, LIEGE 5 DEC 2021 (avec Aleksandra Kurzak) ÔLYRIX - VOJIN JAGLICIC | ❝Vives couleurs italiennes dès son entrée sur scène, une interprétation vectrice d'émotion, un jeu d'acteur délicat et mesuré, un diapason médian posé et nourri pleinement exploité, des aigus puissants, une sonorité scintillante et lyrique en duo, une alchimie amoureuse transposée dans les personnages et les voix, un torrent d'éloges et d'acclamations aux artistes ❞ EXTRAIT (publié en français) : "Le couple lyrique Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak fait ses doubles-débuts à l' Opéra Royal de Wallonie-Liège [...] Le programme choisi est exclusivement consacré à Puccini (reprenant en partie le programme du dernier album de ce duo lyrique : Puccini in love). Cet après-midi musical s'élance 'in medias res' : d’emblée dans la dramaturgie musicale du maître italien, avec le duo "Mario, Mario" de Tosca. [...] Roberto Alagna déploie ses vives couleurs italiennes dès son entrée sur scène, accompagné des applaudissements de la salle. Son interprétation transmet l'émotion des personnages qu'il incarne, soutenue par un jeu d'acteur délicat et mesuré. Le diapason médian est posé et nourri, pleinement exploité dans les parties chantées en douceur. Les aigus sont puissants mais, notamment au début de la deuxième partie, ont des cimes légèrement crispées. Il retrouve pleinement sa voix et son jeu avec "Parigi! È la città dei desideri" de La Rondine, une ode sonore et suave à la capitale française où le ténor présentera prochainement son récital soliste "Du Théâtre à l'Opéra" [...] Les duos des solistes plongent le public dans une sonorité scintillante et lyrique. L'alchimie amoureuse du couple se transpose chez les personnages et dans les voix. Ce concert aux couleurs de Noël s'achève par plusieurs bis, dont deux sommets du répertoire de Puccini ("O mio babbino caro" et "E lucevan le stelle") qui siéent justement à la tessiture et à la sensibilité de chacun. Après plusieurs Dziękuję! ("Merci" en polonais) qui résonnent dans la salle, le duo offre en cadeau "L'Heure exquise" de La Veuve joyeuse, chacun le chantant dans sa langue. Roberto Alagna clôture cet après-midi lyrique par un chant corse a cappella, récompensant un public plus qu'admiratif qui offre en retour un torrent d'éloges et d'acclamations aux artistes." Chro-BeClassical21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT, BE CLASSICAL | SALLE GAVEAU, PARIS DU THÉÂTRE A L’OPÉRA, 10 DEC 2021 FORUM OPERA - CHRISTIAN PETER | ❝Un concert éblouissant. En un programme original qui tient sans cesse notre curiosité en éveil, notre ténor national - élégant dans un magnifique smoking noir, se glissant avec aisance dans la peau de ses personnages même en concert - aligne avec conviction des morceaux connus mais peu souvent donnés en concert et des raretés absolues. Au fil de pages de styles contrastés, il fait entendre un medium ample et solide, une maîtrise parfaite de la déclamation lyrique, de la sobriété et une émotion palpable, un legato impeccable orné de fines nuances, une grande intensité dramatique. Pleinement convaincant dans de longues scènes poignantes réclamant un investissement théâtral et vocal important, il passe ensuite sans transition de la scène du tombeau de "Giuletta e Romeo" de Zandonai où nous avons l’impression de revoir le Roméo qu’il était il y a trente ans avec sa silhouette juvénile à l’ "Ora e per sempre" d’Otello qu’il chante avec un aplomb et une autorité incroyables … Après un programme aussi chargé, quel autre ténor aujourd’hui alignerait en bis l’air du Cid, Tosca et Otello avec une telle insolence vocale ? Sans une once de fatigue perceptible dans sa voix, il offre une interprétation spectaculaire du Cid, un vibrant "E Lucevan le Stelle" dans lequel il multiplie les diminuendi et les piani tenus, puis toute la scène finale d’Otello "Nium mi tema". Il rechante le prologue de Pagliacci, conclut la soirée avec une berceuse corse a capella et s’en va heureux sous les acclamations, presque à regret de quitter la scène. ❞ EXTRAIT (publié en français): " Comme l’indique le titre du concert "Du Théâtre à l’Opéra", notre ténor national avait choisi de rendre hommage aux grands auteurs dramatiques, d’Euripide à Edmond Rostand, en passant par Shakespeare, Corneille, Schiller, et d’autres, à travers un programme original d’airs d’opéras français et italiens. Un programme comme on les aime, qui aligne des morceaux connus mais peu souvent donnés en concert, et des raretés absolues, un programme qui tient sans cesse notre curiosité en éveil, surtout lorsqu’il est interprété avec autant de conviction. Roberto Alagna possède en effet cette faculté de se glisser avec aisance dans la peau du personnage qu’il interprète, même en concert, au point de devenir sous nos yeux ce personnage le temps d’un air. Le récital s’ouvre avec le prologue de Pagliacci qui évoque comme chacun sait la vie des théâtreux, un choix audacieux puisqu’il s’agit d’un air de baryton dans lequel notre ténor, très élégant dans un magnifique smoking noir, fait entendre un medium ample et solide, délicatement ambré. Suivent trois pages d’opéras français de styles contrastés, « Je jette avec grâce mon feutre » extrait du Cyrano de Bergerac d’Alfano que le ténor a chanté à maintes reprises depuis sa prise de rôle à Montpellier en 2003 et dont il livre une interprétation teintée d’une ironie caustique, « Unis dès la plus tendre enfance » de Gluck, qui lui permet de camper un Oreste touchant avec une grande retenue et une maîtrise parfaite de la déclamation lyrique, enfin un air du Polyeucte de Gounod, « Source délicieuse », sobre et émouvant. La seconde partie du concert, entièrement dédiée à l’opéra italien commence avec Luisa Miller. Après un récitatif poignant, le ténor interprète « Quando le sere al placido » avec un legato impeccable orné de fines nuances et une émotion contenue mais palpable. Puis il nous propose deux pages d’une grande intensité dramatique, tout d’abord un extrait de la Fedora de Giordano dont il chante, non pas l’habituel « Amor ti vieta » mais la grande scène qui conclut l’acte deux, constituée de trois airs qui se succèdent, entrecoupés par des répliques de la soprano, ici supprimées. Cette longue scène poignante qui réclame un investissement théâtral et vocal important constitue sans nul doute l’un des temps forts de la soirée. Roberto Alagna s’y montre pleinement convaincant. Puis il nous fait découvrir une rareté absolue, Giulietta e Romeo de Zandonai dont il propose un extrait de la scène du tombeau. Alors nous avons soudain l’impression de revoir le Roméo qu’il était il y a trente ans avec sa silhouette juvénile, exprimer son désespoir. Sans transition surgit ensuite sous nos yeux le Maure de Venise dans une page tendue de l’Otello de Verdi, « ora e per sempre » qu’il chante avec un aplomb et une autorité incroyables. Après un programme aussi chargé on aurait pu penser que Roberto Alagna allait nous proposer quelques pages légères en bis. Que nenni ! Il nous offre pour commencer une interprétation spectaculaire de l'air du Cid « O souverain, O juge » sans qu’une once de fatigue ne soit perceptible dans sa voix, puis un « E lucevan le stelle » vibrant, dans lequel il multiplie les diminuendi et les piani tenus, et enfin toute la scène finale d’Otello « Niun mi tema ». Quel autre ténor aujourd’hui alignerait en bis, Le Cid, Tosca et Otello avec une telle insolence vocale ? Mais le public en délire en réclame toujours plus, alors il rechante le prologue de Pagliacci après avoir expliqué avec malice qu’il n’était pas pleinement satisfait de sa première interprétation. Il conclut enfin la soirée avec une berceuse corse a capella et s’en va heureux sous les acclamations, presque à regret de quitter la scène." ITEATRIDELLEST - LOREDANA ATZEI | ❝Une grande solidité dans les registres medium et grave, un texte parfaitement articulé phrasé avec douceur et sensibilité exacerbée. Eclat sans faille des notes aiguës, douceur du legato, nuances interprétatives, tension dramatique, maîtrise vocale exceptionnelle, longueur du souffle, extraordinaire capacité de donner vie au personnage. Musicalité exceptionnelle, gamme infinie de couleurs et de diminuendos d'une richesse emphatique. Le public reste sans souffle et complètement captivé. Une ovation debout le rappelle sur scène, il y répond avec générosité. La beauté de son timbre, sa facilité d'émission, sa puissance et sa grande expressivité restent inchangées. Avec plus de 30 ans de carrière, le ténor se tient encore fermement au sommet de la vague ❞ EXTRAIT (traduit de l'Italien): "La musique et le chant, donc, en tant que forme d'art complet sont capables d'atteindre le cœur et d'expliquer l'âme humaine encore mieux que les mots. Et c'est ce qu'Alagna apporte immédiatement en scène. A commencer par le choix de débuter le récital par ce qui est un véritable manifeste de l'opéra vériste : le Prologue de "Pagliacci" de Leoncavallo [...] . Bien qu'il s'agisse d'une pièce pour baryton, Alagna l’exécute bien, montrant une grande solidité dans les registres médium et grave, un texte parfaitement articulé, phrasé avec douceur et sensibilité exacerbée. Dans "Al par di voi respiriamo l'aere...", il nous donne l'occasion d'apprécier son registre aigu et la grande tenue de son souffle. Le reste du récital est un hommage aux grands personnages de la littérature, comme le Cyrano de Rostand dans l'opéra splendide, difficile et rarement joué d'Alfano. Alagna interprète ensuite "Je jette avec grâce mon feutre". Un rôle, celui de Cyrano [...] qui lui convient particulièrement bien, lui donnant l'occasion de montrer tant son aspect jovial et gascon que son aspect sentimental et tragique [...]. Nous passons ensuite à Iphigénie en Tauride de Gluck [...] avec "Unis dés la plus tendre enfance". [...] La douceur du legato et les nuances interprétatives maintiennent la tension dramatique élevée sans la forcer. La première partie de la soirée se termine par "Source Délicieuse". Le splendide air de Polyeucte de Gounod [...] est divinement interprété avec un phrasé doux et l'éclat sans faille des notes aiguës. Mais le meilleur est encore à venir. La deuxième partie s'ouvre sur une autre de ses pièces maîtresses. Le célèbre air de Luisa Miller "O fede negar potessi...Quando le sere al placido" que le ténor interprète en l'enrichissant de couleurs et avec une maîtrise vocale exceptionnelle capable de soutenir longuement "Ah mi tradia..." de la première partie, puis d'exécuter des pianissimi éthérés, pour les renforcer à nouveau dans l'élan de colère de l'amant qui se croit trahi. Des évolutions dignes d’une véritable " montagne russe " vocale que seule une parfaite maîtrise du souffle et du soutien peut assurer. Tout cela combiné à l'extraordinaire capacité de donner vie au personnage. Avec ses doutes, ses passions, ses affections. [...] Il le prouve une fois de plus en donnant corps et sentiments à Loris Ipanoff dans le long passage de Fedora, "Mia madre...vedi io piango" dans lequel on est complètement bouleversé par la tragédie du comte qui, trahi, devient meurtrier, et nous comprenons sa souffrance et sa noblesse. C'est l'un de ces moments au théâtre qui se produisent rarement, où le temps semble s'arrêter, où les couleurs deviennent plus intenses, où le cœur bat plus vite et où le public reste sans souffle et complètement captivé. Ses débuts de "Fedora" prévus l'année prochaine à la Scala de Milan, promettent d'être un événement exceptionnel. Avec "Giulietta son io" de "Giulietta e Romeo" de Zandonai, il revient et nous offre une interprétation belle et déchirante, puis reprend un autre de ces rôles dans lesquels il ne cesse de surprendre. L'Otello de Verdi avec "Ora e per sempre" conclut le programme officiel par une célébration de l'un des plus grands auteurs de théâtre de tous les temps : William Shakespeare. Mais le public, insatiable, réclame avec insistance des encores, que la générosité du chanteur n'hésite pas à accorder. Ceux qui s'attendent à une série de pièces plus légères ou appartenant au répertoire traditionnel seront déçus, car le choix du ténor était d'une grande profondeur, comme l'ensemble du concert. Il commence par l'aria de Rodrigo dans Le Cid de Massenet : " Oh souverain, oh juge, oh père ", poursuit avec " E lucevan le stelle " de Tosca avec un legato émouvant sur " le belle forme disciogliea dai veli... " conclu par un pianissimo qui a enthousiasmé le public, et termine avec le final d'Otello : " Niun mi tema ". Un air parfait pour un ténor lyrique capable de montrer toute la fragilité du guerrier vaincu qui a tout perdu et qui s'apprête, en dernier recours, à perdre même sa vie. Et il le fait avec une voix dotée d'une musicalité exceptionnelle, d'une gamme infinie de couleurs et de diminuendos d'une richesse emphatique ; les yeux sont fermés, l'expression douloureuse. Une douleur qui n'est jamais criée mais qui transperce le cœur, jusqu'au dernier gémissement douloureux et ce mot "ba-cio", interrompu par une pause, dans laquelle la main de la poitrine tombe lentement jusqu'à ce qu'elle soit complètement relâchée sur la dernière syllabe. Le souffle s'éteint et la mort arrive. Même dans ces petits détails, on retrouve la touche de l'artiste et son travail incessant. Cela pourrait sembler être la fin, mais une ovation debout le rappelle sur scène à deux reprises. Il reprend le Prologue et conclut avec "O la ricchezza di la so mammuccia", une berceuse corse interprétée a cappella. Un moment unique de grand charme pour sceller un événement inoubliable. Vingt ans se sont écoulés depuis le premier récital de Roberto Alagna à la Salle Gaveau, et la beauté de son timbre, sa facilité d'émission, sa puissance et sa grande expressivité restent inchangées. Avec l'expérience, on peut lui reconnaître le mérite d'avoir surmonté une certaine exubérance juvénile, justifiée, au profit d'une attention encore plus grande à l'introspection et à l'interprétation, obtenue de toute évidence par une étude continue. Le résultat est là pour que tout le monde puisse le voir. Un ténor dont la carrière a bien plus de 30 ans et qui se tient encore fermement au sommet de la vague. J'espère pour de nombreuses années encore." TOUTE LA CULTURE - PAUL FOURIER | ❝LE FEU D’ARTIFICE de Roberto Alagna à la Salle Gaveau … Récital éblouissant … De Pagliacci, on sait qu’actuellement Alagna en est sans conteste le meilleur titulaire. Il semble l’avoir fait sien, en totalité et, pourrait-on dire, tous rôles confondus … Il saisit l’air de Cyrano avec gourmandise … Style incomparable, fabuleuse prononciation ... Une seconde partie ébouriffante … Avec un très long passage de Fedora, la soirée jusqu’ici très belle bascule dans l’exceptionnel … Un miracle d’interprétation … Somptueux … Émotion extrême, sans jamais tomber dans l’excès ou dans l’emphase ... Maîtrise totale, effets, vibrato, piani et diminuendos de pure beauté … La scène finale d’Otello est absolument gigantesque ... La puissance du programme et des bis émerveille les spectateurs, totalement galvanisés par la performance et la prodigalité de l’artiste … Immense talent et générosité … ❞ EXTRAIT (publié en français) : "Le ténor a donné un récital éblouissant le 10 décembre. En dépit des contraintes liées à la pandémie, les Parisiens n’avaient pas raté le rendez-vous et la salle était quasi comble. Ils ne l’ont pas regretté. La soirée s’intitulait « Du théâtre à l’opéra », une accroche rappelant que bien des opéras ont connu un précédent théâtral avant d’être mis en musique. […] Si Pagliacci de Leoncavallo échappe à la règle, l’on comprendra, aux mots prononcés par Tonio (et dits ce soir par Roberto Alagna, malgré la tessiture de baryton requise) qu’ils offrent la meilleure des introductions à une soirée où l’art lyrique rejoignait le théâtre […] De Pagliacci, l’on sait qu’actuellement qu’Alagna en est, sans conteste, le meilleur titulaire. « Si Puo », l’air de Tonio, chanté ce soir, montre qu’interprète d’un opéra, il semble l’avoir fait sien, en totalité et, pourrait-on dire, tous rôles confondus. Son cher Caruso (et quelques autres ténors, tel Beniamino Gigli) lui avait déjà ouvert la voie et sa voix s’accorde idéalement à cette déclamation théâtrale à laquelle il donne vie, comme s’il allait enchaîner l’opéra entier à lui tout seul. Il donne ensuite corps à la bravacherie de Cyrano ; à quelques exceptions près, les airs interprétés ce soir lui sont familiers, car il les a incarnés sur scène. Peu l’ont fait pour Cyrano et c’est l’occasion de se rappeler que ce fut, bien sûr, le cas pour l’opéra d’Alfano. L’on comprend alors la gourmandise avec laquelle il se saisit de l’air d’un personnage qui a tout pour lui plaire. […]. Certes, après Cyrano, l’on comprend l’adéquation de l’air qui suit, celui de Pylade de l’Iphigénie en Tauride de Gluck, avec le thème du soir ainsi que l’envie de Roberto de balayer la plus large période possible. Mais, si l’on ne peut nier que le style est incomparable et que sa fabuleuse prononciation s’accorde si bien à l’écriture du compositeur, il n’empêche que la voix du ténor s’avère, aujourd’hui, assez lourde pour l’exercice. En revanche, ce ne sera évidemment pas le cas pour les airs très tendus, et chacun avec ses difficultés, de Polyeucte (« Source délicieuse ») de Gounod et de Luisa Miller qui précèdent et suivent l’entracte. Une seconde partie ébouriffante ! Néanmoins, si la soirée était jusqu’ici très belle, elle va basculer dans l’exceptionnel avec un très long passage (plus de 8 minutes) tirée de Fedora de Giordano (« Mia madre » … « la fange mi svela » … « vedi io piango »). L’on se rappelle à l’occasion qu’un certain Caruso, inconnu, fut révélé par le rôle. Ce soir, la scène sera un miracle d’interprétation. D’abord, parce que Roberto Alagna y trouve une tessiture parfaite pour lui, mais aussi, parce que le vrai professionnel, celui dont on sait qu’il travaille inlassablement, nous démontre à quel point de perfection il est arrivé pour ce rôle, dans l’attente des représentations prévues à la Scala de Milan […], représentations toujours repoussées, et qui espérons-le se tiendront à l’automne. Il y a un peu de Paillasse dans les accents douloureux du Prince Ipanov et l’on adorerait que ces accents appartiennent à un nouveau rôle fétiche pour Alagna… pour peu que des grandes scènes osent monter l’œuvre… Roberto Alagna affronte ensuite Shakespeare par Roméo et Juliette. À vrai dire, le ténor qui aime à faire découvrir, présente là un air du très méconnu Giulietta e Romeo de Zandonai, air qui lui va également comme un gant et où il apporte, cette fois, la souffrance de l’amoureux, et ce, avec une émotion extrême, sans jamais tomber dans l’excès ou dans l’emphase. Et… arrive Otello… et c’est le coup de grâce, car l’artiste, en un instant, nous propulse à Venise, au cœur même de l’homme que la jalousie mortifère détruit. Sommes-nous désormais dans une salle d’opéra où les œuvres défileraient à toute allure ? Le pouvoir et la perfection de l’interprétation nous font voyager instantanément dans Le Cid (encore Corneille, mais Massenet cette fois) pour un somptueux « Ah, tout est bien fini… Ô Souverain, Ô juge, Ô père… », puis défiant la raison, revenant à Victorien Sardou que Puccini a sublimé, c’est un « E lucevan le stelle » totalement maîtrisé, tellement vrai, où les effets, vibrato, piani et diminuendos se révèlent pure beauté. Après un programme et des bis d’une telle puissance, l’on se dit que l’artiste nous a suffisamment émerveillés. Que nenni ! C’est avec une réelle gourmandise – qui se voit et que l’on ressent -, avec une envie de faire plaisir à son public, que Roberto Alagna se lance dans rien de moins que la scène finale d’Otello ! … et c’est absolument gigantesque. La souffrance brute est là, tout comme le corps de Desdémone et nous, spectateurs, sommes inclus dans un opéra imaginaire qui se déroule sous nos yeux. Le moment arrive où toutes les partitions sont épuisées. Avec humour, comme pour refermer la parenthèse théâtrale, il prétextera une erreur dans son premier air pour reprendre le « Si Puo » de Pagliacci, avec la même fraicheur qu’au début… et une intensité redoublée. Et puisqu’il fallait tout de même finir et renvoyer les spectateurs totalement galvanisés par la performance, il terminera avec une chanson corse a capella – chanson qui sert à l’occasion de berceuse à Malèna, sa plus jeune fille (qui a probablement accompagné sa maman en Pologne pour un Stabat Mater, donné le même soir). Chez les Alagna, on le sait, tout est histoire de famille. Comme tout un chacun, Roberto Alagna avance en âge. Il nous le rappelle d’ailleurs, lorsqu’à la fin de la soirée, il dit qu’il revenait, ce soir, en solo, à la Salle Gaveau après 20 ans d’absence (il s’y est produit en duo avec Aleksandra Kurzak en 2019). Ce jour-là, sa première fille, la petite Ornella lui avait apporté un bouquet « plus grand qu’elle ». Beaucoup plus grande désormais et très belle, c’est elle qui y retourne avant que « la Mamma » ne monte avec Roberto sur scène. La vraie famille rejoignait alors l’autre famille, celle de cœur, qui l’accompagne et fut, une fois encore, conquise par la prodigalité de l’artiste. Ainsi résonnaient encore les mots de Tonio « Et vous ! Plutôt que nos pauvres défroques de bouffons, considérez nos âmes, car nous sommes des hommes, de chair et d’os, qui, tout comme vous, respirons l’air de ce monde orphelin ! ». L’artiste, comme l’homme, nous quittait en nous donnant le désir de renouer, très vite, ce lien indéfectible que son immense talent et sa générosité ont su créer…" PREMIERE LOGE - NICOLAS MATHIEU | ❝Roberto Alagna triomphe Salle Gaveau . Un récital exceptionnel, un programme dense et généreux. Jeu théâtral captivant, projection superbe, large et ample, aigus confiants et solaires, diction exemplaire, phrasé élégamment filé, prestance, pianissimi qui amènent le frisson, climax déchirant, justesse de ton admirable… Face aux applaudissements redoublés du public, il vient offrir 5 bis et assoit son triomphe ❞ EXTRAIT (publié en français) : "Roberto Alagna triomphe Salle Gaveau. Vingt ans après sa dernière apparition in loco, le ténor français a offert un récital exceptionnel au public de la Salle Gaveau avec un programme dense et généreux accompagné du non moins excellent Ensemble Appassionato dirigé par Mathieu Herzog. Intitulé « Quand le Théâtre entre au Panthéon de l’Opéra », le programme proposé par Roberto Alagna ce soir Salle Gaveau invite le spectateur à (re)découvrir de grandes figures littéraires et théâtrales à l’opéra par un savant mélange d’airs célèbres et moins connus. […] Après quelques mesures introductives de l’orchestre, le ténor arrive sur scène sous les applaudissements déjà enthousiastes du public pour arborer le personnage de Pagliacci Tonio avec un « Si può ? » à la verve dramatique et au vibrato mesuré. […]. Libéré de la partition (il chante par cœur l’ensemble de son récital), l’interprète investit au possible l’espace […] pour accrocher le public avec un jeu théâtral captivant. La projection est superbe, large et ample, les aigus confiants et solaires, sur le jeu instrumental bien dosé de l’Ensemble Appassionato. Les premiers bravi fusent de l’assemblée déjà conquise. Au tour de Cyrano de Bergerac d’Alfano avec l’air « Je jette avec grâce mon feutre », qui souligne, s’il fallait s’en convaincre encore, une diction exemplaire sur tout le registre, alliée à un phrasé élégamment filé. Et la prestance solennelle de la « Source Délicieuse » du Polyeucte de Gounod ne fera que redoubler les applaudissements du public. La seconde partie du récital montre un chant qui se bonifie lui-même, et une complicité de plus en plus marquée avec l’orchestre. Les pianissimi finaux du « Quando le sere al placido » (Luisa Miller), la ferveur tendre du « Mia madre… Vedi io piango » (Fedora de Giordano) amènent le frisson… Et le « Giulietta son io » (Giuletta e Romeo de Zandonai) d’amener l’un des moments de grâce de la soirée avec une montée sublime jusqu’à un climax déchirant et à fleur de peau. Avant de quitter la langueur pour la fermeté avec un « Ora e per sempre » (Otello de Verdi) martelé, aux lignes fort poitrinées. […] Face aux acclamations redoublées du public, Roberto Alagna visiblement galvanisé d’un tel succès vient offrir 5 bis ! Un très solennel « O souverain » (Le Cid de Massenet) augmenté de guirlandes de bougies en mouvement, de saisissants « E luccevan le stelle » (Tosca de Puccini) et « Niun mi tema » (Otello de Verdi), avant d’en revenir au « Si può ? » initial, arguant que la version donnée en début de concert l’a laissé insatisfait ! Et en guise de clap de fin, il entonne a cappella une berceuse corse, dans un silence religieux. Loin d’endormir le public, Roberto Alagna assoit là son triomphe…" OPERA MAGAZINE - PATRICE HENRIOT | ❝Roberto Alagna enflamme Paris Salle Gaveau , le 10 décembre. Il demeure unique dans les rencontres subliminales de son programme. Emotion musicale et admiration sont au rendez-vous. Style parfait, noblesse, sobriété … Il excelle en Cyrano. Otello provoque l’enthousiasme. Legato, slancio, aigu cinglant dans le chant verdien, beau récitatif … Etonnante démonstration de générosité avec plusieurs bis longs et difficiles, bouleversants. Face à l’euphorie générale, un dernier exploit : une délicieuse berceuse corse chantée a cappella ... ❞ EXTRAIT (publié en français) : " Un magnifique parcours des emplois assumés par les ténors mythiques, rencontrés par la personnalité de Roberto Alagna […] L’émotion musicale et l’admiration, du moins, seront au rendez-vous. […]. Roberto Alagna demeure unique dans les rencontres subliminales de son programme : Enrico Caruso, bien sûr (Fedora), Georges Thill (Iphigénie en Tauride, Le Cid), José Luccioni (Cyrano de Bergerac, Polyeucte, Otello), Mario Del Monaco (Otello, Fedora, Giulietta e Romeo). L’artiste assume ainsi tout son répertoire passé, présent, à venir. Le « Prologue » de Pagliacci(« Si puo ? ») ouvre la soirée. De grands ténors se plurent à barytonner et Roberto Alagna, lui-même, ne se prêta-t-il pas cet été, au Théâtre Antique d’Orange, au duo entre Ezio et Attila, auprès d’Ildar Abdrazakov ? Il est ici fort à l’aise. Puis il excelle en Cyrano (« Je jette avec grâce mon feutre »), un rôle qu’il a beaucoup défendu à la scène. L’émouvant air de Pylade (« Unis dès la plus tendre enfance ») offre un moment de pure déclamation et de style parfait. Et les « Stances » de Polyeucte (« Source délicieuse ») se haussent à la noblesse de la tragédie cornélienne. Au début de la seconde partie, le ténor français renoue avec le chant verdien (legato, slancio, aigu cinglant), pour le beau récitatif « Oh ! fede negar potessi » et l’air « Quando le sere al placido » de Luisa Miller. Les extraits de Fedora disent le drame en une scène constituée de récits, qui révèlent le nœud de l’action (« Mia madre... Vedi, io piango »). Il faut admirer la sobriété qu’y apporte Roberto Alagna. Enfin, Otello (« Ora e per sempre ») provoque l’enthousiasme. Les trois premiers bis, à la fois longs et difficiles, fournissent une étonnante démonstration de générosité : Le Cid (« Ô souverain, ô juge, ô père »), Tosca (« E lucevan le stelle », bouleversant rêve éveillé), Otello encore (« Niun mi tema »). Tout est-il dit, puisque (presque) tout a été chanté ? Non sans malice, Roberto Alagna propose de reprendre le « Prologue » de Pagliacci, synchrone, cette fois, avec l’orchestre. Devant l’euphorie générale, le ténor offre un dernier exploit : chanter a cappella une délicieuse berceuse corse." Chro-ConcertAssisi21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT DI NATALE | SAN FRANCESCO D'ASSISI, ASSISI 25 DEC 2021 (+ RAI 1) RAI UNO | ❝Il tradizionale Concerto di Natale dell' Orchestra Sinfonica Nazionale della Rai dalla Basilica superiore di San Francesco d'Assisi . Protagonisti il grande tenore Roberto ALAGNA e la star del violoncello HAUSER. ❞ " Protagonista il grande tenore Roberto Alagna , che interpreta Stille Nacht e l’Ave Maria ma anche Minuit Chrétiens di Adolphe Adam e Mille cherubini in coro, sempre di Schubert. Accanto a lui la star del violoncello HAUSER , apprezzato sia nel repertorio classico sia nelle incursioni crossover, che interpreta Panis Angelicus ma anche il celebre Largo di Händel dall’opera Serse e l’Ave Maria di Schubert insieme ad Roberto Alagna . Con loro il Coro di voci bianche “I piccoli musici”, istruito da Mario Mora, impegnato in I will sing the spirit e The Lord bless you and keep you di John Rutter, oltre a Hark, the Herald Angels sing di Mendelssohn, canto tradizionale natalizio tratto da una poesia del pastore metodista Charles Wesley. Sul podio il direttore americano #WilliamEddins . Con loro il Coro di voci bianche "I Piccoli Musici" istruito da Mario Mora " Haut de page

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  • Roberto Alagna | Tenor | Site Officiel - Official Website | robertoalagna.com

    Roberto Alagna, Tenor | Official Website - Site Officiel ROBERTO ALAGNA TENOR | WEBSITE OFFICIEL Bas de page Sur la scène lyrique internationale depuis près de 40 ans, le ténor franco-sicilien inscrit plus de 60 rôles à son répertoire et opère avec succès des incursions régulières dans la chanson. Authentiquement populaire et aimé d'un large public, séduit par tous les aspects du chant et insatiable passionné de la voix, explorant sans cesse de nouveaux territoires artistiques, l'artiste mène une carrière inédite. PORTRAIT par Sylvain Fort (Extraits) : ❝ Roberto Alagna naît de parents siciliens en banlieue parisienne. Il aguerrit sa technique vocale en écoutant les grands ténors du passé et en suivant les conseils d'un vieux maître cubain, Rafael Ruiz. Pendant des années, il va, le soir, chanter dans les cabarets en s'accompagnant à la guitare. Mais son jardin secret, c'est l'opéra. En 1988, à 25 ans, il remporte le concours Pavarotti. La voix d'Alagna est lumineuse, irradiante. Les plus grandes scènes internationales, de New York à Vienne et Londres, lui ouvrent immédiatement leurs portes ; il est acclamé partout. Sa voix s'élargit, il ajoute à son répertoire les maîtres-rôles de l’opéra italien. Il poursuit avec enthousiasme son exploration des rôles français, et remet à l’honneur des opéras oubliés. Cette curiosité séduit des compositeurs contemporains qui composent pour lui. Peu nombreux sont les artistes lyriques à frayer ainsi de nouvelles voies. La discographie de Roberto Alagna reflète l’étendue de sa curiosité musicale. Le DVD y occupe également une place majeure. Il s’intéresse même aux techniques de réalisation. Le metteur en scène Benoît Jacquot lui demande d’incarner Mario dans la version cinématographique de Tosca, qui fait la part belle au jeu des chanteurs-acteurs. Adopté par un large public, sans jamais renier ses exigences de chanteur du grand répertoire lyrique, Roberto Alagna apparaît sur les plateaux de télévision où il donne la réplique à des chanteurs de variété, participe à des concerts caritatifs ou à des événements d’exception. Alagna aborde les grands rôles avec une fraîcheur inouïe, dans les plus grands théâtres du monde, à un rythme que personne d’autre que lui ne pourrait tenir. A cela s’ajoutent régulièrement les prises de risque et les initiatives étonnantes où le ténor s’engage à la surprise générale, sur un coup de cœur ou par instinct. Aux artistes qui cherchent le secret de l'élixir de jouvence, Alagna pourrait sans aucun doute répondre : la générosité, l’amour du public… et un inépuisable enthousiasme.❞ Plus à propos de Roberto Alagna > ACTUALITÉ REJOIGNEZ ROBERTO ALAGNA SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX Retrouvez toute l'actualité de Roberto Alagna sur s page FACEBOOK officielle : concerts, opéras, disques, informations quotidiennes, contenus exclusifs et bien d'autres sujets à propos du ténor ainsi que sur son compte INSTAGRAM officiel. Suivre sur FACEBOOK > Suivre sur INSTAGRAM > Roberto Alagna est également présent sur X, THREADS, TIK-TOK et partage du contenu vidéo sur sa chaîne officielle YOUTUBE. Sur Scène Dernièrement / Prochainement Agence exclusive MARINELLA ALAGNA MANAGEMENT Contact > "Boulevard des Italiens " Infos > EN TOURNÉE à partir d'août 2025 Tickets > Album 2024 ❝ROBERTO ALAGNA 60 ❞ 60 ans ! En même temps que son anniversaire, le ténor fête 40 ans d’une carrière exceptionnelle. Accompagné par le Morphing Chamber Orchestra dirigé par Giorgio Croci, il offre ici un programme à son image : celle d’une passion communicative, d’un goût intarissable pour l’exploration de répertoires et de styles différents, de l'opéra français, italien et napolitain, allemand, polonais ou russe à la chanson italienne et française, en passant par le crossover anglais et sud-américain ... sans omettre quelques surprises, car c'est tout l'art de l'inimitable ténor ! [paru le 20/09/24] Plus à propos de l'album > Album 2024 ❝ SEIGNEUR ❞ Un disque empreint de spiritualité. Entre foi, amour et espérance, une musique pétrie de sentiments, d’émotions et de vitalité. Mêlant chants sacrés, chansons françaises et italiennes, l’album inspire et transmet toute la complicité spontanée d’un trio passionné : le ténor Roberto Alagna, accompagné du guitariste Jean-Félix Lalanne et du pianiste Marek Ruszczynski. Plus à propos de l'album > Album 2022 ❝ AL CAPONE ❞ Dans cet album et en Vinyle Collector, retrouvez 21 chansons extraites d'AL CAPONE, le spectacle musical de Jean-Félix Lalanne avec Roberto Alagna dans le rôle titre, Bruno Pelletier en Eliot Ness, Anggun dans le rôle de Lili, Thomas Boissy dans le rôle de Franck Capone. Plus à propos de l'album > ARVO PÄRT 2022 ❝ STABAT MATER ❞ Le Morphing Chamber Orchestra de Tomasz Wabnic, interprète les plus belles œuvres instrumentales du compositeur estonien, ainsi que l'un de ses chefs-d'œuvre vocaux, le STABAT MATER, chanté par trois des plus grandes voix d'opéra actuelles, Roberto Alagna, Aleksandra Kurzak et Andreas Scholl. Plus à propos de l'album > Album 2020 ❝ LE CHANTEUR ❞ Roberto Alagna consacre un album tout entier à la grande et belle chanson française et partage toute l'émotion, le plaisir et les souvenirs qu'elle évoque en lui. Plus à propos de l'album > Album 2019 ❝ CARUSO 1873 ❞ Roberto Alagna célèbre le légendaire ténor Enrico Caruso avec une sélection d’airs et chansons retraçant la carrière discographique de son illustre aîné, de 1902 à 1920. Plus à propos de l'album > Album 2018 Duos ❝ PUCCINI IN LOVE ❞ Aleksandra Kurzak & Roberto Alagna Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak consacrent leur album aux plus beaux duos d'amour de Puccini, avec le Sinfonia Varsovia Orchestra sous la direction de Riccardo Frizza. Plus à propos de l'album > Haut de page Roberto Alagna | Trailer Lire la vidéo Facebook Twitter Pinterest Tumblr Copiez le lien Intégrer vidéo Lien copié Haut de page

  • CHRONIQUES | Roberto Alagna

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Vedi io piango" • Giodano – Fedora : Intermezzo • Zandonai – Giulietta e Romeo : "Giulietta son io" • Verdi – Otello : "Ora e per sempre" Bis : • Massenet - Le Cid : "Ô souverain, ô juge, ô père" • Puccini - Tosca : "E lucevan le stelle" • Verdi - Otello : "Niun mi tema" • Leoncavallo – Pagliacci : Prologue "Si puo" • Complainte corse - A Capella LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Arena di Verona, Italie CONCERT DUO Aleksandra Kurzak & Roberto Alagna THEME : Puccini ~ House Debut DATE : 5 décembre 2021 DISTRIBUTION : Aleksandra Kurzak - Soprano Roberto Alagna - Tenor David Gimenez Carreras - Direction Orchestre de l'Opéra Royal de Wallonie PROGRAMME : • Tosca - « Mario, Mario…son qui » (Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna) • Tosca - Prélude de l’acte 3 (Orchestre) • Tosca - « Recondita armonia » (Roberto Alagna) • Tosca - « Vissi d´arte » (Aleksandra Kurzak) • Manon Lescaut - Intermezzo (Orchestre) • Manon Lescaut - « Tu, tu, amore tu » (Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna) • Madama Butterfly - « Viene la sera… » (Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna) • Madama Butterfly - Prélude de l’acte 3 (Orchestre) • Madama Butterfly - « Tu, tu…piccolo Iddio » (Aleksandra Kurzak) • La Rondine - « Parigi! È la città dei desideri » (Roberto Alagna) • Le Villi - La Tregenda (Orchestre) • La Bohème - « O soave fanciulla » (Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna) LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE MobWallonieConc21 MobConcBeClassical21 MobConcAssisi21 Staatsoper Hamburg, Allemagne CONCERT SOLO The Art of ... THEME : A life for Opera: from Händel to Wagner ~ House Debut DATE : 12 novembre 2021 DISTRIBUTION : Roberto Alagna - Tenor Morgane Fauchois-Prado - Piano PROGRAMME : • Pergolesi (Lo frate ‘nnamorato) 1732 « Ogni pena più spietata » • Händel (Serse) 1738 « Ombra mai fu » Gluck (Orfeo e Euridice) 1762 « Che farò senza Euridice » • Piano : Gluck (Orphée et Eurydice) Danse des ombres heureuses (arr. Sgambati) • Mozart (Così fan tutte) 1790 « Un’aura amorosa » • Gretry (Zemire et Azor) 1771 « Du moment qu’on aime » • Mehul (Joseph en Égypte) 1807 « Vainement Pharaon » • Piano : Rossini (Péchés de vieillesse) Hachis romantique • Donizetti (L’Elisir d’Amore) 1832 « Adina, credimi » < entracte > • Flotow (Martha) 1847 « Ach so fromm » • Wagner (Lohengrin) 1850 « Mein Lieber Schwan » • Tchaïkovski (Eugene Onegin) 1879 « Kuda, kuda » • Verdi (Otello) 1887 « Niun mi tema » • Puccini (La Rondine) 1917 « Parigi e la città » • Piano : Mascagni (Cavalleria Rusticana) Intermezzo • Alfano (Cyrano de Bergerac) 1935 « Sa lettre … Roxane Adieu » • Alagna (Le dernier jour d’un condamné) 2007 « Non, je ne suis pas un impie » Bis : • In Fernem Land (Lohengrin, Wagner) • Song of India (Sadko, Rimski-Korsakov) • O Sole mio (Chanson napolitaine) LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Staatsoper Unter den Linden in Berlin, Allemagne MADAMA BUTTERFLY Giacomo Puccini RÔLE : Pinkerton DATE : 28 août 2021 01 septembre 2021 04 septembre 2021 DISTRIBUTION : Aleksandra Kurzak - Cio-Cio-San Natalia Skrycka - Suzuki Roberto Alagna - B. F.Pinkerton Alfredo Daza - Sharpless Massimo Zanetti - Direction Eike Gramss - Mise en scène LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Arena di Verona, Italie CAVALLERIA RUSTICANA Pietro Mascagni PAGLIACCI Ruggero Leoncavallo RÔLE : Turiddu & Canio ~ Fest.Debut DATE : 31 juillet 2021 14 août 2021 DISTRIBUTION : Roberto Alagna - Turiddu & Canio Aleksandra Kurzak - Santuzza & Nedda Ambrogio Maestri - Alfio & Tonio Marco Armiliato - Direction Gabrielle Muccino - Mise en scène LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE MobButterfly21 MobConcTheArtOf21 MobCavPagVerona21 MobStDenis21 MobSamsonOrange21 Chorégies d'Orange, Théâtre Antique, France CONCERT TRIO Ildar Abdrazakov Ludovic Tézier & Roberto Alagna THEME : Nuit Verdienne DATE : 24 juillet 2021 DISTRIBUTION : Ildar Abdrazakov - Basse Roberto Alagna - Tenor Ludovic Tézier - Baryton Konstantin Chudovsky - Direction Orchestre National de Lyon PROGRAMME : • La forza del destino : ouverture • La forza del destino : air d’Alvaro « La vita è inferno all’inf elice… » (Alagna) • La forza del destino : duo Alvaro-Carlo « Solenne in quest’ora » (Alagna, Tézier) • Oberto, conte di San Bonifacio : air d’Oberto « Ei tarda ancor! L’orror del tradimento » (Abdrazakov) • I Lombardi alla prima crociata : Prélude de l’acte III • Rigoletto : air de Rigoletto « Cortigiani, vil • razza dannata » (Tézier) • Attila : duo Attila-Ezio «Tardo per gli anni, e tremulo» (Alagna, Abdrazakov) • Les Vêpres siciliennes : Ouverture • Don Carlo : Duo Filippo II-Rodrigo « Restate! Presso alla mia persona…» (Tézier, Abdrazakov) • Don Carlo : air de Filippo II « Ella giammai m’amò » (Abdrazakov) • Luisa Miller : air de Rodolfo « Quando le sere al placido » (Alagna) ( • Ernani : air de Carlo « Gran’ Dio!... Oh, de’verd’anni miei » (Tézier) • Macbeth : Prélude • Don Carlo : Un moine « Ei voleva regnare sul mondo » (Abdrazakov) • Don Carlo : air de Carlo « Io l’ho perduta » (Alagna) • Don Carlo : duo Carlo-Rodrigo « E lui!... desso!... l’Infante! O mio Rodrigo! » (Alagna, Tézier) Bis : La Quête, L'homme de la Mancha (Tézier) Funiculi, Funicula (Alagna et tutti) LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Chorégies d'Orange, Théâtre Antique, France SAMSON ET DALILA Camille Saint-Saëns RÔLE : Samson DATE : 10 juillet 2021 DISTRIBUTION : Roberto Alagna - Samson Marie-Nicole Lemieux - Dalila Nicolas Cavallier - Le Grand Prêtre Julien Véronèse - Abimélech Christophe Berry - Un messager philistin Nicolas Courjal - Un vieillard hébreu Marc Larcher - Premier Philistin Frédéric Caton - Deuxième Philistin Jean-Louis Grinda - Mise en scène Direction musicale - Yves Abel Orchestre Philharmonique de Radio France LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Basilique de Saint-Denis, Saint-Denis, France CONCERT SOLO Festival de Saint-Denis THEME : Chants sacrés et airs d'opéra ~ Fest.Debut DATE : 10 juin 2021 [Streaming] DISTRIBUTION : Roberto Alagna - Tenor David Gimenez Carreras - Direction Orchestre National d'Île de France PROGRAMME : • L'Arlésienne, suite (Bizet) [orchestre] • Pietà Signore (Stradella) • Panis Angelicus (Franck) • L'Enfance du Christ (Berlioz) • Rosamunde, entr'acte n°3 [orchestre] • Ave Maria (Schubert) • Le Cid, Ah tout est bien fini, (Massenet) • Lohengrin, prélude Acte 1 [orchestre] • Lohengrin, Nun sei bedankt (Wagner) • Lohengrin, In fernem Land (Wagner) • Lohengrin, Mein lieber Schwann (Wagner) Bis : • Ave Maria (Gounod) • Notre-Père - A Capella (Alagna) LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE MobNuitVerdienne21 Staatsoper Unter den Linden, Berlin, Allemagne LOHENGRIN Richard Wagner RÔLE : Lohengrin ~ Prise de rôle DATES : 13 décembre 2020 [Streaming] 19 décembre 2020 [Annulé Covid 19] 22 décembre 2020 [Annulé Covid 19] 28 décembre 2020 [Annulé Covid 19] 30 décembre 2020 [Annulé Covid 19] 03 janvier 2021 [Annulé Covid 19] DISTRIBUTION : René Pape - Heinrich le vogler Roberto Alagna - Lohengrin Vida Mikneviciute - Elsa de Brabant Marti Gantner - Friedrich von Telramund Ekaterina Gubanova - Ortrud Matthias Pintscher - Direction Musicale Calixto Bieito - Mise en scène Rebecca Ringst - Scénographie Ingo Krügler - Costumes Orchestre et chœurs Staatsoper Berlin unter der Linden LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Wiener Staatsoper, Vienne, Autriche PAGLIACCI Ruggero Leoncavallo RÔLE : Canio- Pagliaccio DATES : 30 octobre 2020 02 novembre 2020 [+Streaming] 05 novembre 2020 [Annulé Covid 19] 09 novembre 2020 [Annulé Covid 19] 12 novembre 2020 [Annulé Covid 19] DISTRIBUTION : Aleksandra Kurzak - Nedda Roberto Alagna - Canio Ambrogio Maestri - Tonio Sergey Kaydalov - Slivio Marco Armiliato - Direction Musicale Jean-Pierre Ponnelle - Mise en scène Orchestre et chœurs de l'Opéra de Vienne LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Bayerische Staatsoper, Münich, Allemagne MADAMA BUTTERFLY Giacomo Puccini RÔLE : Pinkerton DATES : 16 octobre 2020 18 octobre 2020 23 octobre 2020 DISTRIBUTION : Aleksandra Kurzak - Cio-Cio-San Alisa Kolosova - Suzuki Roberto Alagna - B.F. Pinkerton Markus Brück - Sharpless Carlo Bosi - Goro Nakodo Daniele Callegari - Direction Musicale Loup Busse - Mise en scène Otto Stich - Décor Silvia Strahammer - Costumes Stellario Fagone - Chœurs Bayerisches Staatsorchester Chœur du Bayerische Staatsoper LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Ancre Chroniques 2020 Rang1 MobPag20 MobButterf20 Gran Teatro del Liceu, Barcelone, Espagne CAVALLERIA RUSTICANA Pietro Mascagni PAGLIACCI Ruggero Leoncavallo RÔLE : Turiddu & Canio DATES : 05 décembre 2019 09 décembre 2019 13 décembre 2019 18 décembre 2019 [+Radio] DISTRIBUTION : Roberto Alagna - Turiddu & Canio Aleksandra Kurzak - Nedda Elena Pankratova - Santuzza Gabriele Viviani - Tonio & Alfio Henrik Nánási - Direction Musicale Damiano Michieletto - Mise en scène Orchestre et Chœurs Teatro Liceu de Barcelone LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Opera National de Paris Bastille, Paris, France DON CARLO Giuseppe Verdi RÔLE : Don Carlo DATES : 25 octobre 2019 28 octobre 2019 31 octobre 2019 04 novembre 2019 07 novembre 2019 11 novembre 2019 DISTRIBUTION : Roberto Alagna - Don Carlo René Pape - Philippo II Aleksandra Kurzak - Elisabeth De Valois Etienne Dupuis - Rodrigo Vitalij Kowaljow - Le Grand Inquisiteur Anita Rachvelishvili - Princesse Eboli Fabio Luisi - Direction Musicale Krzysztof Warlikowski - Mise en scène Małgorzata Szczęśniak - Décors Costumes Orchestre et Chœurs ONP LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Royal Opera House, Londres, Royaume-Uni ANDREA CHENIER Umberto Giordano RÔLE : Andrea Chenier DATES : 24 mai 2019 28 mai 2019 31 mai 2019 03 juin 2019 06 juin 2019 09 juin 2019 DISTRIBUTION : Roberto Alagna - Andrea Chenier Sondra Radvanovsky -Maddalena di Coigny Dimitri Platanias - Carlo Gérard Rosalind Plowright - Comtesse de Coigny Christine Rice - Bersi Elena Zilio - Madelon Stephen Gadd - Pietro Fléville Germán E Alcántara - Dumas Aled Hall - L'Abbé, un poète Carlo Bosi - L'Incroyable, un espion David Stout - Roucher Jeremy White - Schmidt Daniel Oren - Direction Musicale David McVicar - Mise en scène Orchestre et Chœurs ROH of London LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Ancre Chroniques 2019 Rang1 MobDonCarlo19 MobChenier19 SECTION EN CONSTRUCTION SECTION EN CONSTRUCTION Haut de page

  • » CAPONE MUSICAL | Roberto Alagna

    Menu SPECTACLES - PROJETS - TOURS Bas de page Capone THE MUSICAL Comédie musicale, Janv.2023 PARIS « AL CAPONE » , la comédie musicale ... ROBERTO ALAGNA (ALPHONSE CAPONE) BRUNO PELLETIER (ELIOT NESS) ANGGUN (LILI) THOMAS BOISSY (FRANCK CAPONE) KAÏNA BLADA (RITA CAPONE) ❝ Composée et écrite par Jean-Felix Lalanne , « CAPONE » , la comédie musicale, sera vraisemblablement le « spectacle événement » de l’année 2023 ! Je suis très heureux de faire partie de cette aventure artistique ... À suivre ! ❞ Roberto Alagna (Facebook) La comédie musicale, nouvel univers à explorer ? ❝ Jean-Félix Lalanne pensait à moi, on s'est rencontrés dans le Sud, il m'a fait écouter la musique, j'ai été emballé. Je suis comme ça, quand quelqu'un arrive à me séduire, me charmer, je me jette corps et âme. ❞ Le cloisonnement des répertoires ? ❝ Sur un Stradivarius, vous pouvez jouer du jazz, de la variété, on s'en fiche, l'instrument est là pour exécuter toute la musique que l'homme pu inventer. La musique traverse tout. ❞ Roberto Alagna (Midi Libre) ❝ Roberto Alagna était le choix idéal, ses origines italiennes, bien sûr, mais aussi parce que Capone adorait l'opéra. C'est un ami depuis longtemps et on cherche depuis toujours à travailler ensemble, que je puisse écrire pour lui. On a fait des choses mais ne sont pas sorties. Avec la période de confinement, il était disponible, il a lu et a adoré." A l'écoute des maquettes, le ténor est emballé et s'embarque dans l'aventure. "Ça le fait sortir de son milieu, il vient s'encanailler un peu avec les confrères de la pop et il aime bien ça" se réjouit Lalanne qui a pris la liberté de romancer l'histoire du magnat de la pègre et pour ficeler son intrigue. Il a imaginé une histoire d'amour entre une des sœurs de Capone et ... Eliot Ness. ❞ Jean-Félix Lalanne (Le Parisien) #CaponeTheMusical | Une nouvelle page FACEBOOK est née ! Abonnez-vous vite ici https://www.facebook.com/caponethemusical22 et suivez toute l'actualité et les coulisses de la création de la comédie musicale ! Avril 2022, Showcase de « AL CAPONE », Roberto Alagna aux côtés de ses partenaires et complices Anggun et Bruno Pelletier Photos (c) SOV - Roberto Alagna Officiel CLIQUEZ POUR RÉSERVER ! A partir du 28 janvier 2023 aux Folies Bergere, Paris Avril 2022, Showcase de « AL CAPONE », Roberto Alagna aux côtés de ses partenaires et complices Jean-Félix Lalanne, Anggun et Bruno Pelletier et au micro de RTL Photos (c) SOV- Roberto Alagna Officiel Menu SPECTACLES - PROJETS - TOURS Haut de page

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