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  • BIOGRAPHIE | Roberto Alagna

    BIOGRAPHIE Bas de page ROBERTO ALAGNA TENOR ​ Partout, les plus grands lieux et festivals dédiés à l’art lyrique l’accueillent, de l’Opéra National de Paris au Metropolitan Opera de New York, en passant par le Royal Opera House de Londres, les Chorégies d’Orange, la Scala de Milan, le Staatsoper de Vienne ou le Deutsche Oper de Berlin. En près de 40 ans de carrière, il a inscrit à son répertoire plus d’une soixantaine de rôles : Alfredo, Calaf, Canio, Cavaradossi, Des Grieux, Don Carlo(s), Don Jose, Faust, Manrico, Maurizio, Nemorino, Otello, Radames, Rodolfo, Romeo, Ruggero, Turiddu, Werther... Autant de prestations qui ont fait de Roberto Alagna le ténor français le plus célèbre au monde. Il aime aussi explorer et servir des ouvrages moins connus, à travers des productions, concerts ou enregistrements tels que Le Jongleur de Notre-Dame, Le Cid ou La Navarraise de Massenet, Fiesque de Lalo, Francesca da Rimini de Zandonaï, Gianni Schicchi de Puccini, Le Roi Arthus de Chausson ou L’Enfant prodigue de Debussy... Il chante également Vasco da Gama de Meyerbeer, l’édition critique de L’Africaine, rarement représentée. En 2017 au Metropolitan Opera, il reprend un flamboyant Cyrano de Bergerac d’Alfano dans sa version originale de 1935 (signalée comme la « version Alagna » sur la partition rééditée par Ricordi). Deux opéras contemporains ont même été composés pour lui, Marius et Fanny d'après Marcel Pagnol par Vladimir Cosma et Le Dernier jour d'un condamné d'après Victor Hugo : une œuvre composée par David Alagna sur un livret de Roberto et Frédérico Alagna et mise en scène pour la première fois en France en 2014, puis parue en DVD. UNE DISCOGRAPHIE PROLIFIQUE, UN ECLECTISME FERTILE ​ Véritable amoureux d'un nombre immodéré de rôles et du génie de leurs compositeurs, il présente une discographie impressionnante, à l'image de son insatiable curiosité lyrique. Sous contrat exclusif chez EMI (1993-2004) puis chez Deutsche Grammophon (2005-2017), il signe en 2017 chez Sony Classical. Avec des enregistrements pour Erato, Sony, EMI, Warner et Deutsche Grammophon ces 10 dernières années, sa discographie est l’une des plus fournie qui existe et couvre un large éventail : intégrales, duos, oratorios, recueils de grandes œuvres lyriques, opéras, airs sacrés, chansons... Credo , Viva Opéra , Airs de Berlioz , Bel canto , Robertissimo , Luis Mariano , Sicilien , Pasión sont quelques-uns des nombreux albums qui composent son catalogue, représentant des millions d’exemplaires vendus et reflétant l’éclectisme musical de sa carrière. Il reçoit un bel accueil pour son récital sorti fin 2014, Ma Vie est un Opéra , un émouvant récital d’airs et duos illustrant sa vie et sa carrière à la manière d’un livret d’opéra. A l'automne 2016 il offre dans l’album Malèna sept chansons originales ainsi que des grands standards napolitains soigneusement revisités. En octobre 2018 paraît son premier album de duos entièrement dédié à Puccini, Puccini in Love , enregistré chez Sony avec la soprano Aleksandra Kurzak, ainsi qu’un enregistrement de La Navarraise de Massenet chez Warner Classics. Un nouveau disque solo Caruso 1873 –hommage au grand ténor napolitain Enrico Caruso – paraît fin 2019 chez Sony Classical. A l’été 2020, marqué par la crise sanitaire et ses restrictions, il imagine et enregistre Le Chanteur , un album de variété aux couleurs jazz et swing, entièrement dédié à la belle et grande Chanson française. Il participe aux côtés d'Aleksandra Kurzak et Andreas Scholl à l'enregistrement du Stabat Mater d’Arvo Pärt qui paraît en octobre 2022 chez Aparté. S’ajoute en octobre 2022 un enregistrement du Stabat Mater d’Arvo Pärt chez Aparté. En février 2024, il enregistre l’album Seigneur en trio avec le guitariste Jean-Félix Lalanne et le pianiste Marek Ruszczyński , un disque empreint de spiritualité mêlant chants sacrés et chansons françaises et italiennes d’inspiration sacrée, puis Roberto Alagna 60 , avec le Morphing Chamber Orchestra dirigé par Giorgio Croci. Les deux albums paraissent respectivement en avril puis septembre 2024 chez Aparté. ​ ​ ​ UN SOLIDE APPETIT POUR LA RECHERCHE ET LA CREATION ​ Hors des sentiers battus, explorant constamment de nouveaux styles et idées – au disque, sur scène et en tournée, Roberto Alagna révèle clairement son désir de donner davantage à son public et de nourrir son appétit pour l’étude et la création. L’éclectisme musical qui a toujours été cher au cœur du ténor est l’héritage fertile de ses racines. Comme de tout le chemin parcouru depuis ses débuts lorsque, à l'âge de 17 ans, chantant le soir dans les cabarets parisiens, il rencontre le contrebassiste et chanteur cubain Rafaël Ruiz. Il fut son premier professeur de chant. Quelques années plus tard, en 1988, il remporte le Concours Pavarotti à Philadelphie, donnant un élan décisif à la carrière qu'il mène depuis à un rythme soutenu, de façon quasi instinctive, avec une vitalité et une fraîcheur sans cesse renouvelées. ​ Séduit par tous les aspects du chant, le ténor opère des incursions régulières dans la musique populaire : en marge d'une activité opératique des plus denses, il s'impose avec réussite dans le domaine de la chanson traditionnelle, un crossover entre genres qu’il pratique avec le même engagement, la même générosité et sincérité, la même rigueur et exigence technique. Sans que jamais l'un ne se fasse au détriment de l'autre, mais au contraire l'un nourrissant l'autre. Son succès en la matière on fait de Roberto Alagna un artiste authentiquement populaire, aimé de son public, toujours plus large et varié. ​ A partir de 2009, il rencontre un large succès avec ses tours de chant (Mariano , Sicilien , Pasión …). En 2013 sa tournée Little Italy , spectacle hommage à ses origines et à la culture musicale italienne dans toute sa variété, remporte un franc succès dans plus d'une quinzaine de villes françaises. En 2014, Roberto Alagna se produit dans le cadre du Festival international de Musiques Sacrées du Monde de Fès (Maroc), y créant l'événement avec un spectacle inédit, Mediterraneo . Accompagné par un ensemble instrumental oriental, il y mêle des titres des répertoires lyrique, sacré et traditionnel, à la croisée des influences occidentales, arabo-andalouses, siciliennes et napolitaines. Un DVD du concert est édité en 2015, accompagnant son album Noël . En 2016, il emmène en Australie un concert mêlant à la fois grands airs lyriques et chansons populaire, à l’image de sa culture musicale. Il renouvelle plus d’une fois l’expérience de créer de tels programmes inédits à travers le monde, affichant une capacité unique à user de son instrument de ténor tout en restant fidèle au style de ce qu’il interprète. ​ Dans ces prestations scéniques - comme dans le travail de création qui l'accompagne – Alagna trouve une forme de respiration ainsi que de nouvelles ressources, et y gagne également une aura toute particulière, rare dans le monde lyrique. Son émouvante Marseillaise interprétée le 14 juillet 2005 au pied de la tribune présidentielle sur les Champs-Elysées reste dans les mémoires. Aussi, le récital qu’il donne en 2009 dans le cadre prestigieux des jardins du Château de Versailles fut un autre temps fort remportant l'adhésion d'un public élargi. A cette occasion, il amène près de 8000 personnes à l'écouter interpréter des airs célèbres de l'opéra français mais aussi remettre à l'honneur certains ouvrages oubliés de ce répertoire, sous la direction de son complice, le chef Michel Plasson. ​ UN ARTISTE COMPLET ​ Roberto Alagna apparaît dans de nombreux DVD. Le cinéma l'appelle également. Tout d'abord avec Tosca de Benoît Jacquot (2001), puis Roméo et Juliette de Barbara Willis Sweete (2002). Sur scène comme dans ces film-opéras, Roberto Alagna donne pleine mesure à ses talents d'acteur pour lesquels, dès 1995, il avait été distingué du prix Laurence Olivier au titre de son interprétation londonienne de Roméo. Une récompense théâtrale britannique très rarement attribuée à un artiste lyrique. Récemment en mai 2022, il fait une apparition aux côtés de Michèle Laroque et MB14 dans le film Ténor de Claude Ziddi Jr., en y interprétant son propre rôle. ​ Ouvert aux expériences innovantes, au service de la promotion de l'art lyrique, Roberto Alagna se prête régulièrement à l'exercice exigeant des retransmissions télévisuelles ou cinématographiques en direct (à Orange, au Metropolitan Opera de New York, à Vienne…). Convaincu de l'importance du DVD dans l'avenir de l'opéra enregistré et de l'intérêt de décloisonner les disciplines artistiques, il s'engage également, en collaboration avec ses frères David et Frédérico, dans des réalisations originales telles que Orphée et Eurydice de Gluck, Cyrano de Bergerac d'Alfano, Pagliacci de Leoncavallo, Werther de Massenet... Paru début 2014, le DVD de cette dernière production restera classé neuf semaines consécutives au classement des ventes de DVD musicaux français tous genres confondus. ​ Explorant sans cesse de nouveaux territoires artistiques, Roberto Alagna apparaît régulièrement à la télévision française, dans des émissions spéciales ou des spectacles musicaux dédiés qu’il concourt à construire (Roberto Alagna chante Noël , Roberto Alagna chante le Royaume-des-Deux-Siciles à Versailles , Les plus beaux duos de Roberto Alagna …) ​ Il inspire livres et films documentaires. Après avoir raconté sa saga familiale dans un premier livre (Je ne suis pas le fruit du hasard - Alagna/Mazingarbe, Ed. Grasset), il prend lui-même la plume en 2018 sous la sollicitation de son ami Alain Duault pour écrire son “Dictionnaire intime” (Mon dictionnaire intime – Alagna/Duault, Ed. Le Passeur). ​ Fin janvier 2023, il complète encore son expérience artistique au-delà des scènes d’opéra et fait ses débuts sur la belle et légendaire salle parisienne des Folies Bergère dans le costume du célèbre Al Capone , incarnant le rôle titre d’un spectacle musical spécialement composé pour lui par Jean-Félix Lalanne. ​ UNE PASSION COMMUNICATIVE POUR LA VOIX ET LA SCÈNE ​ Mu par sa passion de la voix, c'est avec enthousiasme et sérénité qu'il aborde ses nombreux projets. Sur la scène lyrique, ses derniers engagements témoignent de toute l'amplitude de son répertoire. Au cours des dernières années, il l’élargit encore avec plusieurs prises de rôle, par exemple Des Grieux dans Manon Lescaut de Puccini au Metropolitan Opera, Azaël dans L’enfant prodigue de Debussy en version concertante à Paris, Eleazar dans La Juive d’Halévy à Munich ou Rodolfo dans Luisa Miller de Verdi à Monte-Carlo. KS Alagna fait des débuts remarqués dans le rôle de Samson dans Samson et Dalila de Saint-Saëns à Vienne en 2018, ouvre la saison suivante du Metropolitan Opera avec cet ouvrage et le reprend aux Chorégies d’Orange en 2021. Après avoir chanté sa 100ème performance à l’Opéra de Paris en Otello , il monte également pour la 100ème fois sur la scène du Royal Opera House en mai 2019, dans Andrea Chenier . Début 2020 au Metropolitan Opera, il fait un retour très réussi dans une reprise acclamée de La Bohème , à 24 ans d’intervalle et 30 ans après ses débuts dans le rôle de Rodolfo. Fin 2020, il fait des débuts remarqués dans le répertoire Wagnérien, dans le rôle titre de Lohengrin , qu’il reprend avec brio en avril 2022 à Berlin. En août 2021, il se produit pour la première fois aux Arènes de Vérone avec deux doubles prestations dans les rôles de Turiddu et Canio. Il y reviendra en août 2022 dans Carmen . ​ Début 2022, il se produit en récitals solo Salle Gaveau et en ouverture de La Semaine du Son de l’UNESCO 2022 dont il était le parrain, puis en récitals duo au Bozar de Bruxelles et à la Philharmonie de Paris. Au même moment, il est appelé par l’Opéra national de Paris pour un remplacement dans Manon de Massenet et relève le challenge de revenir au rôle du Chevalier qu’il n’avait plus incarné depuis 11 ans. Il poursuit à New York avec Tosca en mars 2022. En juillet 2022, il est appelé par le Royal Opera House pour Pagliacci . A l’automne 2022, il ouvre brillamment la saison 2022/2023 avec une nouvelle prise de rôle en Loris Ipanov dans Fedora de Umberto Giordano, marquant ainsi son grand retour sur la scène du Teatro Alla Scala, avant de rejoindre la production de Tosca au Metropolitan Opera. Début 2023, il joue Al Capone pour 45 dates aux Folies Bergère, dans un spectacle musical de Jean-Félix Lalanne. Après une série de concerts lyriques en solo ou duo à Zürich, Sofia, Tours, Athènes, Las Palmas, Toulouse , Roberto Alagna se produit à l’été 2023 sur la scène ouverte de l’Arena di Verona dans Tosca et Madama Butterfly . Ses projets pour la prochaine saison comprennent entre autres : Cavalleria Rusticana au Royal Opera House, Turandot au Metropolitan Opera, Tosca aux Chorégies d'Orange et divers concerts, dont une tournée des églises françaises consacrée aux chants sacrés et d’inspiration sacrée. . ​ Biographie | Mars 2024

  • Roberto Alagna | Tenor | Site Officiel - Official Website | robertoalagna.com

    ROBERTO ALAGNA TENOR | WEBSITE OFFICIEL Bas de page Sur la scène lyrique internationale depuis près de 40 ans, le ténor franco-sicilien inscrit plus de 60 rôles à son répertoire et opère avec succès des incursions régulières dans la chanson. Authentiquement populaire et aimé d'un large public, séduit par tous les aspects du chant et insatiable passionné de la voix, explorant sans cesse de nouveaux territoires artistiques, l'artiste mène une carrière inédite. PORTRAIT par Sylvain Fort (Extraits) : ❝ Roberto Alagna naît de parents siciliens en banlieue parisienne. Il aguerrit sa technique vocale en écoutant les grands ténors du passé et en suivant les conseils d'un vieux maître cubain, Rafael Ruiz. Pendant des années, il va, le soir, chanter dans les cabarets en s'accompagnant à la guitare. Mais son jardin secret, c'est l'opéra. En 1988, à 25 ans, il remporte le concours Pavarotti. La voix d'Alagna est lumineuse, irradiante. Les plus grandes scènes internationales, de New York à Vienne et Londres, lui ouvrent immédiatement leurs portes ; il est acclamé partout. Sa voix s'élargit, il ajoute à son répertoire les maîtres-rôles de l’opéra italien. Il poursuit avec enthousiasme son exploration des rôles français, et remet à l’honneur des opéras oubliés. Cette curiosité séduit des compositeurs contemporains qui composent pour lui. Peu nombreux sont les artistes lyriques à frayer ainsi de nouvelles voies. La discographie de Roberto Alagna reflète l’étendue de sa curiosité musicale. Le DVD y occupe également une place majeure. Il s’intéresse même aux techniques de réalisation. Le metteur en scène Benoît Jacquot lui demande d’incarner Mario dans la version cinématographique de Tosca, qui fait la part belle au jeu des chanteurs-acteurs. Adopté par un large public, sans jamais renier ses exigences de chanteur du grand répertoire lyrique, Roberto Alagna apparaît sur les plateaux de télévision où il donne la réplique à des chanteurs de variété, participe à des concerts caritatifs ou à des événements d’exception. Alagna aborde les grands rôles avec une fraîcheur inouïe, dans les plus grands théâtres du monde, à un rythme que personne d’autre que lui ne pourrait tenir. A cela s’ajoutent régulièrement les prises de risque et les initiatives étonnantes où le ténor s’engage à la surprise générale, sur un coup de cœur ou par instinct. Aux artistes qui cherchent le secret de l'élixir de jouvence, Alagna pourrait sans aucun doute répondre : la générosité, l’amour du public… et un inépuisable enthousiasme.❞ Plus à propos de Roberto Alagna > ACTUALITÉ REJOIGNEZ ROBERTO ALAGNA SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX Retrouvez toute l'actualité de Roberto Alagna sur sa page FACEBOOK officielle : concerts, opéras, disques, informations quotidiennes, contenus exclusifs et bien d'autres sujets à propos du ténor. Suivre sur FACEBOOK > Roberto Alagna est également présent sur INSTAGRAM et sur TWITTER, et partage du contenu vidéo sur sa chaîne YOUTUBE. Sur Scène Dernièrement / Prochainement Agence exclusive MARINELLA ALAGNA MANAGEMENT Contact > Album 2024 (à paraître le 5/04/2024) ❝ SEIGNEUR ❞ Un disque empreint de spiritualité. Entre foi, amour et espérance, une musique pétrie de sentiments, d’émotions et de vitalité. Mêlant chants sacrés, chansons françaises et italiennes, l’album inspire et transmet toute la complicité spontanée d’un trio passionné : le ténor Roberto Alagna, accompagné du guitariste Jean-Félix Lalanne et du pianiste Marek Ruszczynski. Plus à propos de l'album > Album 2022 ❝ AL CAPONE ❞ Dans cet album et en Vinyle Collector, retrouvez 21 chansons extraites d'AL CAPONE, le spectacle musical de Jean-Félix Lalanne avec Roberto Alagna dans le rôle titre, Bruno Pelletier en Eliot Ness, Anggun dans le rôle de Lili, Thomas Boissy dans le rôle de Franck Capone. Plus à propos de l'album > ARVO PÄRT 2022 ❝ STABAT MATER ❞ Le Morphing Chamber Orchestra de Tomasz Wabnic, interprète les plus belles œuvres instrumentales du compositeur estonien, ainsi que l'un de ses chefs-d'œuvre vocaux, le STABAT MATER, chanté par trois des plus grandes voix d'opéra actuelles, Roberto Alagna, Aleksandra Kurzak et Andreas Scholl. Plus à propos de l'album > Album 2020 ❝ LE CHANTEUR ❞ Roberto Alagna consacre un album tout entier à la grande et belle chanson française et partage toute l'émotion, le plaisir et les souvenirs qu'elle évoque en lui. Plus à propos de l'album > Album 2019 ❝ CARUSO 1873 ❞ Roberto Alagna célèbre le légendaire ténor Enrico Caruso avec une sélection d’airs et chansons retraçant la carrière discographique de son illustre aîné, de 1902 à 1920. Plus à propos de l'album > Album 2018 Duos ❝ PUCCINI IN LOVE ❞ Aleksandra Kurzak & Roberto Alagna Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak consacrent leur album aux plus beaux duos d'amour de Puccini, avec le Sinfonia Varsovia Orchestra sous la direction de Riccardo Frizza. ​ Plus à propos de l'album > Haut de page Roberto Alagna | Trailer Lire la vidéo Facebook Twitter Pinterest Tumblr Copiez le lien Intégrer vidéo Lien copié Haut de page

  • ACTUALITE | Roberto Alagna

    Bas de page Actualité Chaque jour, trouvez des nouvelles de Roberto Alagna, en consultant ses profils officiels sur les réseaux sociaux : Communiqués, concerts, opéras, disques, informations, partages, contenus exclusifs et bien d'autres sujets à propos du ténor ... Rejoignez-le dès aujourd'hui en vous inscrivant/abonnant à ses réseaux et recommandez les autour de vous. Faites grandir notre communauté ! FACEBOOK CLIQUEZ SUR L'IMAGE POUR EXPLORER https://www.facebook.com/RobertoAlagna.Tenor INSTAGRAM TWITTER CLIQUEZ SUR L'IMAGE POUR EXPLORER https://twitter.com/roberto_alagna Haut de page

  • LIVRES - AUTEUR | Roberto Alagna

    Menu PUBLICATIONS Bas de page Avec Alain Duault ❝ MON DICTIONNAIRE INTIME ❞ Parution le 21 février 2019 Éditions Le Passeur ISBN: 9782368906101 / 141 x 206 cm / 252 pages Infos Editeur | Commander le livre > Ancre Livres Dico Mon Dictionnaire Intime Avec Alain Duault C'est au fil des pages de son Dictionnaire Intime et des mots égrenés par ordre alphabétique que le ténor se livre et se dévoile en compagnie d'Alain Duault. Roberto Alagna se dévoile comme jamais et livre ce qui l’anime, les valeurs auxquelles il croit et ce qui donne du sens à son existence. (L'Editeur) ​ ❝ C’est une intimité souvent émouvante, parfois surprenante, toujours attachante que révèle ce livre unique, une sorte de photographie intérieure d’un artiste à la voix incomparable. ❞ Quinzaines ❝ L'émouvante introspection de Roberto Alagna : le ténor se raconte avec passion dans un ouvrage qui lui ressemble. ❞ Laure Joanin-Llobet ❝ Dans un dictionnaire pas comme les autres, le ténor nous en dit plus sur lui: l’opéra bien sûr mais aussi sa vie personnelle, ses idées, ses pensées. Et l’on découvre ainsi que Roberto Alagna ne manque pas d’humour. Il a été ovationné dernièrement à New York où il interprétait le rôle de Don José dans l’inoubliable opéra Carmen de Georges Bizet. Roberto Alagna est une bête de scène. Car il faut, certes, du courage et une bonne condition physique pour monter sur scène pendant au moins trois heures mais il faut surtout du travail. Beaucoup de travail. Le ténor franco-italien, qui a débuté en chantant dans des pizzerias et des cabarets, publie son Dictionnaire intime dans lequel il en dit plus sur lui. Comme il nous l’a précisé: "Dans ce livre, tout est vrai". Ce dictionnaire a été écrit comme un jeu de question-réponse: Alain Duault, spécialiste de la musique classique, lui envoyait des mots et Roberto Alagna donnait ses réponses. C’est à travers celles-ci que vous découvrirez quel homme se cache derrière l’exceptionnel chanteur. ❞ Alain Maestracci Continuer Continuer Continuer Menu PUBLICATIONS Autobiographie ❝ JE NE SUIS PAS LE FRUIT DU HASARD ❞ Parution le 17 janvier 2007 Éditions Grasset ISBN: 9782246685418 / 141 x 225 cm / 304 pages Infos Editeur | Commander le livre > Ancre Livres Fruit du Hasard Je ne suis pas le fruit du hasard Avec Danièle Mazingarbe ❝ Au printemps dernier, j'étais à New York pour chanter Faust au Metropolitan Opera. Les fenêtres de ma chambre, au trentième étage, donnaient sur les arbres de Central Park. Je repensais aux récits de mon arrière-grand-mère Antonietta : son arrivée en bateau dans cette ville, voici bien longtemps, l'émouvante vision de la Statue de la Liberté dans le petit matin, sa rencontre avec son futur mari, ce Mister Jimmy à la voix légendaire. Je repensais à la lignée qu'ils engendrèrent, les hommes et les femmes de ma famille, tous amoureux de la voix, qui bercèrent mon enfance de grands airs et de chansons. Je ne suis pas le fruit du hasard, mais l'enfant d'une longue évolution des générations. ❞ Roberto Alagna En entreprenant d'écrire sa vie, Roberto Alagna ne voulait pas se contenter de raconter sa carrière, mais plutôt de faire comprendre d'où il vient. C'est l'objet de cette véritable saga, quête des origines, récit plein de romanesque d'une vie aux accents souvent dramatiques sur fond de bel canto. L'histoire commence à New York dans les années 1920, quand l'arrière grand-mère de Roberto, venue de Sicile avec son père, fait la connaissance du beau Jimmy à la voix de velours. Ils rencontreront le mythique ténor Caruso et auront quelques relations avec une certaine amicale des Siciliens d'Amérique? Nous suivons ces Italiens passionnés d'art lyrique, où tout le monde chante et connaît des livrets d'opéra par coeur, jusqu'à la naissance de Roberto, en 1963, à Clichy-sous-Bois, dans la banlieue parisienne. Son père est maçon, comme son grand-père, comme ses oncles. L'enfance entre immigrés, une adolescence rythmée par Elvis Presley, la découverte de sa voix, ses débuts de chanteur dans des cabarets, le difficile chemin jusqu'à la gloire : l'autobiographie de Roberto Alagna déborde d'anecdotes, d'images fortes, séduit par sa sincérité. Ce livre surprenant devrait intéresser un très large public, au-delà du cercle des amateurs d'opéra. (L'Editeur) ❝ Non Roberto n'est pas le fruit du hasard, car membre d'une famille de Siciliens immigrés où les belles voix ne manquent pas, qui a le chant dans la peau et dans le sang. Pour le reste, son récit montre bien que s'il occupe aujourd'hui cette position de star lyrique, ce n'est pas sans un concours de circonstances étonnant. La découverte de la musique à travers le film Le Grand Caruso et son interprète Mario Lanza, les chansons siciliennes entonnées dans les pizzerias puis les cabarets, les rencontres inattendues avec des professeurs de musique peu conformistes : n'est-ce pas, quand même, une suite de hasards ? Songez que quand il fit ses débuts sur scène dans La Traviata pour une tournée du festival de Glyndebourne, Roberto n'avait jamais assisté à un opéra et ne connaissait pas l'intégralité de son rôle. Il venait néanmoins de remporter le concours Pavarotti C'est donc la réussite éclatante d'un fils de l'immigration qu'il décrit : l'enfance à Clichy-sous-Bois, l'apprentissage du français, les bagarres, puis la bande de copains guitaristes et chanteurs, l'omniprésence familiale, les débuts fracassants à Monte-Carlo et Milan, le mariage avec Florence, morte trop vite d'une tumeur, puis le grand amour. Tout cela se laisse lire agréablement et nous fait découvrir un tempérament attachant. ❞ La Croix ❝ Plus qu’une simple narration, évocatrice des choix de vie et de répertoire, le texte du ténor est à l’égal de sa personnalité : entier, déterminé, tranché mais aussi tendre et généreux. ❞ ClassiqueNews ​ ​ Menu PUBLICATIONS Haut de page

  • CRITIQUES - REVUES DE PRESSE p1 | Roberto Alagna

    Index CHRONIQUES Bas de page CRITIQUES - REVUE DE PRESSE 2021 2021-Concert Saint Denis 2021-NuitVerdienne-Orange 2021-SamsonDalila-Orange 2020 2020-Lohengrin-Berlin SO 2020-Pagliacci-Wien 2020-Butterfly-München ... 2021 LA SUITE >> 2019 2019-Cav&Pag-Barcelona 2019-DonCarlo-Paris 2019-AndreaChenier-ROH Extraits21 Chro-Samson 2021 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX SAMSON ET DALILA, SAINT-SAËNS | THÉÂTRE ANTIQUE, ORANGE chorégies D'ORANGE 10 JUILLET 2021 + RETRANSMISSION TV VENTOUX-OPERA - BRUNO ALBERRO | ❝Roberto Alagna, le retour du Héraut en Samson ❞ EXTRAIT (publié en français): " Pour incarner ce personnage il fallait un lieu à la dimension du mythe de ce personnage biblique où le ténor pourrait exprimer sa vaillance et son engagement. Au théâtre antique, Roberto Alagna se voit offrir un monument dédié à l’histoire pour exprimer les états d’âme de Samson, héros et guide d’un peuple prisonnier de sa trahison, de sa foi et de son amour pour Dalila. Plus que des qualités vocales, ce rôle nécessite une présence pour focaliser le regard dans de longues arias où il sera seul, sur l’immense plateau de quelque 70 mètres d’ouverture. De bons chanteurs il y en a un bon nombre, capable de concentrer l’attention seul sur scène beaucoup moins. Roberto Alagna ou Marie-Nicole Lemieux font partie de ses raretés. " FORUM OPERA - CHRISTIAN PETER | ❝La prestation de Roberto Alagna lui vaut un accueil triomphal du public, subjugué par sa vaillance et l'ampleur de son medium. Forme vocale éblouissante, diction irréprochable, incarnation subtile et fouillée ❞ EXTRAIT (publié en français): " Un spectacle d’ouverture éblouissant pour lequel Jean-Louis Grinda a réussi l’exploit de réunir une distribution de haut vol entièrement francophone dont la diction, globalement irréprochable, permet de suivre l’action sans avoir recours aux surtitres. Roberto Alagna dont c’est le grand retour aux Chorégies d'Orange dans un personnage qu’il rêvait d’incarner sur cette scène après l’avoir promené de Vienne à New-York en passant par Paris, témoigne d’une forme vocale éblouissante. Il faut dire que le rôle convient idéalement à ses moyens vocaux actuels. Dès son entrée, « Arrêtez, ô mes frères », l’auditoire est subjugué par la vaillance dont il fait preuve et l’ampleur de son medium. Tout au long du spectacle Roberto Alagna propose une incarnation subtile et fouillée qui culmine dans un air de la meule déchirant. Au salut final, sa prestation lui vaut un accueil triomphal du public local." RESMUSICA - PATRICE IMBAUD | ❝Un Samson incontournable. Roberto Alagna est parfaitement convaincant de bout en bout par ses arguments vocaux comme par son abattage scénique ❞ EXTRAIT (publié en français): " Il faut bien reconnaître que depuis sa prise de rôle à l’Opéra de Vienne en 2018, suivie d’une brillante confirmation au MET, Roberto Alagna est devenu en quelques années, et à juste titre, un Samson incontournable. Dans le cadre de la répétition générale à laquelle nous avons assistée, Roberto Alagna campe un Samson parfaitement convaincant de bout en bout par ses arguments vocaux (puissance, diction, legato, timbre et homogénéité du chant dans tous les registres) comme par son abattage scénique " BACHTRACK- FRANCOIS JESTIN | ❝Deux étoiles sous le ciel d'Orange, Alagna inégalable... Clarté du texte, diction prodigieuse, forme vocale resplendissante, medium élégant, graves nourris, aigus brillants et robustes ❞ EXTRAIT (publié en français): " On redoute l’avertissement de Jean Louis Grinda directeur des Chorégies d'Orange « si un artiste voulait se réserver pour la première de samedi, je suis sûr que vous comprendriez… ». Mais la crainte disparaît rapidement, l’équipe artistique ne s’économisant en rien en prévision de l’unique représentation avec public du 10 juillet. [...] C’est surtout la présence du couple formé par Roberto Alagna et Marie-Nicole Lemieux dans les deux rôles-titres qui crée l’évènement. Dès son entrée en scène, le ténor français déroule une diction absolument prodigieuse associée à une forme vocale resplendissante. Le medium est élégant, les graves nourris et les aigus suffisamment brillants et robustes. Ne serait-ce que pour la clarté du texte, Alagna dans un bon soir paraît inégalable à l’heure actuelle ! " L’ÉCHO DU MARDI - ANDREE BRUNETTI | ❝Enthousiasme général pour le retour tant attendu dans le rôle-titre de Samson de Roberto Alagna, qui fait preuve d'une immense générosité dans sa prestation lors de la générale et reçoit une véritable ovation ❞ EXTRAIT (publié en français): " Samson et Dalila dont la générale a eu lieu mercredi soir a littéralement soulevé l’enthousiasme des 4 000 spectateurs massés dans les gradins, soit la moitié de la contenance habituelle, jauge sanitaire oblige. De retour aux Chorégies pour la 16ème fois, Roberto Alagna qui a déjà chanté ‘Samson’ il y a 3 ans au Metropolitan de New-York et à Paris le reconnaît : « Il n’y a jamais de rôle facile pour un ténor. Ce personnage est intense et demande beaucoup d’émotion, la tessiture est ample et chanter en plein air avec parfois du mistral exige le meilleur » et Roberto a fait preuve d’une immense générosité dans sa prestation. Il a reçu une véritable ovation mercredi à l’issue de la générale avec de longs applaudissements qui lui ont fait au chaud au cœur. Au point qu’avant de rentrer dans sa loge, il a fait nombre de ‘cheks’ aux spectateurs ébahis d’une telle proximité " DIAPASON - VINCENT AGRECH | ❝Samson en majesté à Orange. Roberto Alagna et Marie-Nicole Lemieux illuminent Le Théâtre Antique d'Orange. Il valait la peine d'attendre cinq ans le retour de Roberto pour le titre qu'il voulait mordicus donner aux Chorégies d'Orange, et une année supplémentaire induite par le report. Bravo ❞ EXTRAIT (publié en français): " Un couple star au sommet dans la fresque biblique de Saint-Saëns. On le savait pour lui, tant la tessiture et la projection sont idéalement ceux du rôle, avec ce que son prédécesseur n'y eut jamais, la lumière d'or dans le timbre, et par-dessus tout cette fusion de la diction française et du phrasé qui, d'une leçon de déclamation, fait un grand moment de musique et de poésie. [...] L'entente musicale et théâtrale entre les deux partenaires est tout simplement idéale ; sans rien perdre de spectaculaire, l'œuvre se départ grâce à eux de toute emphase, ces mots qui par d'autres sonneraient convenus redeviennent d'aujourd'hui pour nous bouleverser à chaque instant et chaque accent. Il valait la peine d'attendre cinq ans le retour de Roberto pour le titre qu'il voulait mordicus donner à Orange, et une année supplémentaire induite par le report. Bravo aux Chorégies pour cette persévérance, et pour reprogrammer des œuvres sortant des sentiers battus, qui ont tant à nous dire ici. " ÔLYRIX - JOSE PONS | ❝Triomphe mérité pour un Samson tout de clarté et d'intensité. Samson et Dalila font vibrer le mur du Théâtre Antique d’Orange ❞ EXTRAIT (publié en français): " Absent des Chorégies d'Orange depuis plusieurs années, Roberto Alagna reconstruit d’emblée des liens forts avec le public présent. Dans une forme vocale optimale, il campe un Samson tout de clarté et d’une intensité expressive remarquée. Ténor lyrique bien plus que dramatique, Roberto Alagna émeut par un chant conduit avec ferveur notamment dans ses interventions au 1er acte, suffisamment puissant, à l’aigu assuré et aux notes tenues avec une belle facilité. Sa diction idéale et sa latinité marquent le rôle dans tous ses retranchements et ses contradictions. […] Le public réserve un triomphe mérité à l’ensemble des protagonistes de ce Samson et Dalila, ovationnant longuement Roberto Alagna pour son retour. […] L’unique soirée publique aura lieu samedi 10 juillet et fera l’objet d’une retransmission simultanée sur les ondes de France Musique, puis d'une diffusion sur France 5 le 16 juillet. " LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ - PASCAL TURC | ❝Une distribution éblouissante captive l'auditoire. La générale sur la voix du succès ❞ EXTRAIT (publié en français): " L’immensité du lieu, l’absence de décor, le souffle de la nuit, tout concorde pour mettre les voix des artistes au premier plan. Et justement ces voix captent, capturent et captivent l’auditoire qui en reste muet d’émotion. Une distribution éblouissante qui a ravi les quelque 4500 spectateurs de ce mercredi soir 7 juillet à l’occasion de la générale. " LE FIGARO - CHRISTIAN MERLIN | ❝Aux Chorégies d'Orange, Roberto Alagna et Marie-Nicole Lemieux portent haut Saint-Saëns. Sur la scène du Théâtre antique d’Orange dans Samson et Dalila, ils brillent par leur chant et leur interaction parfaite ❞ EXTRAIT (publié en français): " Lui chante avec sa voix claire et haute, sans jouer à l’assombrir, sa diction française exemplaire, son legato de haute lignée, et sans chercher à claironner pour faire héroïque. Elle sait qu’il n’est pas besoin de forcer pour passer la rampe à Orange, faisant confiance à la sensualité naturelle de son timbre, à l’élégance de sa ligne de chant et à la qualité de ses nuances. Leur interaction est superbe, tant pour le mariage des voix que pour la sensibilité à fleur de peau de ces deux amoureux sincères" KRONEN ZEITUNG | ❝Quel Samson ! Roberto Alagna a tout éclipsé. Fêté en héros de cette soirée de gala, il a interprété le magnifique rôle de ténor héroïque avec une émission claire et distincte, confiant et assuré dans le haut registre ❞ EXTRAIT (traduit de l'allemand): " Roberto Alagna, quel Samson ! En France, c'est un "lieu magique de l'opéra". Le Théâtre Antique de la petite ville provençale d'Orange est l'arène à ciel ouvert la mieux conservée au monde d'il y a 2000 ans. Le roi Louis XIV a qualifié la muraille romaine de 37 mètres de haut de "plus belle muraille" de son empire. [...] Le Grand Opéra "Samson et Dalila" de Camille Saint-Saëns a été mis en scène par Jean-Louis Grinda, directeur du Festival et de l'Opéra de Monte-Carlo, dans la tradition, mais dans le respect de l'oeuvre, avec les choeurs de l’Opéra de Monte-Carlo et de l'Opéra d'Avignon. […] Le ténor star Roberto Alagna, qui a déjà chanté plus de [15] rôles dans la célèbre arène, a tout éclipsé. Il fut fêté en héros de cette soirée de gala. Il a interprété ce magnifique rôle de ténor héroïque avec une émission claire et distincte, confiant et assuré dans le registre aigu." OPERA ACTUAL - ALBERT GARRIGA | ❝Alagna s'approprie Samson. Éblouissant de bout en bout, avec naturalité de timbre, musicalité, vaillance, courage, simplement superbe et émouvant, il érige son Samson comme la référence actuelle du rôle ❞ EXTRAIT (traduit de l'espagnol): " Roberto Alagna revient à Orange avec un rôle qu'il a déjà interprété avec succès en 2018 pour Vienne, Paris et le Met, mais que depuis il n'avait plus repris jusquà cet été. […] Le chanteur franco-italien, bon connaisseur de son instrument, était en permanence Samson […] Son Samson fut éblouissant de bout en bout, pour son timbre naturel caractéristique, pour sa musicalité, sa vaillance et son courage. Au 2ème acte, il fut tout simplement superbe et couronne son air du 3ème acte "Vois ma misère, hélas!" d’une prodigieuse et émouvante lamentation, érigeant son Samson comme la référence actuelle pour le rôle." CONCERTONET - CLAUDIO POLONI | ❝Un Samson d'exception. Le spectacle est illuminé par le somptueux Samson d’Alagna qui séduit sur toute la ligne : diction irréprochable, projection insolente, aigus claironnants, accents véhéments. Un Samson fougueux et incandescent, au meilleur de sa forme. La soirée restera dans les mémoires grâce à la splendide prestation de Roberto Alagna ❞ EXTRAIT (publié en français): "Un Samson d’exception. Bonheur. C’est le premier mot qui vient à l’esprit lorsqu’on pénètre dans Le Théâtre Antique d'Orange. Bonheur d’assister à une représentation d’opéra dans un cadre majestueux après l’annulation de l’édition 2020 des Chorégies d'Orange. […] Le spectacle de cette édition 2021 est illuminé par le somptueux Samson de Roberto Alagna, qui séduit sur toute la ligne: diction irréprochable, projection insolente, aigus claironnants, accents véhéments, le ténor campe un Samson fougueux et incandescent, au meilleur de sa forme. […] Jean-Louis Grinda a assuré une mise en place extrêmement fluide et efficace des choristes et des chanteurs, exploitant habilement le cadre du Théatre antique. Tout au long du spectacle, des vidéos sont projetées sur le mur et la scène finale, qui voit la destruction du temple, est particulièrement impressionnante. A n’en pas douter, la soirée restera dans les mémoires grâce aà la splendide prestation de Roberto Alagna. Tous ceux qui n’ont pas eu la chance d’y assister pourront s’en rendre compte le 16 juillet, en regardant le spectacle sur France 5." GBOPERA - JOCELYNE DE NICOLA | ❝Superbe représentation. Roberto Alagna - allure sans ride, voix affirmée, chaude et ronde, très à l’aise sur l’immense scène - impose sa présence, s’investit, transmet ses sentiments et nous fait vivre de belles émotions musicales. Beauté du timbre, phrasé musical, souffle, aigus colorés, diction parfaite, sincérité du chant et du personnage ❞ EXTRAIT (traduit de l'italien): "Roberto Alagna, absent des Chorégies d'Orange depuis 6 ans, retrouve le chemin de cette immense scène pour le plaisir de tous les amateurs d’opéras. Samson est le rôle qu’il souhaitait interpréter ici; c’est chose faite. Son allure n’a pas pris une ride et la voix reste affirmée, chaude, ronde. Toujours très à l’aise sur cette scène qu’il connaît bien il impose sa présence dès son entrée et l’on retrouve, dans cette tessiture qui lui convient, toutes les qualités qui nous ont séduits depuis de nombreuses années : beauté du timbre, phrasé musical, souffle, aigus colorés dans une diction parfaite. Ce que nous aimons aussi chez le ténor français c’est la sincérité de son chant et de ses personnages. S’investissant, il nous transmet ses sentiments ; on le sent guerrier, vainqueur, tourmenté par ses doutes, fragilisé par sa passion, réveillé par sa foi. Sur cette immense scène, Roberto Alagna a su, encore une fois, nous faire vivre de belles émotions musicales et nous espérons qu’elles ne seront pas les dernières ici. […] Superbe représentation qui commémore avec brio le centenaire de la disparition du compositeur et succès assuré." TV83 - JEAN-PIERRE PRINCIPIANO | ❝Alagna impérial, domine la soirée : diction incisive et ample, émission parfaite, vaillance dans l’aigu rayonnant, legato, notes tenues éclatantes, incarnation émouvante, retrouvailles heureuses ❞ EXTRAIT (publié en français): "Alagna impérial. On aura sans doute perçu, outre l’émotion du retour, une grande qualité d’écoute de la part du public . Très attendu, le ténor Roberto Alagna était au rendez-vous. Vaillance dans les aigus de la fin des deux actes « Trahison ! » et « En ce lieu ! » avec un [Si b] éclatant et tenu, il a surtout dominé la soirée par sa diction française parfaite (on comprend tout ce qu’il chante) et rappelons-le sans micro. Il a incarné le héros biblique avec émotion, retenue et un legato ne cédant pas à des effets faciles. Son émission est parfaite, sa diction incisive et ample rappelant la grande tradition des ténors français tel que George Thill et l’aigu rayonnant. […] Une belle soirée lyrique, hommage à la musique et au chant français à travers une oeuvre fleuron du grand opéra romantique. Retrouvailles heureuses d’un public avec ce lieu mythique et son ténor préféré." CLASSIQUENEWS - ERNST VAN BECK | ❝Alagna, très convaincant en Samson, démontre une intensité qui émeut, une grandeur vulnérable et pourtant surnaturelle ❞ EXTRAIT (publié en français): "La production de Samson et Dalila par Jean-Louis Grinda souligne opportunément le centenaire Saint-Saëns 2021. Roberto Alagna [se révèle] très convaincant en Samson guidé par l’Ange de Jehova, héros humain et tristement naïf, investi par sa mission divine, bientôt vaincue par Dalila, sirène fatale, pilotée par le Prêtre de Dagon. Libérateur malgré tout des hébreux, Samson / Alagna démontre dans le III, une intensité qui convainc et émeut, une grandeur vulnérable et pourtant surnaturelle." TOUTE LA CULTURE - PAUL FOURIER | ❝Une fête musicale. Avec Roberto Alagna : timbre impeccable dans l’intonation, la projection et la diction ❞ EXTRAIT (publié en français): "Le ténor porte à bout de bras la nouvelle production de l’opéra de Camille Saint-Saëns dans Le Théâtre Antique d'Orange. Après quelques années d’absence, cette production sonne comme le grand retour de Roberto Alagna sur cette scène qu’il connaît bien pour y avoir déjà chanté à seize reprises. L’artiste […] imprime au rôle toute sa science du chant. Si Roberto Alagna est un immense chanteur, il est aussi, dans l’opéra français, un diseur hors pair, imprimant à chaque mot, à chaque phrase une diction souveraine. Celle-ci, alliée à une projection parfaite, permet, ce soir, à chaque spectateur de l’immense théâtre de savourer chacune des syllabes, chacun des mots du livret de Ferdinand Lemaire. Une simple phrase comme « Tes pleurs ravivent ma douleur » lui suffit pour humaniser le héros biblique. Si l’on ajoute à cela une intelligence du texte et un legato inaltéré, l’on se demande qui aujourd’hui, peut, mieux que lui peut interpréter le personnage. En somme, ce soir, Alagna faisait de Samson, le symbole de sa propre puissance inaltérée." LE MONDE - MARIE-AUDE ROUX | ❝Le Samson idéal de Roberto Alagna déchaîne les Chorégies. Retour triomphal dans un rôle dont il est sans doute le meilleur tenant actuel. Forme olympique. Éblouissante subtilité. Véritable succès public ❞ EXTRAIT (publié en français): "A tout seigneur, tout honneur. C’est peu de dire que Roberto Alagna fait un retour triomphal aux Chorégies d'Orange dans un rôle dont il est sans doute le meilleur tenant actuel, comme en témoignent ses incarnations sur les scènes internationales, sans oublier Paris (en version de concert en juin 2018 au Théâtre des Champs-Elysées). […] La forme olympique du grand ténor français s’affiche d’emblée. Souffle, clarté, puissance, aigus solaires, medium gorgé de couleurs, le Samson d’Alagna est idéal, jamais monolithique, mais au contraire d’une éblouissante subtilité, imprégnant chaque phrase et chaque inflexion de théâtre et de poésie" LA PROVENCE - F.B. | ❝Des retrouvailles vibrantes autour de "Samson et Dalila". Ce rôle tourmenté, vocalement exigeant va à Roberto Alagna comme un gant. Ferme et vaillant, émouvant, déchirant dans ses ultimes implorations à Dieu, la voix plus puissante et plus claire que jamais, dans une diction parfaite, il affiche une forme éblouissante qui crève littéralement l'écran ❞ EXTRAIT (publié en français): "Quelles émotions ! Le théâtre antique bondé vivait et vibrait enfin à nouveau ce samedi soir pour accueillir Samson et Dalila. Quel bonheur de retrouver les Chorégies d'Orange après un an, Roberto Alagna (6 ans), Marie-Nicole Lemieux (5 ans) et l'opéra du génial Saint-Saëns (43 ans) dans un déconfinement maîtrisé, une joie largement partagée. Roberto Alagna l'avait promis en 2015 : "Je reviendrai aux Chorégies si l'on me propose de chanter Samson ". On comprend pourquoi. Ce rôle tourmenté, vocalement exigeant, partagé entre amour de Dieu et amour humain, lui va comme un gant. La voix plus puissante et plus claire que jamais, dans une diction parfaite, affichant une forme éblouissante qui crève littéralement l'écran. Samson-Alagna sait être ferme et vaillant, "Frères brisons nos chaînes", émouvant dans son duo, lançant à plusieurs reprises "Dalila, je t’aime", déchirant dans ses ultimes implorations à Dieu : "Daigne pour un instant Seigneur, me rendre ma force première !" OPERA ONLINE - ALAIN DUAULT | ❝L'évidence du métier. Une leçon de chant. Samson semble d’une parfaite évidence : Roberto Alagna, que le temps ne semble pas atteindre, a 58 ans et chante comme s’il en avait 30. La maîtrise apaisée de ses moyens inentamés fait merveille. Diction admirée, timbre lumineux, émission claire, haute, franche, sens du phrasé qui sait alterner souplesse et mordant, legato tout simplement parfait. Scéniquement pas de surjeu ni dans l'ardeur combattante, ni dans la détresse : beauté nue d'une incarnation. Complète réussite d’un spectacle qui marquera l’histoire des Chorégies d'Orange ❞ EXTRAIT (publié en français): "La caractéristique de Samson et Dalila est de tout concentrer sur trois personnages, Samson, Dalila et le chœur. Le chœur est homogène, comme s’il ne faisait qu’un, ses déplacements sont toujours justes, sans emphase, ajoutant une évidence visuelle à son expressivité. Des deux autres personnages, le premier qui apparait, Samson, semble lui aussi d’une parfaite évidence : Roberto Alagna a 58 ans et il chante comme s’il en avait 30 ! C’est, comme celui de Samson, le secret préservé de ce ténor que le temps ne semble pas atteindre. Au contraire, la maîtrise comme apaisée de ses moyens inentamés fait merveille comme rarement dans ce rôle : on sait combien sa diction française est source d’admiration autant pour le public que pour ses collègues, mais c’est parce qu’elle est assise sur un timbre lumineux, une émission claire, haute, franche, un sens du phrasé qui sait alterner souplesse et mordant, un legato tout simplement parfait : une leçon de chant ! D’ailleurs, il ne surjoue rien non plus scéniquement, il est Samson, dans son ardeur combattante comme dans sa détresse. Beauté nue d’une incarnation. L’évidence du métier. [...] Complète réussite d’un spectacle qui marquera l’histoire des Chorégies – et qui rassure sur la capacité à unir des forces multiples pour servir une grande œuvre, avec de grands artistes parfaitement choisis, avec une probité mise au service de cette œuvre, c’est-à-dire l’évidence du métier." PREMIERE LOGE - LAURE CHAUVRIS | ❝Retour triomphal de Samson et Dalila aux Chorégies d'Orange. Roberto Alagna en très grande forme, la voix à son firmament, au medium puissant et plein, aux aigus larges. Du grand, très grand Alagna ! ❞ EXTRAIT (publié en français): "Roberto Alagna, en très grande forme, incarne un Samson tout en nuances, à la fois héroïque et sûr de la puissance de son Dieu incarné par un ange-enfant aux ailes lumineuses qui le guide au premier acte, galvanisant les Hébreux et les incitant à se libérer du joug des Philistins, et plein de doutes dès qu’apparaît Dalila, son talon d’Achille, jusqu’au sacrifice final où il retrouve sa force perdue pour détruire les ennemis des Hébreux. La voix est à son firmament, au medium puissant et plein, aux aigus larges jusqu’à ce contre-ut final magnifique qui clôt l’ouvrage et laisse le spectateur ébahi et émerveillé. Un frisson parcourt le public avant que ne se déclenche un tonnerre d’applaudissements. Du grand, du très grand Alagna !" JOURNAL ZIBELINE - SUZANNE CANESSA | ❝Samson et Dalila fait trembler les murs du Théâtre Antique. Alagna s’impose comme l’un des plus grands interprètes contemporains de Samson ❞ EXTRAIT (publié en français): " Conçu pour l’édition de 2020, le très attendu Samson et Dalila habilement mis en scène par Jean-Louis Grinda avait déjà conquis, en 2018, le public monégasque. Il n’a fait qu’une bouchée de celui des Chorégies. La distribution, idéale, est évidemment pour beaucoup dans ce succès. Celle-ci rassemble Roberto Alagna, qui s’est imposé comme le plus grand interprète contemporain de Samson, et Marie-Nicole Lemieux, qui l’avait accompagné lors d’une version concert il y a trois ans. L’alchimie entre les deux interprètes demeure intacte une fois transposée à la scène : sur le vaste plateau du Théâtre Antique, le timbre corsé et la voix puissante d’Alagna, qui sait passer en une note de la joie au sanglot, se marient à merveille au vaste ambitus de Lemieux […]. Ce Samson-là semble à peine sorti de l’enfance, fasciné par la séduction complice et sensible d’une Dalila chaleureuse […]." LE MONDE - RENAUD MACHART | ❝Samson et Dalila magnifié par un Roberto Alagna des grands soirs ❞ EXTRAIT (publié en français): " L’opéra-péplum de Saint-Saëns, filmé dans le cadre grandiose du théâtre antique d’Orange, en juillet 2021, est magnifié par le français Roberto Alagna et la canadienne Marie-Nicole Lemieux. Interprété par un Roberto Alagna des grands soirs et une Marie-Nicole Lemieux à la voix capiteuse, les deux chantant un français d’une parfaite intelligibilité, le tout dans une mise en scène signée Jean Louis Grinda." Chro-NuitVerdienne21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT TRIO, NUIT VERDIENNE | CHOREGIES D'ORANGE, THEÂTRE ANTIQUE 24 JUILLET 2021 VENTOUX OPERA - BRUNO ALBERRO | ❝TRIO IMPÉRIAL ET CHARISMATIQUE sous la statue d’Auguste. Alagna, de cette veine de champion qui impulse l’énergie. La magie opère. Résultat au-delà des espérances, surtout quand on est chez Verdi, où rien n’est simple sauf l’apparence ❞ EXTRAIT (publié en français): " A l’opéra Roberto Alagna est de cette veine de champion qui impulse l’énergie. On l’a vu ce samedi soir aux Chorégies d'Orange où il partageait la scène du théâtre antique avec le baryton Ludovic Tézier et la basse russe Ildar Abdrazakov. Un trio impérial sous la statue d’Auguste. Pouvait-on rêver mieux ? […] Trois interprètes sur l’immense plateau sans décor et pourtant tellement rempli de leur présence. Et c’est bien là aussi la classe : occuper l’espace sans artifice autre que son costume de ville et des chaussures vernis. Simplement en étant là avec sa voix et son charisme. Et la magie a opéré, dépassant les attentes du public. Il suffit de garder à l’image le rappel où les trois complices ont délaissé Verdi pour aller vers d’autres arias. […] Si le rappel a été festif, si la complicité des trois chanteurs était prégnante, tant Alagna, que Tézier ou Abdrazakov se devaient de convaincre, même des spectateurs acquis à leur cause et à leur notoriété. Et le résultat était au-delà des espérances, surtout quand on est chez Verdi, où rien n’est simple sauf l’apparence. Il suffit de se souvenir de l’entame d’Alagna avec l’air l’Alvaro dans La Force du destin, Tézier demandant pitié pour qu’on lui rende sa fille dans Rigoletto ou encore cette longue tirade de Philippe II/ Abdrazakov dans Don Carlo. " Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT, CHANTS SACRéS & AIRS D'Opéra | BASILIQUE SAINT-DENIS, SAINT-DENIS FESTIVAL DE SAINT-DENIS + FACEBOOK Streaming 10 JUIN 2021 MAG DE SAINT DENIS - GEORGES MAKOWSKI | ❝L’audience est captivée. Notes tenues jusqu’au souffle le plus ténu, émotion pleine mais sans emphase, rarement il aura été donné d’entendre une humilité aussi brillante. ‘L’enfance du Christ’ tout en nuances, le public suspendu jusqu’à la dernière note du dernier Alleluia… Céleste. Rodrigue incarné avec justesse, puissant, mais humble et digne à la fois. Après le Français, l’italien, le latin, voilà qu’il s’attaque à un autre répertoire : Roberto affirme un Lohengrin à la fois plein d’assurance et de modestie, pourtant flamboyant. Alagna a gagné son pari, avec son interprétation de Wagner, il a littéralement emporté le public, debout, qui n’en finit pas de lancer des bravos. En rappel, l’Ave Maria de Gounod finit de faire chavirer le public. Roberto offre un dernier cadeau, un Notre-Père de sa composition, a capella, subtil et magistral. ❞ EXTRAIT (publié en français) : " Sous la baguette du chef David Giménez, le concert débute enfin par l’Intermezzo de L’Arlésienne de Bizet. Cordes et cuivres puissants font résonner la haute voûte du chef-d’œuvre gothique. Les puissants piliers sont animés d’un long frisson, les ogives s’ébrouent, la nef tout entière s’accorde, les pierres répondent à l’orchestre. Par les vitraux, le soleil lui-même darde ses derniers rayons pour apercevoir le phénomène : après un trop long silence, la Basilique Saint-Denis est de nouveau réveillée ! Roberto Alagna, s’avance, déjà acclamé par un public séquano-dionysien impatient d’entendre « son » ténor, en concert pour la première fois dans le département qui l’a vu naître et grandir. Silence complet. A cappella, Roberto Alagna entame un Pietà, Signore, tout entier dans la prière. L’audience est captivée, l’artiste en équilibre sur le fil tendu de l’émotion, plein de maîtrise. Au moment d’entamer la deuxième pièce, les projecteurs principaux cessent de fonctionner ! Dans une semi-obscurité, Alagna souriant désigne le ciel et lance : « Il n’est pas content ! Pietà, Signore ! » Après quelques minutes, c’est dans une ambiance désormais plus feutrée encore que Roberto Alagna entonne le Panis Angelicus de César Franck. […] Notes tenues jusqu’au souffle le plus ténu, émotion pleine mais sans emphase, rarement il aura été donné d’entendre une humilité aussi brillante. Quelques mois auparavant, Roberto Alagna nous avait confié : « Pour le Festival, dans cette très belle basilique dont l’architecture touche au divin, j’ai voulu un concert aux intonations sacrées. Je dis toujours que le chant est de l’ordre de la prière, alors là c’est l’endroit idéal. » Le ténor poursuit avec L’Enfance du Christ d’Hector Berlioz. Roberto Alagna et le chef David Giménez s’accordent parfaitement sur son interprétation. Rien d’étonnant, les deux musiciens ont plusieurs fois travaillé ensemble par le passé, notamment lors de leur tournée Viva Verdi !. La voix du soliste, l’ensemble de l’orchestre, peignent ensemble un tableau de la Sainte Famille tout en nuances, le public suspendu jusqu’à la dernière note du dernier Alleluia … Céleste ! Et voici que l’éclairage revient ! Juste à temps pour donner tout son relief à l’Ave Maria de Schubert, puis un extrait du Cid de Massenet où Roberto incarne avec justesse un Rodrigue certes puissant, mais humble et digne à la fois. […] Français, italien, latin, voici les langues chantées habituellement par Roberto Alagna. Mais le voilà qui s’attaque à un autre répertoire, celui de Wagner : « J’ai choisi Lohengrin, car je trouve que ce héros envoyé du domaine du Graal par son père pour combattre le Mal a une dimension christique. C’est en tout cas le caractère que j’ai voulu lui donner. » A l’image du reste du concert, l’Orchestre national d’Île-de-France livre alors un Wagner plein de nuances, évoquant tout autant la calme puissance que les couleurs subtiles du Rhin où le compositeur puisa si souvent son inspiration. Roberto lui, affirme un Lohengrin à la fois plein d’assurance et de modestie, flamboyant pourtant sur ces derniers vers : « Mein Vater Parzifal trägt seine Krone, Sein Ritter ich – bin Lohengrin gennant. » Alagna a gagné son pari, avec son interprétation de Wagner, il a littéralement emporté le public, debout, qui n’en finit pas de lancer des bravos. En rappel, l’Ave Maria de Gounod finit de faire chavirer le public. Roberto s’excuse alors de ne pouvoir continuer plus longtemps, couvre-feu oblige et offre un dernier cadeau, un Notre-Père de sa composition, a capella, subtil et magistral ! En loges après le concert, Roberto Alagna était tout sourire : - Le public parisien superbe, pour moi, c’est presque de la famille ! Dans ce lieu, il y avait quelque chose de sacré et je crois que le programme était émouvant pour ça. Après cette pandémie, je trouve que c’était à propos. - Votre premier concert en Seine-Saint-Denis était très attendu, c’est devenu un événement… - Et bien vous voyez ! Il faut qu’on en fasse d’autres ! Saluez bien vos lecteurs pour moi ! " FRANCE INFO - LORENZO CIAVARINI AZZI | ❝Roberto Alagna en communion avec le public de la basilique réussit son entrée dans l’histoire du Festival de Saint-Denis avec une soirée musicale émouvante. Avec les prières chantées yeux fermés avec une emphase opératique surprenante et les chants sacrés, il dégage une plaisante sérénité et achève de saisir le public avec l'Ave Maria de Schubert, à la fois solaire et visiblement ému. Les bravos et les hourras pleuvent. La 2nde partie offre davantage d’opéra. L’air du Cid, au crescendo très maîtrisé, touche le public. Bouleversant dans les airs de Lohengrin, ses graves sont puissants et ses aigus émouvants. Un chanteur généreux à qui le public le rend bien, en l’ovationnant de longues minutes debout ❞ EXTRAIT (publié en français) : " " Aie pitié Seigneur, de ma souffrance ", dit le texte : contrition douloureuse chantée les yeux fermés par le ténor et emphase opératique surprenante. […] Les prières et autres chants sacrés s'enchaînent. Superbes "p auper, servus et humilis " (le pauvre, le serviteur, le petit) du célèbre ‘Panis Angelicus' de César Franck, en latin mais prononcé "à l'italienne". Œuvre religieuse (mais ô combien non liturgique) de Berlioz, ‘Le repos de la Sainte Famille’ (de L'enfance du Christ) dégage une plaisante sérénité. Enfin le tube qu'est l'’Ave Maria’ de Schubert achève de saisir le public : Alagna, à la fois solaire et visiblement ému. Les "bravos" et "hourras" pleuvent. La seconde partie du concert offre davantage d'opéra : un tube français, cette fois, l'air ‘Ah tout est bien fini… Ô Souverain, ô juge ô père ’, tiré du Cid de Massenet touche le public, et en particulier son crescendo final très maîtrisé. Et une nouveauté, Roberto Alagna chante Wagner pour la première fois en France. Des airs de Lohengrin, l'opéra qu'il a donné en streaming dans son intégralité à Berlin l'hiver dernier. Après le déchirant prélude porté avec brio par l'orchestre, Alagna bouleverse dans ‘Nun sei bedankt ’, ou ‘In Fernem Land ’ dans une langue où on ne l'attend pas spontanément. Ses graves sont puissants et ses aigus émouvants dans ‘Mein Lieber Schwann ’. Alagna est un chanteur généreux et le public le lui rend bien, l'ovationnant de longues minutes debout. Mais le couvre-feu à 23 heures oblige à accélérer le pas et le rappel : un ‘Ave Maria’ de Gounod qu'il chante sourire aussi lèvres et une surprise, un ‘Notre Père’ de sa composition, d'une grande sobriété, qu'il interprète a cappella. L'émotion est à son comble. Le ténor aura réussi son entrée dans l'histoire du Festival qui démarre aujourd'hui sa 52e édition, et son come back chez lui en Seine Saint-Denis. " ÔLYRIX - FRÉDÉRIQUE ÉPIN | ❝Miraculeuse Basilique … Un évènement d’exception, un programme très varié d’œuvres ayant un lien avec l’univers sacré et offrant une montée en puissance dramatique jusqu’au pic d’intensité avec Wagner. Roberto Alagna se présente en grande forme et offre une prestation généreuse et sincère. Sa voix toujours projetée rend précieux les sons piano en voix mixte et diminuendo, sans jamais amollir sa vocalité. Dans l’intensité accrue, il rayonne au maximum émettant des aigus insolents sur le mot « Graal ». Le crescendo d’intensité dramatique s’achève en une « standing ovation » du public et un Notre Père a capella, les yeux fermés, paraissant en appeler à toutes les forces bienfaitrices de la musique pour qu’elles nous délivrent du mal et adoucissent les temps à venir. ❞ EXTRAIT (publié en français): " Roberto Alagna ouvre le Festival de Saint-Denis : miraculeuse Basilique. Ce concert d’ouverture est un évènement d’exception, Roberto Alagna se produisant pour la première fois au Festival de Saint-Denis : un moment très attendu par un public enchanté de pouvoir de nouveau participer au rituel du concert et applaudir la vedette internationale. Le programme rassemble des œuvres très variées ayant cependant, pour la plupart, un lien avec l’univers sacré […] L’ordre des morceaux interprétés offre une montée en puissance dramatique, de la mise en voix avec Stradella jusqu’au pic d’intensité avec Wagner. Reconnu dans le répertoire italien et français du XIXe siècle, c’est avec toute sa maturité vocale que le ténor aborde le répertoire wagnérien […] Roberto Alagna se présente en grande forme en offrant une prestation généreuse et sincère. Sa voix résonne jusqu’au fond du chœur de la basilique, sans jamais être couverte par l’orchestre symphonique, et au fond du cœur du public qui l’ovationne après chacune de ses interventions. Il interprète chaque air avec franchise, la voix toujours projetée, rendant précieux les sons piano en voix mixte (« jour éternel » dans l’air de Rodrigue ou encore chaque fin de phrase en diminuendo dans l’air de Lohengrin « l’adieu au cygne »). Avec son habitude du répertoire italien et son phrasé particulier, il souligne le legato et soigne le passage d’une note à l’autre. Cependant sa vocalité n’est jamais amollie tant sa projection est présente. Et c’est dans l’intensité accrue qu’il rayonne au maximum (l’adieu à Elsa) émettant des aigus insolents sur le mot « Graal ». Le crescendo d’intensité dramatique évolue de pair avec celui des applaudissements du public, s’achevant en une « standing ovation ». Roberto Alagna, heureux, le gratifie de deux bis, L'Ave Maria de Gounod et un Notre Père qu’il chante a cappella, les yeux fermés, paraissant en appeler à toutes les forces bienfaitrices de la musique pour qu’elles nous délivrent du mal et adoucissent les temps à venir." Ancre Extraits 2020 Chro-Lohengrin2020Berlin Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX LOHENGRIN, Wagner | STAATSOPER UNTER DEN LINDEN, BERLIN Streaming 13 DEC 2020 CLASSIQUENEWS - ERNST VAN BECK | ❝Puissant, clair, large médium jamais forcé, grand style, véritable intensité, présence engagée et incandescente, détermination virile, la maîtrise nécessaire du vibrato et l'ardeur expressive propre au personnage du Chevalier Sauveur. ❞ EXTRAIT (publié en français) : " En tant qu'acte de résistance contre l'asphyxie dont souffrent les maisons d'opéra en Europe, l'Opéra d'État de Berlin a réussi le pari de présenter Lohengrin sur scène en décembre 2020, sans public mais diffusé à huis clos, via Internet, afin que chacun, depuis son salon ou tout écran connecté (l'opéra chez soi), puisse apprécier les enjeux artistiques de cette nouvelle production wagnérienne à Berlin. Un atout majeur est le début du rôle de Roberto Alagna en tant que rôle-titre, égayant une planète lyrique mondiale profondément déprimée. Le Français joue le chevalier descendu du ciel pour sauver l'honneur de la princesse Elsa von Brabant. Puissant, clair, serré comme une lame d'acier, avec la maîtrise nécessaire du vibrato et l'ardeur expressive propre au caractère du chevalier sauveur, Roberto Alagna incarne avec beaucoup de style et une véritable intensité, la figure juste et rayonnante du chevalier prophétique (d'autant plus que le milieu est large, jamais forcé). Le vaillant Céleste brille d'une détermination virile, une présence souvent engagée, parfois incandescente. Soulignant tout ce qui est italien dans le rôle d'un Lohengrin latinisé. " OMBRAMAIFU.SIMDIF.COM | ❝Alagna réussit haut la main son pari wagnérien. Panache, vaillance, style, ton, diction, projection, souffle sont au rendez-vous. Dans son chant, l'émotion et l'humanité culminent. Comme si ce Lohengrin était une évidence pour lui ❞ EXTRAIT (publié en français): " Dans les ténèbres du monde sinistre et irrécupérable de Calixto Bieito, seule rayonne la lueur de Roberto Alagna, qui réussit haut la main son pari wagnérien. On ne peut que saluer l'accomplissement du ténor français qui a su renouer avec la mémoire de George Thill, en jouant ce rôle majeur en plus en allemand et sur une scène allemande ; Et ô surprise, le panache, la vaillance, le style, le ton, la diction, la projection, le souffle sont là, avec cette grâce méditerranéenne qui sied si bien au héros qui a émergé de Montsalvat. Le naturel et l'aisance sont là aussi, comme si ce Lohengrin était pour lui une évidence. Mais surtout, il transmet dans son chant l'émotion et l'humanité qui culminent avec lui dans le dernier acte avec une sobriété infinie. " MERKER ONLINE - URSULA WIEGAND | ❝Alagna's Lohengrin is full of zest for life and spiritual power. He fills the role with charm and warmth and never sounds brutally threatening. His sung German is surprisingly good. I like the timbre of his tenor. ❞ EXCERPT (translated from German): " I like the timbre of Alagna's tenor. His Lohengrin isn’t a Wagnerian warrior from the gray North, but a sailor from the sunny Mediterranean shores, full of zest for life. He doesn’t defeat his rival with weapons, but with spiritual power. I find his sung German surprisingly good, yet this Wagner‘s language with which he is unfamiliar was certainly not a given for him. On balance, he did a good job at this premiere and filled the role with charm and warmth. His 'Nie sollst Du mich befragen ' doesn't sound as brutally threatening as I heard from other performers. " TEATRO.IT - GILBERTO MION | ❝Exciting interpretation by Alagna, youthful freshness, vibrant heroism, wide and strong vocal line, generous diction, incisive phrasing, resonant bright singing. A touch of Mediterranean sensuality so that impetus, passion and tragedy merge completely together. ❞ EXCERPT (translated from Italian): " A cast of excellence - The voices do not disappoint Wagner's fans | Roberto Alagna should have debuted in the difficult role of Lohengrin - his first attempt in the great German repertoire - two years ago in Bayreuth, but he had to renounce eventually. So it’s a nice revenge and a well-deserved achievement. In the exciting interpretation of the French-Sicilian tenor and in the features of his mysterious warrior, we see youthful freshness and vibrant heroism; the vocal line is wide and firm, the diction generous, the phrasing incisive, the singing resonant and bright. It’s natural, among other things, that the vocal line Alagna adopted to create Parsifal's son, is the one that proceeds from Melchior to Domingo – and therefore not only noble and sensitive, but also with a touch of Mediterranean sensuality - so that operatic impetus, passion and tragedy completely merge together. " OPERACLICK - INGRID HAAS | ❝A complete triumph for Roberto Alagna in his first Lohengrin. Vocal elegance, clear German diction, stage presence reminding that this knight comes really from another world. Phrasing his music with elegance, his voice at ease with the role, bright tone, shiny high notes and the meaty quality to face the dramatic moments of the score. His ‘In fernem Land’ was very touching, more human. His Lohengrin is full of nuances, showing goodness, strength and uniqueness among the other characters. ❞ EXCERPT (published in English): " One of the most anticipated role debuts in the opera world happened at the Staatsoper Unter den Linden in Berlin: French tenor Roberto Alagna’s first Lohengrin. It is not surprising that he decided to sing the role of the knight of the Grail. This role is one of the most lyrical and “Italian” within the Wagnerian operatic catalogue and it has also gorgeous music to sing. Staatsoper assembled a wonderful cast which attracted the attention of all the audience worldwide. […] Roberto Alagna sang Lohengrin with his usual vocal elegance, with clear German diction and a stage presence that reminded us that this knight comes really from another world more pure and kind than the one in which the action takes place. The staging didn’t give Lohengrin’s entrance the magical and ethereal atmosphere that traditional productions might give this moment but the beauty of Alagna’s 'Nun sei bedankt, mein lieber Schwan ' compensated the lack of mysticism from the staging and he also looked dashing in his white suit. In this production the “Schwan” that carried Lohengrin to Brabant is just a paper swan (in origami style) that Alagna had in his hand in the moment he appears on stage. His Lohengrin is full of nuances, showing the character’s goodness but also his strength and, at certain point, his uniqueness, among the rest of the characters. He was the only man dressed in a lighter colored suit (creamy white) with the word 'Liebe ' (love) in the back of his jacket. Alagna’s voice felt at ease with the role, singing it with bright tone, shiny high notes and phrasing his music with elegance. One of the vocal highlights of his performance, apart from his two arias, was the duet with Elsa 'Das süsse Lied verhallt; wir sind allein ' , where he showed his voice has the meaty quality to face the dramatic moments of the score. He had a good counterpart in Vida Miknevičiūtė’s tormented Elsa. His 'In fernem Land ' was very touching, less heroic, more human, showing Lohengrin’s disappointment and sadness over Elsa’s betrayal. A triumph for Roberto Alagna! […] The singing and the playing of the orchestra in this performance in Berlin gave us the grandeur and beauty of Wagner’s score.It was a complete triumph for Roberto Alagna in his first Lohengrin [and tour-de-force performance]. " OPERNGLAS - URSULA EHRENSBERGER | ❝In this showpiece for Heldentenor, Roberto Alagna was able to put his own personal stamp on the role. In accordance with his voice type, Alagna approached Wagner’s hero with a mixture of Italian Belcanto culture and French elegance, with his bomb-proof top range benefiting him, not only in a radiant "Es heißt der Gral”, and with sensitive impressive melting piani. It’s worth emphasizing how clear and intelligible Alagna’s text was, proof of an intensive preparatory work. ❞ EXCERPT (translated from German): " The story of an obstacle role-debut ended that night in front of the cameras. It was the Berlin State Opera Unter den Linden that finally ensured the right to feature the tenor star's first Lohengrin. This project, too, would almost fall victim to the second Corona shutdown if the broadcaster Arte Concert hadn't stepped in with a slightly delayed TV streaming, under the somewhat provocative motto of "We remain open". Due to the broadcast starting at 10:20 p.m., it was almost 2:00 a.m. when Alagna alias Lohengrin finally revealed the secret of his identity in the Grail Tale. But the waiting was worth it, because the Frenchman with Sicilian roots was also able to put his own personal stamp on this role in this showpiece for Heldentenor. In accordance with his voice type, Alagna approached Wagner’s hero with a mixture of Italian Belcanto culture and French elegance, where his bomb-proof top range benefited him, not only in a radiant "Es heißt der Gral ”. Nevertheless, this Swan Knight made the most lasting impression when he showed his completely anti-heroic and sensitive side, making us hear melting piani in “Elsa ich liebe dich “ or “Willst du die Frage an mich tun? ”. Last but not least, it is worth emphasizing how clear and intelligible Alagna’s text was, which proves an intensive preparatory work. " OPERAEOPERA.COM - NATALIA DI BARTOLO | ❝A protagonist of a very refined kind and endless exploration, mediating with a strong personality between Thill and the great German performers of the tradition. Full spiritual ease. Nuanced phrasing and great attention to the style. High-class, tasteful, tranquil interpretation with no excess, neither vocal nor scenic. Ethereal and deliberately almost angelic on the stage floor. Fluent pronunciation. Mastery of the tessitura’s difficulties. ❞ EXCERPT (translated from Italian): " On his debut in the title role, Roberto Alagna appeared on stage with full spiritual ease; he let us foresee that and then confirmed the anticipation: there was no excess on his part, neither vocal nor scenic : tasteful, homogeneous, tranquil, nuancing his phrasing with a great attention to the style, the famous tenor played Lohengrin by moderating the Teutonic impetus of the role and eliminating any outrageousness. He seemed just to rest on the stage floor, he was ethereal, deliberately almost angelic in his movements. However, with an unusual and high-class interpretation, there was no denying that vocally the Wagnerian hero was all there and was only himself: no indulging in any character from the immense Italian or French repertoire that the great tenor has always been familiar with. Roberto Alagna, for the first time cast in a role of the German repertoire, "was" Lohengrin, also in the fluency of the pronunciation, in dealing with the tessitura’s difficulties, culminating in the scene of the bridal chamber and above all in the finale in an interpretation of the finest vocal quality. A sort of hero-anti-hero, therefore, without distorting either the character nor the role at all, but rather imposing himself as a protagonist of a very refined kind and endless exploration, mediating with a strong personality between Thill and the great German performers of the tradition. All this leads us to hope to hear and see him again in the same role soon. " SEAN AND HEARD INTERNATIONAL - JIM PRITCHARD | ❝Ideal combination of the lyrical and heroic in Alagna's authoritative tenor voice. Unearthly beauty of his 'In fernem Land'. Glory in the exquisite softness he brought to 'eine Taube' ❞ EXCERPT (published in English): " What promise there was in his ideal combination of the lyrical and heroic in his authoritative tenor voice. I have personally known other Lohengrins who did not speak German and they usually interpret the words they are singing better than those who do. Alagna’s crowning moment was the unearthly beauty he brought to his solemn and sensitively shaded ‘In fernem Land’. Just glory in the exquisite softness he brings to ‘eine Taube’ and I clearly believed I could see and hear a dove descending. " OBSERVER - JAMES JORDEN | ❝Panache and vocal refinement. Remarkable fitting into Bieito’s conception. ❞ EXCERPT (published in English): " Tenor Roberto Alagna took on his first Wagner role with panache and vocal refinement. Perhaps most remarkable of all is how Alagna fit into Bieito’s conception. The tenor is usually romantic and fiery on stage, whatever the role, but here he seemed to recede. Even Lohengrin’s great solo “Höchstes Vertraun ” in which the knight reminds Elsa of how much she should be grateful for his rescue of her, took on an unexpectedly sinister interpretation. The hero sounded pompous and self-pitying as he mansplained; meanwhile, Miknevičiūtė glared resentfully. The immaculate playing of the State Opera orchestra and, in particular, the lively and propulsive conducting of Matthias Pintscher, would sound world-class at the best of times. Under the current adverse conditions, their music making was simply a miracle. " MERKER ONLINE - KRISTIAN KONZ | ❝A successful evening. A well flowing large tenor which vocally leaves nothing to be desired. An astonishingly good German articulation. An atmospheric and most radiant Grail Telling in Act 3. ❞ EXCERPT (translated from German): " Roberto Alagna's debut as Lohengrin was eagerly awaited. And we can say that he vocally leaves nothing to be desired: His flowing, large tenor flows well through the phrases. His German articulation is astonishingly good […]. He succeeds well in his Grail Telling in the third act – it is atmospheric and most radiant. […] Thanks to mostly excellent singing performances, it is an overall successful evening. One wishes and hopes for everyone involved, that this can soon be shown in front of an audience. " L'OPERA INTERNATIONAL MAGAZINE - BERND HOPPE | ❝A solemn interpretation with a sense of sacredness. Vocally, Roberto Alagna dominated the part in an authoritative way. ❞ EXCERPT (translated from Italian): " Roberto Alagna's eagerly awaited debut as the title hero was certainly a reason to let the premiere take place. The tenor created a solemn interpretation with a sense of sacredness: Lohengrin is a kind of stranger who came from another world to bring a new and different message to confused humanity, subject to fallacy and deception, in need of guidance. On a vocal level Roberto Alagna dominated the part in an authoritative way, relying on an articulated and incisive declamation, which highlighted the most important moments of the part, from the greeting to the Swan, to the duel with Telramund, the duet with Elsa and to the great Grail narration that concludes the work. " VARIOUS | ❝Alagna is an asset of this new production. A debut full of light flexibility. An expressive performance. Powerful and moving top notes. High quality of vocal performances, care for phrasing. ❞ BERLINER MORGENPOST - VOLKER BLECH (translated from German): " In a white suit, Roberto Alagna sings his way through his role debut, full of light flexibility. Like all great tenors, he assumes that on stage he is always the hero, the adored or longing lover. Bieito can think what he wants. Alagna is an asset of this new production." MERKER ONLINE - ALEXANDER WALTHER (translated from German): “Roberto Alagna shows an expressive performance as Lohengrin. The tenor conjures up the top notes in a powerful and moving manner.” BACHTRACK - LORENZO FIORITO (published in English): “The vocal performances were of high quality. Franco-Italian tenor Roberto Alagna and Lithuanian soprano Vida Miknevičiūtė made their role debuts as Lohengrin and Elsa of Brabant. Alagna depicted an idealist, self-centred, not-so-heroic hero: his interpretation had something creepy that seemed to fit the role according to the director's intentions. […] Good care for phrasing.” . " VARIOUS | ❝A new Knight shines in Berlin. Awareness of style, tasteful portamento, melodic flow, natural piani, stamina, high notes securely in place, fluent pronunciation, elegant presence. Fine form. Generous singing, bright and steady tone. The result is fully convincing. A Lohengrin of a very high level . ❞ OPERANEWS - A.J. GOLDMANN (published in English): "A New Knight Shines in Berlin – In recent years Alagna’s repertoire has expanded in exciting and unexpected directions. I’ve been dazzled by his Samson (in Vienna) as well as his courageous Vasco da Gama during Deutsche Oper’s recent Meyerbeer cycle. As Lohengrin, the tenor summoned muscular tones and sculpted them into deftly supported phrases. He imbued his interpretation with a beatific, almost naïve tenderness shot through with vulnerability. (…) It was a deeply considered debut that shone brightly in the midst of a musically ravishing production." RML - I HEAR VOICES – BLOG (published in English): “Lohengrin is a role entirely within the possibilities of the French tenor, who has tackled far more demanding parts in his career, such as Verdi’s Otello and Manrico. (…) Alagna sang the role of Lohengrin with awareness of style, employing portamento in a tasteful manner and with an attentive ear to melodic flow, his French accent unobtrusive, rather charming I would say.” MUSICAL AMERICA - GEORGE LOOMIS (published in English): “The event found the tenor in fine form, seemingly relaxed and exuding a sense of accomplishment for finally having brought the feat off. He sang generously with bright, consistently steady tone. His Lohengrin was an appealing figure, and he demonstrated the stamina to carry through, nearly unblemished, to the end, with the several high A’s in the final pages securely in place.” DIE DEUTSCHE BÜHNE - ANDREAS FALENTIN (translated from German): "(Roberto Alagna's Lohengrin is) equipped with a bronze, flowing sound stream (Grail narration!) and elegant, natural piani. (...) The result: musically, a "Lohengrin" of a very high level." OPERA IN CASA - OPERAINCASA.COM (published in English): "The result is fully convincing, because the Italian-French singer remains himself also in this repertoire, with the sensuality and softness of the timbre and the "italianità" of the style, where the voice flexibly bends to the nuances of a lyrically wonderful emission. The fluent pronunciation and the elegant and composed presence make his Lohengrin a character that has nothing heroic or mystical, but exactly what the director requires." Chro-Pagliacci2020 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX PAGLIACCI, LEONCAVALLO | WIENERSTAATSOPER, VIENNE 31 OCT - 2 NOV 2020 (+Streaming) TOUTE LA CULTURE - PAUL FOURIER | ❝Canio superlatif, un rôle devenu aujourd’hui le sien ; exclusivement le sien, sommes-nous tentés de dire, tant chaque note, chaque phrase atteint la perfection. Il est le Canio indétrônable de notre époque. Son ‘Vesti la Giubba’ fit passer dans les rangées du théâtre un souffle de joie pure face à l’art du saltimbanque qui donne tout à son public. ❞ EXTRAIT (publié en français) : " La grande tradition d’excellence de l’Opéra de Vienne, la magnifique simplicité de la belle et grande interprétation. Face à [Nedda], se tient le superlatif Canio de Roberto Alagna. L’on sait à quel point ce rôle lui est cher (l’occasion de relire son interview en trois parties), ne serait-ce que par l’admiration qu’il porte à Enrico Caruso, interprète légendaire. Mais, aujourd’hui, ce rôle est devenu le sien ; exclusivement le sien, sommes-nous tentés de dire, tant chaque note, chaque phrase d’un rôle finalement court, mais dans lequel il est aisé de s’abîmer ou de se consumer, atteint la perfection. Il est le Canio indétrônable de notre époque à un point tel que l’on ne peut qu’admirer comment lui, Roberto Alagna, personnage qui, dans la vie, transpire gentillesse et générosité, parvient à condenser ainsi, dans ce petit frère d’Otello, autant de rage jalouse et de volonté criminelle. L’air ‘Vesti la giubba’ - ce moment de délire, l’un des passages clés du rôle, celui où justement Canio bascule dans la folie - atteint, ce soir, un tel niveau que le public du Staatsoper lui a réservé une inouïe et interminable ovation. Bien sûr, ceux qui attendaient un bis en auront été pour leurs frais, car Roberto n’en fait jamais, mais, dans les rangées du théâtre, l’on sentit alors passer un souffle de joie pure face à l’art du saltimbanque qui donne tout à son public. Plus tard, devenu bête sauvage intraitable, prêt à tuer Nedda, ce Canio, rétablissant la volonté de Leoncavallo, clôturera l’opéra par la fameuse phrase « la commedia è finita », et heureusement, dans cette période troublée, l’on sait qu’elle est loin d’être finie, car Roberto et les beaux artistes de ce monde ont tant de choses à offrir à la comédie comme à la tragédie. Si la phrase sonna aussi comme une prémonition alors que la dernière représentation avant confinement – à l’issue de laquelle les artistes se sont retrouvés bloqués dans l’opéra – allait, trois jours après, se dérouler sur fond d’attentat dans la capitale autrichienne, elle fit souffler un vent d’optimisme, celui d’être toujours accompagnés par ces artistes admirables qui travaillent, répètent, résistent contre vents et marées et continuent à remplir leur beau rôle de saltimbanques afin d’égayer des vies décidément bien empoisonnées par une actualité si anxiogène. " MERKER ONLINE - PETER SKOREPA | ❝Pagliacci became the hit of the evening. The Calabrian protagonists’ couple Alagna and Kurzak sang and played as if they had to prove that the Art form of Opera must not perish. Alagna as Canio: a thrilling singing rendition and vocal achievement, supplemented by an extremely dramatic acting. ❞ EXCERPT (translated from German): " La commedia è finita ! There is no doubt that, on that evening, there was already a feeling of the pandemonic doom and gloom of an impending second lockdown, the rumor foreshadows of a planned interruption of the opera activity were dominating the scene. This later became a certainty: the Calabrian protagonists’ couple Alagna and Kurzak sang and played in Leoncavallo’s Pagliacci as if they had to prove that the Art form of Opera must not perish. And they and their troupe were also successful in it. Leoncavallo’s Pagliacci became the hit of the evening. [...] Roberto Alagna was performing as Canio for the first time at the Vienna State Opera: a thrilling singing rendition, a vocal achievement in the right balance between verismo expression and Italian bel canto, supplemented by an extremely dramatic acting. [...] Big final cheers as far as the corona-related thinned audience was able to do it. " SEEN AND HEARD INTERNATIONAL - JIM PRITCHARD | ❝Roberto Alagna and Aleksandra Kurzak are memorable in Vienna’s Pagliacci on a sad night for the city. Alagna is at the height of his artistic powers and in glorious voice. ❞ EXCERPT (published in English): " Roberto Alagna and Aleksandra Kurzak are memorable in Vienna’s Pagliacci on a sad night for the city. I enjoyed this Pagliacci more than any other over many years. I have never seen Canio and Nedda acted and sung better than real-life couple Roberto Alagna and Aleksandra Kurzak did in their Vienna role debuts. Alagna is at the height of his artistic powers and was utterly committed to the truth of everything his cuckolded character endured. During the play Canio/Pagliaccio must sing like an Otello whilst having (similarly) to act out every green-eyed moment. Alagna was in glorious voice: it was an open-throated, emotive lyric tenor sound with characteristically vibrant top notes. His ‘Vesti la giubba’ was deeply affecting and quite rightly needed no encore though the socially distanced Viennese audience were demanding one. This Cav & Pag is being streamed again on 12 November and I may well watch Pagliacci again as it will live long in my memory, although it is impossible to ignore the circumstances under which it was performed. " VARIOUS | ❝Alagna does not shy away from total commitment, masters effortlessly the high range with a well rested and powerful voice. He impressed with his intense, lively portrayal of a Canio full of energy, dramatic impetus and vocal style. He was able to express the highest level of emotional excitement and its simultaneous waning. Long, strong, grateful applause. ❞ OPERAONLINE.COM - HELMUT PITSCH (translated from German): " Roberto Alagna slips into the role of Pagliacci and earns long applause for his aria ‘Vesti la giubba’. Thereafter he shapes the role with dedication and passion. His voice sounds well rested and powerful. Even in his increasing insane jealousy he effortlessly masters the high range and whirls furiously across the stage. (…) A wonderful Italian evening as a balm for the soul before the enthusiastic audience and the well-deserving artists are locked down." DIE PRESSE - WALTER WEIDRINGER (translated from German): “ Alagna gives full vent to sentimental pathos and thus makes an appropriate impression: after ‘Vesti la giubba’ and the subsequently required sobbing, the audience cheered his performance for several minutes. Alagna does not shy away from total commitment and succeeds with dramatic impetus to go up to the traditionally inserted top notes.” ​ DER STANDARD - STEFAN ENDER (translated from German): “ Tenor Roberto Alagna performed a Canio full of energy. (...) Roberto Alagna was cheered by the audience - including the veteran star Plácido Domingo - with longer acclamation for the hit of the evening, ‘Ridi pagliaccio’. In the course of Leoncavallo’s one-act opera, Alagna (57) impressed with his lively portrayal of the central comedian Canio. Vocally, the star tenor reminded a little of late Udo Jürgens: the character slowly gains access to the overall outlook of his timbre and adds interesting aspects to the pure beauty here and there.” MERKER ONLINE - KAREL MASEK (translated from German): " With Roberto Alagna in the title role, "Pagliacci" had a Canio who, with increasing fever, reached absolute mental limits. His impetus carried the second part of the evening. " MERKER ONLINE - DOMINIQUE TROGER (translated from German): " Pagliacci was also very intense, Roberto Alagna as Canio was the center of the performance, with a lot of applause after his aria and his sobs. What’s more as Canio, Alagna remains stylish enough to know that the aim is not just to sing out loud. Ultimately, this opera lives from the intensification of the acting in the acting and when the audience trembles for Nedda in the finale and desperates of Canio's madness - like this evening - everything is won. Roberto Alagna also succeeded in getting to the heart of it with his ‘La commedia è finita’, expressing the highest level of emotional excitement and its simultaneous waning, capturing the culmination point at which the drama changes completely back to real life […] . " Chro-Butterfly2020 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX MADAMA BUTTERFLY, PUCCINI | BAYERISCHE STAATSOPER, MÜNICH 16.18. 1 OCT - 2 NOV 2020 (+Streaming) KLASSIK.COM - THOMAS GEHRIG | ❝A strong room-filling volume, a warmly ringing medium range, a great and impassioned vocal harmony with Kurzak's Cio-Cio-San, a completely believable acting. ❞ EXCERPT (translated from German): " Kurzak and Alagna had already shone in Munich in 2016 in the production of Halévy's "La Juive". The prominent opera couple works well musically. Alagna, as BF. Pinkerton, presents himself directly with a room-filling volume as one of his great strengths. He convinces above all with a warmly ringing medium range.... Vocally, the two harmonize greatly in the impassionned duet “Vogliatemi bene, un bene piccolino ” at the end of the first act, acting in a completely believable manner. " Ancre Chroniques CavPagLiceu2019 Extraits2019 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CAVALLERIA RUSTICANA, MASCAGNI | GRAN TEATRO LICEU, BARCELONA PAGLIACCI, LEONCAVALLO | GRAN TEATRO LICEU, BARCELONA 5. 9. 13. 18 DEC 2019 SEEN AND HEARD INTERNATIONAL - JOSE M. IRURZUN | ❝Roberto Alagna exceptionnel dans la double affiche Cavalleria Rustica et Pagliacci au Liceu ❞ EXTRAIT (traduit de l'anglais) : " Comme à Berlin en septembre dernier, Roberto Alagna dans le rôle de Turiddu est apparu superbe […]. Sa voix s’est révélée remarquable et parfaitement audible dans toute la salle, tout en conservant sa luminosité bien connue. Il s'est démarqué dans ses interprétations du «Brindis» et de «Addio a la Mamma». Par la suite, Roberto Alagna dans le rôle de Canio fut à nouveau impressionnant. Sa voix ne laisse rien à désirer et son interprétation était appropriée. Le «Vesti la giubba» toujours tant attendu fut brillant, et il a reçu une énorme ovation. Des voix se sont élevées réclamant un «bis», mais il n'a pas été accordé. " PLATEA MAGAZINE - JAVIER DEL OLIVO | ❝L'un des plus beaux timbres de ténor de sa génération, un air applaudi jusqu’à demander le bis, une réalisation impeccable, dramatique sans être trop histrionique, une expressivité et des aigus enviables, un jeu magnifique. Alagna est une référence dans ce répertoire, il l’a montré à nouveau. ❞ EXTRAIT (traduit de l'espagnol) : " Les deux opéras, si ancrés dans la tradition italienne, mais recevant également des influences d'autres mondes lyriques (dont Wagner) et d'avant-garde musicale, requièrent des chanteurs qui soient aussi de grands acteurs. L’action dramatique des deux ouvrages exigent que les voix démontrent également cet aspect. Le chanteur français Roberto Alagna, possesseur d'un des plus beaux timbres des ténors de sa génération, parfaitement reconnaissable et personnel, s’est révélé totalement impliqué dans ses deux rôles, mais surtout en tant que Canio. Son célèbre ‘Vesti le giubba’ a été l’air le plus applaudi de la soirée (jusqu’à demander le bis) à juste raison, car il fut donné de façon impeccable : dramatique sans être trop histrionique et avec une expressivité et des aigus enviables. Ceux-ci ont toujours été prodigués sans difficulté, sauf dans la scène finale de Pagliacci où il était plus fatigué, bien que le jeu était magnifique. Alagna est une référence dans ce répertoire et il l'a montré à nouveau lors de la première du Liceu. " BACHTRACK - MARIA SANCHEZ | ❝Dans une double interprétation méritoire, Alagna est le grand vainqueur de la soirée. Vaillantissime sur scène, offrant une prestation vocale impeccable, pleine d’énergie et de passion, il donne une représentation intense de ses personnages et reçoit une longue ovation. ❞ EXTRAIT (traduit de l'espagnol) : " Tandem superlatif au Liceu: Cavalleria Rusticana & Pagliacci à Barcelone. Le ténor Roberto Alagna est le grand vainqueur de la soirée, se livrant à une véritable course de fond sur le plan du chant et sans la moindre de baisse de régime. Sa prestation fut particulièrement méritoire dans ce doublet (Turiddu/Canio) dans la même soirée, ce qui exige un effort continu et sans pratiquement aucun repos. Sa performance vocale a été impeccable, pleine d'énergie et de passion, mais c’est dans la caractérisation de ses personnages qu’il s’est réellement dépassé. Avec Turiddu dans Cavalleria, il se montre remarquable en un merveilleux duo mélodique «Tu qui, Santuzza?», avec la soprano Elena Pankratova (Santuzza), également splendide. Avec Pagliacci, le haut niveau se maintient ; Alagna (Canio) vaillantissime sur scène, fait la démonstration de toute la capacité expressive de sa voix avec une couleur mature, faisant presque paraître le fameux "Vesti la giubba" comme facile. Une intensité intériorisée mais contrôlée, qui se conclut par une longue ovation du public. " LA VANGUARDIA - JORDI MADDALENO | ❝Sincère et plein de tempérament, Alagna triomphe sans nuance ni équivoque au Liceu, non seulement pour sa force vocale mais aussi pour son jeu d’acteur. Assumant ce tour de force vériste avec une sûreté enviable, un instrument sain et mature et une technique parfaite, Alagna s’impose légitimement comme l’un des grands d’aujourd’hui. ❞ EXTRAIT (traduit de l'espagnol) : " Le ténor franco-sicilien Roberto Alagna a triomphé au Liceu dans le diptyque Cavalleria rusticana et Pagliacci. Le public l'a applaudi pendant deux minutes après l'aria principal de Pagliacci, non seulement pour sa force vocale mais aussi pour son jeu d'acteur. Triomphe sans nuance ni équivoque de Roberto Alagna, dans ce tour de force du répertoire vériste. Le ténor a montré qu'il a gardé son instrument sain et mature, avec une technique parfaite qui lui permet d'assumer ce terrible double rôle avec une sûreté enviable pour quelqu'un qui a 36 ​​ans de carrière à son actif. Extraverti et plein de tempérament, il a chanté avec une couleur chaude et délivre une interprétation dramatique sans artifice. Il se dégage de Roberto Alagna une sincérité musicale et une authenticité expressive, véritables clés du genre vériste. Son Turiddu a été fondamental dans le succès de Cavalleria, puisque la direction musicale quelque peu défaillante et peu fluide au début a été immédiatement bénéficié de l'entrée fougueuse du divo. Le duo avec Santuzza a mis le feu aux poudres et déclenché les premiers applaudissements. Roberto a continué dans Pagliacci à se livrer totalement, ce qui lui a valu de porter le drame vocal avec un son plus dur, mais a renforcé une interprétation courageuse et sans filet. Son exemplaire «Vesti la giubba» a reçu l'ovation de la soirée, le public réclamant un bis qu’il n'a pas donné. En dépit de quelques signes de fatigue dans la scène finale, où il perd en luminosité mais pas en caractère, Alagna s’impose légitimement comme l'un des grands d’aujourd’hui." CODALARIO - RAUL CHAMORRO | ❝Dès le début Alagna affronte avec aisance l’exigeante Sicilienne et son registre tout dans la zone de passage. Beauté et splendeur du timbre, medium robuste, grain et velours, charisme et tempérament. L’une des prestations les plus touchantes entendues en live. ❞ EXTRAIT (traduit de l'espagnol) : " Roberto Alagna est par son timbre, son charisme et sa personnalité le dernier véritable ténor divo de ces dernières décennies. A 56 ans et après 30 ans de carrière essentiellement lyrique, il prend la peine de relever un défi comme chanter le même soir Turiddu et Canio. Tout un tour de force. Dès le début de Cavalleria, Alagna affronta avec aisance l'exigeante Sicilienne, et son registre totalement dans la zone de passage. Le timbre [...] conserve encore de nombreux carats de beauté et de splendeur, avec un medium bien armé, avec du grain et du velours. Bien sûr, son charisme et son tempérament restent intacts, tout comme son phrasé chaleureux et intense, très effusif et avec un grand pouvoir de conviction, des accents vibrants et une articulation du langage d'une grande clarté. Le brindisi 'Viva il vino spumeggiante' fut d’une grande authenticité, une référence. Il s’est donné à fond dans la scène avec Alfio et l’'Addio alla Mamma' . Un grand Turiddu. […] Alagna a parfaitement différencié ce jeune homme impétueux et quelque peu inconscient qui est Turiddu, d'un Canio dont le côté pathétique se détachait de la seule brutalité. Côté vocal, après deux premières interventions,'Un grande spettacolo' et 'Un tal gioco credetemi' , exemplaires, […] les montés de 'Sul tuo amore infranto' et 'Vesti la giubba' ont été les plus touchantes que j'ai jamais entendues en live. Avec une grande sincérité et beaucoup de ferveur, il compose un Canio pathétique et touchant. " OPERA ACTUAL - FERNANDO SANS RIVIERE | ❝Un Turiddu de tout premier plan, un excellent Canio, une projection vocale vivace et homogène, un ‘Vesti la Giubba ‘ impressionnant reçu avec des applaudissements prolongés et quelques rappels. ❞ EXTRAIT (traduit de l'espagnol) : " Alagna et Michieletto triomphent au Liceu - Le Liceu a opté pour Roberto Alagna en tant que protagoniste principal des deux ouvrages, entouré d’une distribution de premier choix. La direction musicale intéressante de Henrik Nánási fut un soutien idéal pour Roberto Alagna qui tout au long de la soirée a d’abord incarné un Turiddu de tout premier plan, également au niveau de son jeu d’acteur, mais qui est ensuite devenu un Canio exceptionnel, avec une projection vocale vivace et homogène. Il a ébloui avec un impressionnant "Vesti la giubba", reçu par des applaudissements prolongés et même quelques rappels. Un grand succès pour le Liceu et un spectacle acclamé avec enthousiasme par des bravos que les amateurs d'opéra ne devraient pas manquer. " CRONICA GLOBAL - TONI OLIVE | ❝Pour comprendre ce qu'est le vérisme, il suffit d'écouter Roberto Alagna dans ‘Vesti la Giubba’. Il ne se contente pas de chanter à merveille, surtout il interprète. A déchirer l’âme. ❞ EXTRAIT (traduit de l'espagnol) : " Pour comprendre ce qu'est le vérisme, il suffit d'écouter Roberto Alagna dans le célèbre aria ‘Vesti la giubba’ de Pagliacci. Non seulement il chante admirablement, mais surtout il interprète. Il pleure et rit en même temps, déchirant l'âme du spectateur. Le vérisme raconte des histoires terrestres, loin de la mythologie ou des histoires typiques des opéras antérieurs. Amour, désamour, jalousie, trahison, ... passion déchirante, c'est le vérisme. ‘Vesti la giubba’ est un air si célèbre que ce fut la première chanson enregistrée vendue à plus d'un million d'exemplaires, à l'époque interprétée par Caruso. Il exige tout et davantage encore du ténor et chacun des grands interprètes lui a donné une touche unique. " DIGITAL DE CULTURA NUVOL - ANTONI COLOMER | ❝Réalisant un véritable tour de force, Roberto Alagna a offert une performance globalement extraordinaire. Ligne de chant élégante, technique de haute école, variété des couleurs, dynamique, nuances, jeu d’acteur et force dramatique. Probablement le meilleur ténor au monde dans ce répertoire. ❞ EXTRAIT (traduit du catalan) : " Une proposition qui requiert des chanteurs qui sont de bons acteurs et savent transmettre la complexité des personnages. Roberto Alagna a endossé les rôles principaux de ténor dans les deux œuvres, réalisant un véritable tour de force. En dépit du passage inexorable des années, Alagna reste probablement le meilleur ténor du monde dans ce répertoire, car il apporte une ligne de chant élégante, une voix éminemment lyrique mais pleine, une technique de haute école et une implication dramatique extraordinaire. Malgré le début de la Cavalleria sicilienne à froid, il s'est immédiatement réchauffé pour offrir un bon duo avec Santuzza, un brindisi lumineux et un magnifique air final. Il a maintenu le niveau dans Pagliacci, avec un Vesti la Giubba impérial par sa force dramatique mais aussi pour la variété des couleurs, de la dynamique et des nuances. Dommage qu’un peu de fatigue soit soudainement apparue dans la scène finale, ce qui n'a en rien diminué son extraordinaire performance globale. À cela, il faut ajouter ses talents d'acteur, différenciant le caractère des deux personnages avec toutes leurs contradictions. " OPERA ONLINE - XAVIER PUJOL | ❝Le grand tour de force d’Alagna – brillant, puissant, sensationnel. L’un des rares ténors capable d’affronter cet exigeant et difficile double défi. Et parmi ces quelques-uns, presque certainement le meilleur. ❞ EXTRAIT (traduit de l'anglais) : " Le grand tour de force de Roberto Alagna - Chanter les deux rôles principaux du ténor dans Cavalleria Rusticana et Pagliacci - deux rôles exigeants et difficiles –dans la même soirée n'est pas inédit, mais réaliser ce tour de force au niveau délivré par Roberto Alagna n'est pas fréquent. Dans le rôle de Turiddu, Alagna a montré une belle voix, de la puissance et de la brillance, bien qu'il ait eu tendance à chanter [de façon trop uniforme]. Dans le rôle de Pagliacci, il a été sensationnel de bout en bout et son «Vesti la giubba» fut anthologique. Dans une splendide maturité, Alagna doit être l'un des rares ténors capables de relever le défi de chanter Turiddu et Canio en une seule session, et parmi ces quelques-uns il est presque certainement le meilleur. " DIVERS | ❝Autre grand atout de la production, Roberto Alagna, qui, en dépit de l'inexorable passage du temps, chante dans le style des aînés. La passion, la virilité et la crédibilité de son personnage bouleverse et faschine.. . ❞ ENDERROCK.CAT - ORIOL PEREZ TREVINO (traduit du catalan) : Autre grand atout de la production, Roberto Alagna, qui, en dépit de l’inexorable passage du temps, chante dans le style des aînés. La passion, la virilité et la crédibilité de son personnage bouleverse et fascine. Laissez moi vous dire. Je n’avais pas entendu un tel "Vesti la giubba" depuis longtemps et de la façon dont le ténor français l’a donné, cela m’a fait pleurer." TEMPSART STREET DANCE & ART - ESTEVE PLANTADA (traduit de l'espagnol) : "En partie, [le succès du spectacle] est dû à l'interprétation énergique de Roberto Alagna, protagoniste clé de la soirée, pour sa manière d’attaquer les notes, de faire face au précipice d'un aigu, de toujours le faire avec un muscle talentueux et avec un contrôle torrentiel de sa voix et de la note émise. C'est merveille que de le voir, de l’écouter et de l'apprécier, et il est déjà une raison suffisamment puissante pour profiter de cette double affiche pour lui seul." EL PAIS - JAVIER PEREZ SENZ (traduit de l'espagnol) : "Chanter Turiddu et Canio dans la même représentation est un défi qui oblige les ténors à se contrôler. Roberto Alagna l'a fait, peut-être avec trop de réserve dans le premier opéra, bien que logiquement, puisque Canio est une sorte d'Otello super-concentré et épuisant; [...] La qualité de son phrasé, la diction incisive et la prestation globale du célèbre ténor lui ont valu un succès remarquable." TIMEOUT - JAVIER PEREZ SENZ (traduit de l'espagnol) : "Le vérisme italien est une explosion pour la voix et dans cette production, le ténor Roberto Alagna la surmonte remarquablement dans un double rôle épuisant dans lequel il interprète les personnages de Turiddu et Canio avec une grande force dramatique." MUNDOCLASSICO - JORGE BINAGHI (traduit de l'espagnol) : “ Pour son retour très attendu au Liceu, Alagna fut un Turiddu remarquable (les meilleurs moments étaient un Brindisi plus qu'effusif et un 'Addio alla madre' de pure émotion authentique) et un excellent Canio (si le célèbre 'Vesti la giubba' était au meilleur, tout le reste en était proche). Je ne pense pas qu'il y ait aujourd'hui un ténor qui chante le même soir les deux rôles avec une certaine régularité et qui puisse prétendre à lui prendre une première place bien méritée." ENPLATEA - NORMAN MARSA (traduit de l'espagnol) : "En matière d’interprétation, Roberto Alagna -Turiddu dans Cavalleria Rusticana et Canio dans Pagliacci - est apparu comme un acteur tout terrain et la révélation théâtrale de la soirée. Ses prestations dans les deux opéras ont dignement mérité les brava nourris du public; d’autant qu'il a relevé avec maestria le défi ardu d'incarner les deux personnages dans la même soirée. Même s’il s’est montré plus prudent dans la première partie que dans la seconde où la colère et la jalousie tenaillent son personnage, Alagna s'est révélé expert en intensité expressive quand il a interprété 'Mamma, quel vino è generoso' dans Cavalleria Rusticana et le fantastique et intense 'Vesti le giubba' de Pagliacci; ce qui a provoqué des applaudissements bruyants et prolongés qui n'ont pas cessé, jusqu'à ce que l’acteur décide lui-même de quitter la scène pour continuer la représentation." OPERAWORLD.ES - FELIX DE LA FUENTE (traduit de l'espagnol) : "Côté musical, la soirée a révélé une distribution enviable menée par un écrasant Roberto Alagna qui a brillé les rôles de Turiddu et Canio jusqu'au déchaînement d'applaudissements qui a salué son interprétation de 'Vesti la giubba' ". VARIOUS | ❝Triumph for Roberto Alagna as a superb Turiddu and spectacular Canio, enormous ability to connect with the audience, impetuous and exiting acting, generous and impeccable vocal performance, power, style, indisputable expressiveness and musicality. ❞ ABC.ES - PEP GORGORI (translated from Spanish) : " Tenor Roberto Alagna thrilled the public of the Liceu in Barcelona. The Frenchman […] triumphs in the Catalan capital. He was cheered for his come back to Barcelona after six seasons of absence. Alagna remains a passionate singer with an enormous ability to connect with the audience. In this respect, the roles of Turiddu and Canio fit him like a glove and he shone by performing an impeccable "Vesti la Giubba", which received a prolonged applause." LA VANGUARDIA - MARICEL CHAVRRIA (translated from Spanish) : "Hot-blooded Alagna - The tenor triumphs at the Liceu as the impetuous Sicilian of ‘Cavalleria rusticana’ and ‘Pagliacci’. But as soon as at the end of the first opera, the public could have already been fully satisfied: a little gem of verismo, with a Roberto Alagna who carries Sicily in his veins. With his vocal valiance and impetuous acting, he made the audience feel the outburst with which his character, Turiddu, defies his rival, for the love of Lola." LLEGIR EN CAS D'INCENDI - MANEL HARO (translated from Catalan) : "A night which saw tenor Roberto Alagna shine. Tenor Roberto Alagna was immensely active in the roles of Turiddu (Cavalleria Rusticana) and Canio (Pagliacci), his voice was by far [exceptional], especially in the first opera. He showed power and style." DIARI ARA BALEARS - JAUME RADIGALES (translated from Catalan) : "Success of the double bill 'Cavalleria Rusticana' and 'Pagliacci', with Roberto Alagna as triumphant, undisputed leader: The greatest of the evening at musical level, the French tenor offered a generous performance to the service of Turiddu and Canio / Pagliaccio. Passages such as ‘Mamma, quel vino è generoso’ or the Siciliana ‘O Lola’ in Mascagni’s work , or the famous ‘Vesti la giubba’ and ‘Un grande spettacolo’ in Leoncavallo’s one, confirm the state of grace of the singer who enjoys an indisputable expressiveness and musicality." EL PERIODICO - PABLO MELENDEZ-HADDAD (translated from Spanish) : "Roberto Alagna was superb as Turiddu and Canio, tragic and lyrical, expressive and exciting. In 'Pagliacci', Alagna’s spectacular Canio was warmly applauded." Haut de page

  • » DISQUE - PUCCINI IN LOVE ... | Roberto Alagna

    Album 2018 Duos ❝ PUCCINI IN LOVE ❞ Aleksandra Kurzak & Roberto Alagna Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak consacrent leur album aux plus beaux duos d'amour de Puccini, avec le Sinfonia Varsovia Orchestra sous la direction de Riccardo Frizza. Ecoutez & Commandez l'album > Menu PARUTIONS RECENTES Bas de page PUCCINI IN LOVE La première représentation de La Fille du Far-West de Puccini, au Metropolitan Opera de New York, fut prestigieuse. Enrico Caruso et Emmy Destinn incarnaient les deux rôles principaux, et nul autre qu’Arturo Toscanini était à la baguette. Le public fit un accueil enthousiaste à l’ouvrage dont le compositeur estimait que c’était le meilleur qu’il ait écrit jusque-là. Cet opéra marque un tournant dans son œuvre et inaugure le style des dernières années : les effectifs orchestraux sont importants, les couleurs, plus vives, regardent plus en direction du vérisme, et les passages lyriques sont plus rares que dans La Bohème ou Manon Lescaut , mais d’autant plus surprenants et intenses. Chaque opéra de Puccini a en réalité sa propre couleur , comme le montrent les extraits réunis sur l’album Puccini in Love de Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak, et tous ont en commun un merveilleux lyrisme, car le compositeur italien était un génial inventeur de mélodies. Ainsi sa musique est-elle à la fois prégnante et raffinée, et elle a toujours un grand succès auprès du public. C’est vrai aussi de celle, moins célèbre, du Trittico , qui se compose d’Il tabarro (La Houppelande), de Suor Angelica et de Gianni Schicchi . Il tabarro est, avec Madame Butterfly, le seul opéra de Puccini qui traite de la réalité sociale contemporaine. C’est un drame de jalousie, situé sur une péniche parisienne, qui se termine par un meurtre. Le compositeur l’a magistralement mis en musique, fondant le décor, l’atmosphère, les personnages et la progression de l’action en un ensemble unitaire éloquent. ​ C’est donc aux duos pucciniens les plus émouvants que le ténor franco-italien Roberto Alagna et la soprano polonaise Aleksandra Kurzak, ont consacré leur premier disque commun. Y sont réunis des extraits de Manon Lescaut , La Fille du Far-West , Madame Butterfly , Il tabarro et La Bohème , une musique pleine de passion et de grands sentiments, génialement écrite pour la voix et subtilement orchestrée. Les deux chanteurs sont accompagnés par l’Orchestre symphonique de Varsovie placé sous la direction de Riccardo Frizza. Roberto Alagna , qui compte depuis des années parmi les meilleurs ténors de la scène internationale, s’est notamment imposé dans le répertoire italien et français. Sa première prestation commune avec Aleksandra Kurzak date de 2012, dans une production londonienne de L’Élixir d’amour de Donizetti. Il semble que l’élixir en question ait fait son effet jusque dans leur vie privée puisqu’ils se sont mariés et ont eu une fille. Ils ont ensuite partagé la scène entre autres à New York et à Paris, et ont également eu un grand succès à Munich dans La Juive de Halévy. Rigoureusement parlant, Aleksandra Kurzak a commencé à développer un amour de la musique avant sa naissance : sa mère est chanteuse d’opéra et son père corniste. Elle a ainsi régulièrement fréquenté l’Opéra de Wrocław avant même de pouvoir articuler un son. Elle est désormais cantatrice à son tour et a montré ses qualités exceptionnelles sur les scènes célèbres de New York, Milan, Vienne, Londres et Chicago dans divers ouvrages du répertoire, de Mozart à Rossini, ainsi qu’en Lucia di Lammermoor et en Gilda dans Rigoletto de Verdi.. Ces dernières années, elle n’a cessé d’élargir la palette de son répertoire, abordant avec beaucoup de réussite des rôles plus dramatiques tels Rachel (La Juive , Halévy), Nedda (Pagliacci , Leoncavallo), Mimì et Liù (La Bohème et Turandot , Puccini) ou encore Desdemona (Otello ). ​ TRACKLISTING 1. Tosca, Atto I: "Mario!" - "Son qui!" 2. La Bohème Atto I: "O soave fanciulla" 3. Manon Lescaut, Atto I: "Vedete? Io son fedele" 4. Il Tabarro: "È bel altro il mio sogno" 5. Manon Lescaut, Atto II: "Tu, tu, amore? Tu?" 6. La Rondine, Atto II: "Paulette!" 7. La Fanciulla del West, Atto II: "Minnie che dolce nome" 8. Il Tabarro: "Dimmi: perché gli hai chiesto" 9. La Rondine, Atto III: "Nella tua casa" 10. Madama Butterfly, Atto I: "Viene la sera" Conductor: Riccardo Frizza Soprano: Aleksandra Kurzak Tenor: Roberto Alagna Orchestra: Sinfonia Varsovia Recording : Warsaw, Witold Lutosławski Concert Studio of Polish Radio, February 20–22 and 26–28, 2018 Recording Producer : Nicolas Bartholomée Recording Engineer : Maximilien Ciup Executive Producer : Alexander Busche Booklet Text : Roberto Alagna Editorial : texthouse [c) Sony Classical ​ Photo (c) Digipack Sony Puccini TOUT N'EST QU'AMOUR ... ❝ Puccini aimait dire qu'il ne savait composer que pour le théâtre. En plein courant vériste, il affirme son style en y ajoutant une touche de romantisme. Son inspiration naît de ses personnages, de leurs histoires d’amour, de leurs drames. Les héroïnes et héros de ses livrets sont souvent des gens simples, presque quelconques. Comme Balzac, il crée ainsi sa comédie humaine. Tous ses opéras pourraient n’être une seule et même œuvre , se fondant dans la réalité de sa tumultueuse existence. Toutes les Mimì, Minnie, Tosca, Giorgetta, Butterfly et autres Manon représentent la femme absolue. Celle qui le fascine, l’attire, l’inspire, le rend amoureux. Ses personnages masculins sont le reflet de sa personnalité. Rodolfo, c’est lui. Tout comme Mario. Calaf aussi, tellement épris de Turandot qu’il en risque sa vie. Il est l’homme, le héro, l’amant, le séducteur, le vil, le fourbe, le goujat, le poète, l’artiste, le Chevalier, le soupçonneux, le traître … D’ailleurs, n’est-il pas multiple lui-même dans ses prénoms ? Giacomo, Antonio, Domenico, Michele, Secondo, Maria Puccini. Tous ses duos pourraient se conter comme une seule histoire d’amour . Ses couples ne pourraient être qu’un seul et même couple. La narration se ferait alors sans interruption, comme à l’écoute d’une intégrale. Tenez ! Placez donc le CD dans votre appareil … et appuyez sur ‘Play’ [...] ​ ET AMOUREUX ... NOUS SOMMES [...] Que fait cette femme derrière cette porte ? Elle est inquiète, elle frappe. Son amant ne répond pas. C’est Floria Tosca. Quel caractère ! Elle a l’air furieuse … Elle appelle : Mario ! Mario ! Mario ! [ Tosca ] Mario a rassuré Floria. Elle est calme à présent, éperdument amoureuse. Il l’enlace et - comme le poète Rodolfo à sa Mimì - lui susurre à l’oreille : O Soave Fanciulla … [ La Bohème ] Hélas, les amoureux doivent se résigner à se séparer. Ils se promettent alors de se rejoindre dès que possible. Vedete ? Io son fedele … [ Manon Lescaut ] Oui, fuyons, fuyons tous deux ! Elle hésite … È ben altro il mio sogno ! [ Il Tabarro ] La vie est décidément trop dure. Giorgetta abandonne son Chevalier. Elle devient alors une ingrate courtisane, attirée par ce qui brille. Elle est Manon, ne recherchant que plaisir, insouciance et facilité. Le Chevalier la retrouve. Il est là devant elle. Il est pâle, défait. Elle le reconnaît à peine : Tu ? Tu, Amore ? [ Manon Lescaut ] Enfin Manon, nous voilà seuls ensemble ! Non, tu n’es plus Manon… Comme l’hirondelle, tu es revenue. Tu es Magda, ou plutôt Paulette … Paulette! I nostri amici … [ La Rondine ] Tu dis te nommer Minnie … Che Dolce Nome ! [ Fanciulla del West ] Hélas je ne puis rester. Ne m’y oblige pas, je pourrais ne plus jamais te quitter. Dimmi: perchè gli hai chiesto ? [ Il Tabarro ] Je voudrais tant que tu sois mienne. Tu dis ne pas en être digne … Nella tua casa io non posso entrare … [ Rondine ] Reviens ! Je t’en supplie ! Je t’aime … Ne crains rien. Approche. Le soir descend … Viene la sera … [ Butterfly ] Tout n'est qu'amour et amoureux ... nous sommes ! ❞ Haut de page Bas de page Haut de page

  • CRITIQUES - REVUES DE PRESSE p2 | Roberto Alagna

    Index CHRONIQUES Bas de page CRITIQUES - REVUE DE PRESSE 2021 2021-Cav&Pag-Verona 2021-Butterfly-Berlin 2021-Concert-Hamburg 2021 2021-ConcertPuccini-Liège 2021-Concert-Gaveau 2021-Concert-Assisi PRECEDEMMENT en 2021 >> Extraits21-p2line1 Chro-CavPagVeron21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX Cavalleria Rusticana, mascagni & Pagliacci, Leoncavallo | ARENA DI Verona 31 JUILLET & 14 août 2021 IERI OGGI DOMANI - FRANCESCO LODOLA | ❝THE LAST DIVO, TRIUMPHANT DEBUT of Roberto Alagna at the Arena Di Verona . Today, no other tenor in the world gives off his charisma. Not only for his voice - still the most beautiful in the world - but also for his moving naturalness and innate instinct that makes him naturally a divo, without artifice nor affected postures. A temperamental Turiddu who wins the hearts from the Sicilian song. An intense complex Canio, embodied to perfection, both in gesture and vocal accent ❞ EXCERPT (translated from Italian): " The last Divo! ": This is just one of the acclamations that welcomed Roberto Alagna's triumphant Arena debut. Let's clear the field immediately: it is a thought we share. Today, no other tenor in the world gives off the charisma of Alagna. It is not only his voice, which is still the most beautiful in the world, but it is the naturalness with which he moves on stage, his innate instinct that makes him naturally a divo, without artifice nor affected postures. His temperamental Turiddu wins the hearts from the Sicilian song (launched with a lot of Sicilian linguistic sounds), highlighting the machismo of the relationship with Santuzza and the fragility in the last greeting to his mother. In the same way Canio is embodied with profound intensity, constructing to perfection - both in the gesture and in the vocal accent- all the smallest neuroses of a character so complex in his dualism of man and actor. The last divo? Yes sure." LA BARCACCIA - LOREDANA ATZEI | ❝DOUBLE BILL TRULY ENGAGING AND EXCITING at the Arena Di Verona . A splendid Turiddu, with a passionate temperament, expressing many different nuances both vocally and acting. In Pagliacci, Roberto Alagna in great form sings everything at his best without sparing himself in breath, and with great generosity in interpretation ❞ EXCERPT (translated from Italian): "Double bill at the Arena truly engaging and exciting. The Cavalleria Rusticana opens with the song "O Lola c 'hai di milatti la cammisa ..." in the version modified by Alagna that corrects the shot and brings the text back to a more authentic Sicilian dialect. He plays a splendid Turiddu, with a passionate temperament but not devoid of compassion. Both vocally and acting, he is able to express all the different nuances. […] In Pagliacci, Alagna in great form sings everything at his best without sparing himself in breath, and with great generosity in interpretation. At the end of the aria "Vesti la giubba ..." the audience insistently requested an encore. […] In short, two great shows: one at 9 pm ... and the other at 11 pm. A really nice evening." MTG LIRICA - MARIA TERESA GIOVAGNOLI | ❝TWO HEARTFELT, INTENSE AND FULL OF LIFE INTERPRETATION. Passionate Turiddu, overwhelming Canio, both conveyed by a voice still in great shape after so many years of career, stable and magnificently projected forward, so much so as to thrust the tenor to dare how and when he wants ❞ EXCERPT (translated from Italian): " The couple of the evening, Roberto Alagna and Aleksandra Kurzak , really attracted a large number of spectators who certainly surpassed those of the premiere and we must say that they even paid homage to the two performers several times during the show in the Arena Di Verona . Alagna is both Turiddu in Cavalleria and Canio in Pagliacci: the audience expects two heartfelt, intense and full of life interpretations and he pleases them. As much his Turiddu is passionate, at times intriguing and boyish, so much Canio is overwhelming almost over the top, conveyed by a voice that we still find in great shape after so many years of career, stable and magnificently projected forward, so much so as to thrust the tenor to dare how and when he wants. " FORUM OPERA - YANNICK BOUSSAERT | ❝DES DÉBUTS TONITRUANTS. Dans Cavalleria Rusticana, la cantilène Sicilienne est irréprochable, le timbre et l’engagement vocal épouse la virilité du personnage. Une fougue vocale qui culmine dans un brindisi solaire et sonore, des accents aussi naturels que déchirants. Le “Vesti la giubba” de Pagliacci est chanté tout en crescendo. Le timbre et le phrasé se conjuguent au service du texte. Une longue ovation méritée, ponctuée de demandes de bis. ❞ EXTRAIT (publié en français): " Aussi étrange que cela puisse paraitre, Roberto Alagna ne s’était jamais produit aux Arènes de Vérone. Grâce à la volonté de la directrice Cécilia Gasdia, c’est désormais chose faite depuis le samedi 31 juillet. Des débuts, et quels débuts ! Aux côtés de sa compagne à la ville, le ténor français endosse consécutivement les rôles de Turiddu et Canio cependant qu’Aleksandra Kurzak lui donne la réplique en Santuzza et Nedda. […] Dans la pièce « sicilienne », c’est hors scène que les festivaliers le découvrent. La cantilène est irréprochable, le timbre et l’engagement vocal épouse la virilité du personnage. Le portrait du séducteur s’anime dans une fougue vocale qui culmine dans un brindisi solaire et sonore. Dans la dernière scène avec Mamma Lucia, Roberto Alagna fend l’armure de Turiddu et laisse passer toutes les fissures et la peur existentielle du personnage dans des accents aussi naturels que déchirants. […] Dans Pagliacci, on retrouve nos trois principaux chanteurs et leurs qualités. […] Roberto Alagna délivre un « vesti la giubba » tout en crescendo où le timbre et le phrasé se conjuguent au service du texte. Il recevra une longue ovation méritée, ponctuée de demandes de bis." TOUTE LA CULTURE - PAUL FOURIER | ❝MIRACLE DES GRANDS SOIRS, ENCHANTEMENT à l'Arena Di Verona . Avec la distribution flamboyante de ce soir, on a atteint des sommets. Splendide spectacle, une de ces grandes soirées qui portent très haut la quintessence de l’opéra dramatique italien. TURIDDU puriste, vocalement, la clarté de la prononciation est parfaite. Le duo avec Santuzza - presque dérangeant tant le couple est en fusion et que les sentiments ambivalents d’amour et de haine sont là si bien mis en évidence - est d'anthologie. PAGLIACCIO suprême, Alagna rappelle sa filiation avec les grands Canio du passé, Caruso en tête. Son 'Vesti la giubba' magnifié est un condensé d'art brut qui laisse pantois. Conscient du moment d'exception, le public tentera en vain de lui arracher un bis. L’orchestre répond aux tentatives désespérées de Nedda / Kurzak et aux emportements somptueusement dramatiques de Canio dans un saisissant "No, Pagliaccio non son". Le tenor va crescendo, et se consume sur scène. On touche là au sublime. ❞ EXTRAIT (publié en français): " Avec la distribution flamboyante réunie ce soir et la direction de Marco Armiliato, on a atteint des sommets. [...] Dans CAVALLERIA RUSTICANA, en puriste, Roberto Alagna ouvre la représentation, en coulisses, par la cantate "Lola ca di latti la cammisa" en dialecte sicilien. Lorsqu’il réapparaît ensuite, c’est un homme pressé, sanguin, bien peu intéressé par cette Santuzza qui se dresse sur sa route. Vocalement, une fois de plus, la clarté de la prononciation est parfaite et doit être particulièrement appréciée par les Italiens présents. [...] Le duo entre Santuzza et Turiddu est presque dérangeant tant le couple est en fusion et que les sentiments ambivalents d’amour et de haine sont là si bien mis en évidence. Le "A te la male pasqua" prémonitoire que Kurzak lance à Alagna est l’aboutissement magnifique de ce duo d’anthologie qui saisit toute l’assistance. D’autant que le jeu est au diapason notamment lorsque ténor se retournant du haut des escaliers, semble percuté par cette menace… moment de réflexion du personnage qui perçoit la bascule qui va lui être funeste. [...] Son "Mamma, quel vino" est extrêmement émouvant [...] Le ténor fait une fois de plus la démonstration extraordinaire de ce mélange de force, de fragilité et d’humanité qu’il sait mener au plus haut, mélange qui n’appartient qu’à lui, maître qu’il est dans ce répertoire qui lui est cher, car il sait en faire émerger l’essence pour le magnifier. [...] PAGLIACCO suprême - Après l’entracte, [...] on retrouve Alagna fanfaronnant dans son air d’entrée ("Une grande spettacolo"). Et le miracle se reproduit… Roberto Alagna rappelle là sa filiation avec les grands Pagliaccio du passé, Caruso en tête, en magnifiant le "Vesti la giubba" en un subtil dosage de déclamation triste et de vibrato contrôlé pour l’émotion. Ce condensé d’art brut laisse pantois et c’est en vain que le public, conscient du moment d’exception, tentera de lui arracher un bis. On sait que le ténor, par principe, n’en donne jamais. [...] Le ténor va crescendo, se consumant sur scène ; l’on touche là au sublime. Jouant d’abord l’indifférence feinte, Aleksandra Kurzak trouve alors les accents de désarroi puis se lâche dans un cri de défi saisissant, menant la tension à son comble lorsqu’Alagna, assassin de Nedda, conclut avec « La commedia e finita » dans un sanglot. C’est ainsi que se termine l’une de ces grandes soirées qui portent très haut la quintessence de l’opéra dramatique italien, en un lieu fait pour recevoir tous les excès, même les plus beaux. Dans leur petite caravane, ces saltimbanques – si utiles, si nécessaires, si talentueux – sont arrivés et ils nous ont donné là, plus qu’un splendide spectacle. Dans une période singulière, ils nous ont offert le miracle d’un moment de ravissement voire même d’enchantement." LA VERDAD - JOAQUIN GOMEZ GOMEZ | ❝THE OUTSTANDING BRILLIANCE OF ROBERTO ALAGNA. ‘Il grande tenore' brought the Arena Di Verona audience to its feet. He sang both Cavalleria and Pagliacci. In both his singing was exemplary and his interpretation was thrilling. A monumental Cavalleria. A masterful Pagliacci, overwhelming by the power of his humanity ❞ EXCERPT (translated from Spanish): "In 'Cavalleria ', his opening serenade (Siciliana) exuded the scent of passion, like Etna erupting near Catania at its foothills, with almost magical accent on all the vowels including ‚u‘, which Kraus said was the most difficult to adjust on the facial resonators. His duet with Santuzza, performed by his beloved wife Aleksandra Kurzak with great emphasis and wonderful vocal expression, had a controlled overflow. The highlight was his toast ('Viva il vino spumeggiante'). He climbed on the table at the Easter Sunday celebration and his voice echoed aloud from above, reaching every corner of the vast coliseum. The brightness of the vowels ‚i‘ and ‚e‘ reached the lineage of Corelli, the phrasing with incorporated legato reminded me of Bergonzi. It was so exciting and brimming with great fantasy, as if it were an act of love; so much that even my heart sped up in crescendo and I had to take Sumial 40 mg in prevention of tachyarrhythmias, which I sometimes have. Then his finale, the famous 'Addio a la Mamma', had the required brilliance and also chiselled each phrase, with a vocal expression of a son saying goodbye to his mother, because he knows he is going to die. A monumental 'Cavalleria'. What to say about „Pagliacci “: His 'ventrite ore' was anthological, placing a ‚B‘ note on the vowel ‚e', pure, bright, full, prolonged, showing a homogeneous, uniform and harmonious register in his vocal range, in a Pertile-like style, as Alagna‘s vocal teacher was the pupil of the excellent tenor Aureliano Pertile, much admired by Kraus for his great singing technique. Alagna‘s 'Vesti la giubba' began with great lyricism in piano to grow then in intensity, setting the audience on fire. Such was the enthusiasm that the viewers shouted "encore, encore". Alagna, humbly and with his personal modesty, persisted and continued the scene. Nedda was wonderfully interpreted by Kurzak and her singing offered a real masterclass in her part, reminiscent in some aspects of the famous Monserrat Caballé. Finally Roberto, in his 'No! Pagliaccio non son', put all his marvelous technique and the passion of a free man into play with an overwhelming power. The power of his humanity. (…) Roberto Alagna - a great master in the history of operatic singing, a man, an artist for eternity. IMPICCIONE VIAGGIATORE - ANDREA MERLI | ❝AN ABUNDANTLY WELL-DESERVED TRIUMPH. In spectacular vocal and physical shape, Alagna once again proved to be a remarkable Artist, endowed with an overwhelming personality, an undeniable theatrical instinct and a great charisma. Both priceless for the palpable emotion that they managed to convey in Cavalleria Rusticana, the couple Alagna/Kurzak hit the mark again in Pagliacci. Alagna offers a bright, resounding and at the same time very sweet Turiddu. In Pagliacci, his “Vesti la giubba” remains one of the magical moments of the evening in terms of intensity and scenic truth ❞ EXCERPT (translated from Italian): " The only performance in the Arena di Verona of Cavalleria Rusticana and Pagliacci by Roberto Alagna and his partner in life Aleksandra Kurzak : no need to say that the return - finally! - of the Italian-French tenor, was awaited “con febbril ansia evidente” [with febrile anxiety evident], paraphrasing Chenier's Incredible, after the Fedora at the Teatro alla Scala postponed due to Covid, but it will be proposed next season, we have attended a predictable and abundantly well-deserved triumph. In spectacular vocal and physical shape, Alagna once again proved to be a remarkable Artist, endowed with an overwhelming personality, an undeniable theatrical instinct and a great charisma. Alagna offers a bright, resounding and at the same time very sweet Turiddu , far from the image of the overbearing and prevaricating super macho, already in the "Siciliana" sung by changing a few words and thus making it even more Sicilian (on the phone he told me that Roberto Stagno, the first performer in 1890 and a true Sicilian, reproached Mascagni and indirectly Targioni-Tozzetti and Menasci for the lack of relevance of the stornello to his own language and to Verga's one) Alagna offers an unusual aspect of the man in love at the same time with two women, still attracted by Lola, who has not waited for his return from the military, and sincerely attached to Santuzza, whom in fact he recommends to his mother in the famous farewell. An affection that transpires, even in the vast Arena's space, for the perfect symbiosis with the Santuzza by Aleksandra Kurzak, to underline the fact that they went on stage without ever having rehearsed on stage before. Between the two, "chemistry" develops in the duet "Bada Santuzza" where Turiddu struggles to refrain from kissing, hugging and comforting her. Both priceless for the palpable emotion that they managed to convey. In Pagliacci , the couple Alagna - Kurzak hit the mark again [...] Once again the wife murderer acquires unusually human traits, despite the blasphemous crudeness of the text. We understand the emotional upset of Canio who, for a moment almost tries to win back his bride during the Arlecchinata of the second part. Nedda, with the talented Silvio by Mario Cassi, performs a poignant duet after the famous ballatella and finally finds new strength in affirming her independence at the cost of her life. There is something surprising in this singer who a few years ago still sang the Queen of the Night, for her interpretative character. Finally, Alagna's “Vesti la giubba” remains one of the magical moments of the evening in terms of intensity and scenic truth " THE BLOGART POST | ❝ROBERTO ALAGNA’S STAR SHONE ABOVE ALL, absolute protagonist of the evening in the double role, thrilling the audience with his stage presence and beautiful voice ❞ EXCERPT (translated from Italian): " In the cast gathered for this last performance of the diptych, Roberto Alagna ’s star shone above all, absolute protagonist of the evening in the double role of Turiddu and Canio; the Italian-French tenor, thanks to his stage presence and his beautiful voice, was able to offer a performance capable of thrilling the Arena di Verona audience. […] At the end of the performance, warm applause praised the cast, confirming the success of this last run and highlighting once again how the challenge of the Verona Arena this year was won again despite a thousand difficulties. " IERI OGGI DOMANI - FRANCESCO LODOLA | ❝In the cast gathered for this last performance of the diptych, Roberto Alagna ’s star shone above all, absolute protagonist of the evening in the double role of Turiddu and Canio; the Italian-French tenor, thanks to his stage presence and his beautiful voice, was able to offer a performance capable of thrilling the Arena di Verona audience. […] At the end of the performance, warm applause praised the cast, confirming the success of this last run and highlighting once again how the challenge of the Verona Arena this year was won again despite a thousand difficulties. ❞ EXCERPT (translated from Italian): "Few singers have the ability to be true on stage. Few artists know how to instantly create the word on the stage, make it spontaneous, as if those syllables were born in that very moment on their lips. Few, even among the great, managed to create this. It is a gift. Roberto Alagna possesses this gift, and so the second performance of his Turiddu and his Canio at the Arena di Verona (replacing the originally planned tenor), is different from the first, because new reflections emerge of the two kaleidoscopic interpretations collectively. Enjoying this greatness as an interpreter and as a singer (his voice is always the most beautiful and luminous) is a joy. There is an infinite youth, the youth of an artist who, despite having a very long experience on his shoulders, is there to take the audience by the hand and drag them to enthusiasm." Chro-Butterfly21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX MADAMA BUTTERFLY, PUCCINI | STAATSOPER UNTER DEN LINDEN, BERLIN 29 AOÛT 01-04 SEPT 2021 BERLINER ZEITUNG | ❝HOW OPERA SHOULD BE ❞ EXCERPT (translated from German) : "Great cheers in the Staatsoper Unter den Linden. Frenetic applause after Puccini's “Madama Butterfly” at the State Opera, Aleksandra Kurzak and husband Roberto Alagna gave a brilliant and overwhelming performance, the Staatskapelle under Massimo Zanetti was also celebrated, that's how opera should be! " Chro-TheArtOf2021 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT, THE ART OF ROBERTO ALAGNA | STAATSOPER, HAMBURG A LIFE FOR OPERA, 12 NOV 2021 HAMBURGER ABENDBLATT - MARCUS STÄBLER | ❝Strong debut. An amazingly intimate atmosphere. Not only an exceptional singer, but also a sensitive musician. With Wagner, impressive to see how he gets close to a language that is foreign to him. His brightly luminous sonority radiates into the room. Gripping expressiveness. The audience reacts with bursts of bravos. Standing ovation. ❞ EXCERPT (translated from German) : " The French-Italian star tenor began his solo evening at the Staatsoper Hamburg - the start of a new series - with four arias from the Baroque and Classical periods. He was able to create an amazingly intimate atmosphere with the pianist Morgane Fauchois-Prado. Above all, Alagna sang delicate notes with his eyes closed, took a verse of Pergolesi's Ascanio back to pianissimo and demonstrated that he is not only an exceptional singer, but also a sensitive musician. [...] In “Du moment qu’on aime” by Grétry, the tenor is visibly at home, he has this music not only in his voice, but also in his body. [...] With the support of his pianist partner, he enjoys to the full the soft colors, the melodies and the nuances. It is the same with the heartrending "Adina credimi" from "L’elisir d'amore" by Donizetti. The audience reacts with bursts of bravos. [Alagna] smiles like a shy boy who realizes he is loved. Sympathetic. In the second half of the program, the tenor turns the control further up, increasing dynamics and intensity of his performance. Alagna ventures into the German repertoire, with Wagner's Lohengrin, which he canceled in Bayreuth in 2018 and then performed on stage in a live stream from the Berlin State Opera [during the Covid outbreak] in 2020. It's impressive to see how he gets close to a language that is foreign to him and how his brightly luminous sonority radiates into the room. [...] His Verdi moment becomes the climax. The way in which Otello - Desdemone's jealous murderer - is broken by his act and finally stabs himself, the tenor sings it and lives it with gripping expressiveness and when needed, with a pinch of steel in the tone. After a magnificent interlude by the pianist and two lesser-known arias, he comes to the end of his strong debut at the Staatsoper with some encores, which he ends with a genuine tenor hit: "O sole mio", wonderfully ardent and belt out, which the audience celebrates with blown kisses and a standing ovation. " Chro-ConcPucciniLiège21 Extraits21p2Line2 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT PUCCINI | OPERA ROYAL DE LIEGE WALLONIE, LIEGE 5 DEC 2021 (avec Aleksandra Kurzak) ÔLYRIX - VOJIN JAGLICIC | ❝Vives couleurs italiennes dès son entrée sur scène, une interprétation vectrice d'émotion, un jeu d'acteur délicat et mesuré, un diapason médian posé et nourri pleinement exploité, des aigus puissants, une sonorité scintillante et lyrique en duo, une alchimie amoureuse transposée dans les personnages et les voix, un torrent d'éloges et d'acclamations aux artistes ❞ EXTRAIT (publié en français) : "Le couple lyrique Roberto Alagna et Aleksandra Kurzak fait ses doubles-débuts à l' Opéra Royal de Wallonie-Liège [...] Le programme choisi est exclusivement consacré à Puccini (reprenant en partie le programme du dernier album de ce duo lyrique : Puccini in love). Cet après-midi musical s'élance 'in medias res' : d’emblée dans la dramaturgie musicale du maître italien, avec le duo "Mario, Mario" de Tosca. [...] Roberto Alagna déploie ses vives couleurs italiennes dès son entrée sur scène, accompagné des applaudissements de la salle. Son interprétation transmet l'émotion des personnages qu'il incarne, soutenue par un jeu d'acteur délicat et mesuré. Le diapason médian est posé et nourri, pleinement exploité dans les parties chantées en douceur. Les aigus sont puissants mais, notamment au début de la deuxième partie, ont des cimes légèrement crispées. Il retrouve pleinement sa voix et son jeu avec "Parigi! È la città dei desideri" de La Rondine, une ode sonore et suave à la capitale française où le ténor présentera prochainement son récital soliste "Du Théâtre à l'Opéra" [...] Les duos des solistes plongent le public dans une sonorité scintillante et lyrique. L'alchimie amoureuse du couple se transpose chez les personnages et dans les voix. Ce concert aux couleurs de Noël s'achève par plusieurs bis, dont deux sommets du répertoire de Puccini ("O mio babbino caro" et "E lucevan le stelle") qui siéent justement à la tessiture et à la sensibilité de chacun. Après plusieurs Dziękuję! ("Merci" en polonais) qui résonnent dans la salle, le duo offre en cadeau "L'Heure exquise" de La Veuve joyeuse, chacun le chantant dans sa langue. Roberto Alagna clôture cet après-midi lyrique par un chant corse a cappella, récompensant un public plus qu'admiratif qui offre en retour un torrent d'éloges et d'acclamations aux artistes." Chro-BeClassical21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT, BE CLASSICAL | SALLE GAVEAU, PARIS DU THÉÂTRE A L’OPÉRA, 10 DEC 2021 FORUM OPERA - CHRISTIAN PETER | ❝Un concert éblouissant. En un programme original qui tient sans cesse notre curiosité en éveil, notre ténor national - élégant dans un magnifique smoking noir, se glissant avec aisance dans la peau de ses personnages même en concert - aligne avec conviction des morceaux connus mais peu souvent donnés en concert et des raretés absolues. Au fil de pages de styles contrastés, il fait entendre un medium ample et solide, une maîtrise parfaite de la déclamation lyrique, de la sobriété et une émotion palpable, un legato impeccable orné de fines nuances, une grande intensité dramatique. Pleinement convaincant dans de longues scènes poignantes réclamant un investissement théâtral et vocal important, il passe ensuite sans transition de la scène du tombeau de "Giuletta e Romeo" de Zandonai où nous avons l’impression de revoir le Roméo qu’il était il y a trente ans avec sa silhouette juvénile à l’ "Ora e per sempre" d’Otello qu’il chante avec un aplomb et une autorité incroyables … Après un programme aussi chargé, quel autre ténor aujourd’hui alignerait en bis l’air du Cid, Tosca et Otello avec une telle insolence vocale ? Sans une once de fatigue perceptible dans sa voix, il offre une interprétation spectaculaire du Cid, un vibrant "E Lucevan le Stelle" dans lequel il multiplie les diminuendi et les piani tenus, puis toute la scène finale d’Otello "Nium mi tema". Il rechante le prologue de Pagliacci, conclut la soirée avec une berceuse corse a capella et s’en va heureux sous les acclamations, presque à regret de quitter la scène. ❞ EXTRAIT (publié en français): " Comme l’indique le titre du concert "Du Théâtre à l’Opéra", notre ténor national avait choisi de rendre hommage aux grands auteurs dramatiques, d’Euripide à Edmond Rostand, en passant par Shakespeare, Corneille, Schiller, et d’autres, à travers un programme original d’airs d’opéras français et italiens. Un programme comme on les aime, qui aligne des morceaux connus mais peu souvent donnés en concert, et des raretés absolues, un programme qui tient sans cesse notre curiosité en éveil, surtout lorsqu’il est interprété avec autant de conviction. Roberto Alagna possède en effet cette faculté de se glisser avec aisance dans la peau du personnage qu’il interprète, même en concert, au point de devenir sous nos yeux ce personnage le temps d’un air. Le récital s’ouvre avec le prologue de Pagliacci qui évoque comme chacun sait la vie des théâtreux, un choix audacieux puisqu’il s’agit d’un air de baryton dans lequel notre ténor, très élégant dans un magnifique smoking noir, fait entendre un medium ample et solide, délicatement ambré. Suivent trois pages d’opéras français de styles contrastés, « Je jette avec grâce mon feutre » extrait du Cyrano de Bergerac d’Alfano que le ténor a chanté à maintes reprises depuis sa prise de rôle à Montpellier en 2003 et dont il livre une interprétation teintée d’une ironie caustique, « Unis dès la plus tendre enfance » de Gluck, qui lui permet de camper un Oreste touchant avec une grande retenue et une maîtrise parfaite de la déclamation lyrique, enfin un air du Polyeucte de Gounod, « Source délicieuse », sobre et émouvant. ​ La seconde partie du concert, entièrement dédiée à l’opéra italien commence avec Luisa Miller. Après un récitatif poignant, le ténor interprète « Quando le sere al placido » avec un legato impeccable orné de fines nuances et une émotion contenue mais palpable. Puis il nous propose deux pages d’une grande intensité dramatique, tout d’abord un extrait de la Fedora de Giordano dont il chante, non pas l’habituel « Amor ti vieta » mais la grande scène qui conclut l’acte deux, constituée de trois airs qui se succèdent, entrecoupés par des répliques de la soprano, ici supprimées. Cette longue scène poignante qui réclame un investissement théâtral et vocal important constitue sans nul doute l’un des temps forts de la soirée. Roberto Alagna s’y montre pleinement convaincant. Puis il nous fait découvrir une rareté absolue, Giulietta e Romeo de Zandonai dont il propose un extrait de la scène du tombeau. Alors nous avons soudain l’impression de revoir le Roméo qu’il était il y a trente ans avec sa silhouette juvénile, exprimer son désespoir. Sans transition surgit ensuite sous nos yeux le Maure de Venise dans une page tendue de l’Otello de Verdi, « ora e per sempre » qu’il chante avec un aplomb et une autorité incroyables. Après un programme aussi chargé on aurait pu penser que Roberto Alagna allait nous proposer quelques pages légères en bis. Que nenni ! Il nous offre pour commencer une interprétation spectaculaire de l'air du Cid « O souverain, O juge » sans qu’une once de fatigue ne soit perceptible dans sa voix, puis un « E lucevan le stelle » vibrant, dans lequel il multiplie les diminuendi et les piani tenus, et enfin toute la scène finale d’Otello « Niun mi tema ». Quel autre ténor aujourd’hui alignerait en bis, Le Cid, Tosca et Otello avec une telle insolence vocale ? Mais le public en délire en réclame toujours plus, alors il rechante le prologue de Pagliacci après avoir expliqué avec malice qu’il n’était pas pleinement satisfait de sa première interprétation. Il conclut enfin la soirée avec une berceuse corse a capella et s’en va heureux sous les acclamations, presque à regret de quitter la scène." ITEATRIDELLEST - LOREDANA ATZEI | ❝Une grande solidité dans les registres medium et grave, un texte parfaitement articulé phrasé avec douceur et sensibilité exacerbée. Eclat sans faille des notes aiguës, douceur du legato, nuances interprétatives, tension dramatique, maîtrise vocale exceptionnelle, longueur du souffle, extraordinaire capacité de donner vie au personnage. Musicalité exceptionnelle, gamme infinie de couleurs et de diminuendos d'une richesse emphatique. Le public reste sans souffle et complètement captivé. Une ovation debout le rappelle sur scène, il y répond avec générosité. La beauté de son timbre, sa facilité d'émission, sa puissance et sa grande expressivité restent inchangées. Avec plus de 30 ans de carrière, le ténor se tient encore fermement au sommet de la vague ❞ EXTRAIT (traduit de l'Italien): "La musique et le chant, donc, en tant que forme d'art complet sont capables d'atteindre le cœur et d'expliquer l'âme humaine encore mieux que les mots. Et c'est ce qu'Alagna apporte immédiatement en scène. A commencer par le choix de débuter le récital par ce qui est un véritable manifeste de l'opéra vériste : le Prologue de "Pagliacci" de Leoncavallo [...] . Bien qu'il s'agisse d'une pièce pour baryton, Alagna l’exécute bien, montrant une grande solidité dans les registres médium et grave, un texte parfaitement articulé, phrasé avec douceur et sensibilité exacerbée. Dans "Al par di voi respiriamo l'aere...", il nous donne l'occasion d'apprécier son registre aigu et la grande tenue de son souffle. Le reste du récital est un hommage aux grands personnages de la littérature, comme le Cyrano de Rostand dans l'opéra splendide, difficile et rarement joué d'Alfano. Alagna interprète ensuite "Je jette avec grâce mon feutre". Un rôle, celui de Cyrano [...] qui lui convient particulièrement bien, lui donnant l'occasion de montrer tant son aspect jovial et gascon que son aspect sentimental et tragique [...]. Nous passons ensuite à Iphigénie en Tauride de Gluck [...] avec "Unis dés la plus tendre enfance". [...] La douceur du legato et les nuances interprétatives maintiennent la tension dramatique élevée sans la forcer. La première partie de la soirée se termine par "Source Délicieuse". Le splendide air de Polyeucte de Gounod [...] est divinement interprété avec un phrasé doux et l'éclat sans faille des notes aiguës. Mais le meilleur est encore à venir. La deuxième partie s'ouvre sur une autre de ses pièces maîtresses. Le célèbre air de Luisa Miller "O fede negar potessi...Quando le sere al placido" que le ténor interprète en l'enrichissant de couleurs et avec une maîtrise vocale exceptionnelle capable de soutenir longuement "Ah mi tradia..." de la première partie, puis d'exécuter des pianissimi éthérés, pour les renforcer à nouveau dans l'élan de colère de l'amant qui se croit trahi. Des évolutions dignes d’une véritable " montagne russe " vocale que seule une parfaite maîtrise du souffle et du soutien peut assurer. Tout cela combiné à l'extraordinaire capacité de donner vie au personnage. Avec ses doutes, ses passions, ses affections. [...] Il le prouve une fois de plus en donnant corps et sentiments à Loris Ipanoff dans le long passage de Fedora, "Mia madre...vedi io piango" dans lequel on est complètement bouleversé par la tragédie du comte qui, trahi, devient meurtrier, et nous comprenons sa souffrance et sa noblesse. C'est l'un de ces moments au théâtre qui se produisent rarement, où le temps semble s'arrêter, où les couleurs deviennent plus intenses, où le cœur bat plus vite et où le public reste sans souffle et complètement captivé. Ses débuts de "Fedora" prévus l'année prochaine à la Scala de Milan, promettent d'être un événement exceptionnel. Avec "Giulietta son io" de "Giulietta e Romeo" de Zandonai, il revient et nous offre une interprétation belle et déchirante, puis reprend un autre de ces rôles dans lesquels il ne cesse de surprendre. L'Otello de Verdi avec "Ora e per sempre" conclut le programme officiel par une célébration de l'un des plus grands auteurs de théâtre de tous les temps : William Shakespeare. Mais le public, insatiable, réclame avec insistance des encores, que la générosité du chanteur n'hésite pas à accorder. Ceux qui s'attendent à une série de pièces plus légères ou appartenant au répertoire traditionnel seront déçus, car le choix du ténor était d'une grande profondeur, comme l'ensemble du concert. Il commence par l'aria de Rodrigo dans Le Cid de Massenet : " Oh souverain, oh juge, oh père ", poursuit avec " E lucevan le stelle " de Tosca avec un legato émouvant sur " le belle forme disciogliea dai veli... " conclu par un pianissimo qui a enthousiasmé le public, et termine avec le final d'Otello : " Niun mi tema ". Un air parfait pour un ténor lyrique capable de montrer toute la fragilité du guerrier vaincu qui a tout perdu et qui s'apprête, en dernier recours, à perdre même sa vie. Et il le fait avec une voix dotée d'une musicalité exceptionnelle, d'une gamme infinie de couleurs et de diminuendos d'une richesse emphatique ; les yeux sont fermés, l'expression douloureuse. Une douleur qui n'est jamais criée mais qui transperce le cœur, jusqu'au dernier gémissement douloureux et ce mot "ba-cio", interrompu par une pause, dans laquelle la main de la poitrine tombe lentement jusqu'à ce qu'elle soit complètement relâchée sur la dernière syllabe. Le souffle s'éteint et la mort arrive. Même dans ces petits détails, on retrouve la touche de l'artiste et son travail incessant. Cela pourrait sembler être la fin, mais une ovation debout le rappelle sur scène à deux reprises. Il reprend le Prologue et conclut avec "O la ricchezza di la so mammuccia", une berceuse corse interprétée a cappella. Un moment unique de grand charme pour sceller un événement inoubliable. Vingt ans se sont écoulés depuis le premier récital de Roberto Alagna à la Salle Gaveau, et la beauté de son timbre, sa facilité d'émission, sa puissance et sa grande expressivité restent inchangées. Avec l'expérience, on peut lui reconnaître le mérite d'avoir surmonté une certaine exubérance juvénile, justifiée, au profit d'une attention encore plus grande à l'introspection et à l'interprétation, obtenue de toute évidence par une étude continue. Le résultat est là pour que tout le monde puisse le voir. Un ténor dont la carrière a bien plus de 30 ans et qui se tient encore fermement au sommet de la vague. J'espère pour de nombreuses années encore." TOUTE LA CULTURE - PAUL FOURIER | ❝LE FEU D’ARTIFICE de Roberto Alagna à la Salle Gaveau … Récital éblouissant … De Pagliacci, on sait qu’actuellement Alagna en est sans conteste le meilleur titulaire. Il semble l’avoir fait sien, en totalité et, pourrait-on dire, tous rôles confondus … Il saisit l’air de Cyrano avec gourmandise … Style incomparable, fabuleuse prononciation ... Une seconde partie ébouriffante … Avec un très long passage de Fedora, la soirée jusqu’ici très belle bascule dans l’exceptionnel … Un miracle d’interprétation … Somptueux … Émotion extrême, sans jamais tomber dans l’excès ou dans l’emphase ... Maîtrise totale, effets, vibrato, piani et diminuendos de pure beauté … La scène finale d’Otello est absolument gigantesque ... La puissance du programme et des bis émerveille les spectateurs, totalement galvanisés par la performance et la prodigalité de l’artiste … Immense talent et générosité … ❞ EXTRAIT (publié en français) : "Le ténor a donné un récital éblouissant le 10 décembre. En dépit des contraintes liées à la pandémie, les Parisiens n’avaient pas raté le rendez-vous et la salle était quasi comble. Ils ne l’ont pas regretté. La soirée s’intitulait « Du théâtre à l’opéra », une accroche rappelant que bien des opéras ont connu un précédent théâtral avant d’être mis en musique. […] Si Pagliacci de Leoncavallo échappe à la règle, l’on comprendra, aux mots prononcés par Tonio (et dits ce soir par Roberto Alagna, malgré la tessiture de baryton requise) qu’ils offrent la meilleure des introductions à une soirée où l’art lyrique rejoignait le théâtre […] De Pagliacci, l’on sait qu’actuellement qu’Alagna en est, sans conteste, le meilleur titulaire. « Si Puo », l’air de Tonio, chanté ce soir, montre qu’interprète d’un opéra, il semble l’avoir fait sien, en totalité et, pourrait-on dire, tous rôles confondus. Son cher Caruso (et quelques autres ténors, tel Beniamino Gigli) lui avait déjà ouvert la voie et sa voix s’accorde idéalement à cette déclamation théâtrale à laquelle il donne vie, comme s’il allait enchaîner l’opéra entier à lui tout seul. Il donne ensuite corps à la bravacherie de Cyrano ; à quelques exceptions près, les airs interprétés ce soir lui sont familiers, car il les a incarnés sur scène. Peu l’ont fait pour Cyrano et c’est l’occasion de se rappeler que ce fut, bien sûr, le cas pour l’opéra d’Alfano. L’on comprend alors la gourmandise avec laquelle il se saisit de l’air d’un personnage qui a tout pour lui plaire. […]. Certes, après Cyrano, l’on comprend l’adéquation de l’air qui suit, celui de Pylade de l’Iphigénie en Tauride de Gluck, avec le thème du soir ainsi que l’envie de Roberto de balayer la plus large période possible. Mais, si l’on ne peut nier que le style est incomparable et que sa fabuleuse prononciation s’accorde si bien à l’écriture du compositeur, il n’empêche que la voix du ténor s’avère, aujourd’hui, assez lourde pour l’exercice. En revanche, ce ne sera évidemment pas le cas pour les airs très tendus, et chacun avec ses difficultés, de Polyeucte (« Source délicieuse ») de Gounod et de Luisa Miller qui précèdent et suivent l’entracte. Une seconde partie ébouriffante ! Néanmoins, si la soirée était jusqu’ici très belle, elle va basculer dans l’exceptionnel avec un très long passage (plus de 8 minutes) tirée de Fedora de Giordano (« Mia madre » … « la fange mi svela » … « vedi io piango »). L’on se rappelle à l’occasion qu’un certain Caruso, inconnu, fut révélé par le rôle. Ce soir, la scène sera un miracle d’interprétation. D’abord, parce que Roberto Alagna y trouve une tessiture parfaite pour lui, mais aussi, parce que le vrai professionnel, celui dont on sait qu’il travaille inlassablement, nous démontre à quel point de perfection il est arrivé pour ce rôle, dans l’attente des représentations prévues à la Scala de Milan […], représentations toujours repoussées, et qui espérons-le se tiendront à l’automne. Il y a un peu de Paillasse dans les accents douloureux du Prince Ipanov et l’on adorerait que ces accents appartiennent à un nouveau rôle fétiche pour Alagna… pour peu que des grandes scènes osent monter l’œuvre… ​ Roberto Alagna affronte ensuite Shakespeare par Roméo et Juliette. À vrai dire, le ténor qui aime à faire découvrir, présente là un air du très méconnu Giulietta e Romeo de Zandonai, air qui lui va également comme un gant et où il apporte, cette fois, la souffrance de l’amoureux, et ce, avec une émotion extrême, sans jamais tomber dans l’excès ou dans l’emphase. Et… arrive Otello… et c’est le coup de grâce, car l’artiste, en un instant, nous propulse à Venise, au cœur même de l’homme que la jalousie mortifère détruit. Sommes-nous désormais dans une salle d’opéra où les œuvres défileraient à toute allure ? Le pouvoir et la perfection de l’interprétation nous font voyager instantanément dans Le Cid (encore Corneille, mais Massenet cette fois) pour un somptueux « Ah, tout est bien fini… Ô Souverain, Ô juge, Ô père… », puis défiant la raison, revenant à Victorien Sardou que Puccini a sublimé, c’est un « E lucevan le stelle » totalement maîtrisé, tellement vrai, où les effets, vibrato, piani et diminuendos se révèlent pure beauté. ​ Après un programme et des bis d’une telle puissance, l’on se dit que l’artiste nous a suffisamment émerveillés. Que nenni ! C’est avec une réelle gourmandise – qui se voit et que l’on ressent -, avec une envie de faire plaisir à son public, que Roberto Alagna se lance dans rien de moins que la scène finale d’Otello ! … et c’est absolument gigantesque. La souffrance brute est là, tout comme le corps de Desdémone et nous, spectateurs, sommes inclus dans un opéra imaginaire qui se déroule sous nos yeux. ​ Le moment arrive où toutes les partitions sont épuisées. Avec humour, comme pour refermer la parenthèse théâtrale, il prétextera une erreur dans son premier air pour reprendre le « Si Puo » de Pagliacci, avec la même fraicheur qu’au début… et une intensité redoublée. Et puisqu’il fallait tout de même finir et renvoyer les spectateurs totalement galvanisés par la performance, il terminera avec une chanson corse a capella – chanson qui sert à l’occasion de berceuse à Malèna, sa plus jeune fille (qui a probablement accompagné sa maman en Pologne pour un Stabat Mater, donné le même soir). Chez les Alagna, on le sait, tout est histoire de famille. Comme tout un chacun, Roberto Alagna avance en âge. Il nous le rappelle d’ailleurs, lorsqu’à la fin de la soirée, il dit qu’il revenait, ce soir, en solo, à la Salle Gaveau après 20 ans d’absence (il s’y est produit en duo avec Aleksandra Kurzak en 2019). Ce jour-là, sa première fille, la petite Ornella lui avait apporté un bouquet « plus grand qu’elle ». Beaucoup plus grande désormais et très belle, c’est elle qui y retourne avant que « la Mamma » ne monte avec Roberto sur scène. La vraie famille rejoignait alors l’autre famille, celle de cœur, qui l’accompagne et fut, une fois encore, conquise par la prodigalité de l’artiste. Ainsi résonnaient encore les mots de Tonio « Et vous ! Plutôt que nos pauvres défroques de bouffons, considérez nos âmes, car nous sommes des hommes, de chair et d’os, qui, tout comme vous, respirons l’air de ce monde orphelin ! ». L’artiste, comme l’homme, nous quittait en nous donnant le désir de renouer, très vite, ce lien indéfectible que son immense talent et sa générosité ont su créer…" PREMIERE LOGE - NICOLAS MATHIEU | ❝Roberto Alagna triomphe Salle Gaveau . Un récital exceptionnel, un programme dense et généreux. Jeu théâtral captivant, projection superbe, large et ample, aigus confiants et solaires, diction exemplaire, phrasé élégamment filé, prestance, pianissimi qui amènent le frisson, climax déchirant, justesse de ton admirable… Face aux applaudissements redoublés du public, il vient offrir 5 bis et assoit son triomphe ❞ EXTRAIT (publié en français) : "Roberto Alagna triomphe Salle Gaveau. Vingt ans après sa dernière apparition in loco, le ténor français a offert un récital exceptionnel au public de la Salle Gaveau avec un programme dense et généreux accompagné du non moins excellent Ensemble Appassionato dirigé par Mathieu Herzog. Intitulé « Quand le Théâtre entre au Panthéon de l’Opéra », le programme proposé par Roberto Alagna ce soir Salle Gaveau invite le spectateur à (re)découvrir de grandes figures littéraires et théâtrales à l’opéra par un savant mélange d’airs célèbres et moins connus. […] Après quelques mesures introductives de l’orchestre, le ténor arrive sur scène sous les applaudissements déjà enthousiastes du public pour arborer le personnage de Pagliacci Tonio avec un « Si può ? » à la verve dramatique et au vibrato mesuré. […]. Libéré de la partition (il chante par cœur l’ensemble de son récital), l’interprète investit au possible l’espace […] pour accrocher le public avec un jeu théâtral captivant. La projection est superbe, large et ample, les aigus confiants et solaires, sur le jeu instrumental bien dosé de l’Ensemble Appassionato. Les premiers bravi fusent de l’assemblée déjà conquise. Au tour de Cyrano de Bergerac d’Alfano avec l’air « Je jette avec grâce mon feutre », qui souligne, s’il fallait s’en convaincre encore, une diction exemplaire sur tout le registre, alliée à un phrasé élégamment filé. Et la prestance solennelle de la « Source Délicieuse » du Polyeucte de Gounod ne fera que redoubler les applaudissements du public. La seconde partie du récital montre un chant qui se bonifie lui-même, et une complicité de plus en plus marquée avec l’orchestre. Les pianissimi finaux du « Quando le sere al placido » (Luisa Miller), la ferveur tendre du « Mia madre… Vedi io piango » (Fedora de Giordano) amènent le frisson… Et le « Giulietta son io » (Giuletta e Romeo de Zandonai) d’amener l’un des moments de grâce de la soirée avec une montée sublime jusqu’à un climax déchirant et à fleur de peau. Avant de quitter la langueur pour la fermeté avec un « Ora e per sempre » (Otello de Verdi) martelé, aux lignes fort poitrinées. […] Face aux acclamations redoublées du public, Roberto Alagna visiblement galvanisé d’un tel succès vient offrir 5 bis ! Un très solennel « O souverain » (Le Cid de Massenet) augmenté de guirlandes de bougies en mouvement, de saisissants « E luccevan le stelle » (Tosca de Puccini) et « Niun mi tema » (Otello de Verdi), avant d’en revenir au « Si può ? » initial, arguant que la version donnée en début de concert l’a laissé insatisfait ! Et en guise de clap de fin, il entonne a cappella une berceuse corse, dans un silence religieux. Loin d’endormir le public, Roberto Alagna assoit là son triomphe…" OPERA MAGAZINE - PATRICE HENRIOT | ❝Roberto Alagna enflamme Paris Salle Gaveau , le 10 décembre. Il demeure unique dans les rencontres subliminales de son programme. Emotion musicale et admiration sont au rendez-vous. Style parfait, noblesse, sobriété … Il excelle en Cyrano. Otello provoque l’enthousiasme. Legato, slancio, aigu cinglant dans le chant verdien, beau récitatif … Etonnante démonstration de générosité avec plusieurs bis longs et difficiles, bouleversants. Face à l’euphorie générale, un dernier exploit : une délicieuse berceuse corse chantée a cappella ... ❞ EXTRAIT (publié en français) : " Un magnifique parcours des emplois assumés par les ténors mythiques, rencontrés par la personnalité de Roberto Alagna […] L’émotion musicale et l’admiration, du moins, seront au rendez-vous. […]. Roberto Alagna demeure unique dans les rencontres subliminales de son programme : Enrico Caruso, bien sûr (Fedora), Georges Thill (Iphigénie en Tauride, Le Cid), José Luccioni (Cyrano de Bergerac, Polyeucte, Otello), Mario Del Monaco (Otello, Fedora, Giulietta e Romeo). L’artiste assume ainsi tout son répertoire passé, présent, à venir. Le « Prologue » de Pagliacci(« Si puo ? ») ouvre la soirée. De grands ténors se plurent à barytonner et Roberto Alagna, lui-même, ne se prêta-t-il pas cet été, au Théâtre Antique d’Orange, au duo entre Ezio et Attila, auprès d’Ildar Abdrazakov ? Il est ici fort à l’aise. Puis il excelle en Cyrano (« Je jette avec grâce mon feutre »), un rôle qu’il a beaucoup défendu à la scène. L’émouvant air de Pylade (« Unis dès la plus tendre enfance ») offre un moment de pure déclamation et de style parfait. Et les « Stances » de Polyeucte (« Source délicieuse ») se haussent à la noblesse de la tragédie cornélienne. Au début de la seconde partie, le ténor français renoue avec le chant verdien (legato, slancio, aigu cinglant), pour le beau récitatif « Oh ! fede negar potessi » et l’air « Quando le sere al placido » de Luisa Miller. Les extraits de Fedora disent le drame en une scène constituée de récits, qui révèlent le nœud de l’action (« Mia madre... Vedi, io piango »). Il faut admirer la sobriété qu’y apporte Roberto Alagna. Enfin, Otello (« Ora e per sempre ») provoque l’enthousiasme. Les trois premiers bis, à la fois longs et difficiles, fournissent une étonnante démonstration de générosité : Le Cid (« Ô souverain, ô juge, ô père »), Tosca (« E lucevan le stelle », bouleversant rêve éveillé), Otello encore (« Niun mi tema »). Tout est-il dit, puisque (presque) tout a été chanté ? Non sans malice, Roberto Alagna propose de reprendre le « Prologue » de Pagliacci, synchrone, cette fois, avec l’orchestre. Devant l’euphorie générale, le ténor offre un dernier exploit : chanter a cappella une délicieuse berceuse corse." Chro-ConcertAssisi21 Cliquez sur l'image pour consulter la fiche de description en INDEX CONCERT DI NATALE | SAN FRANCESCO D'ASSISI, ASSISI 25 DEC 2021 (+ RAI 1) RAI UNO | ❝Il tradizionale Concerto di Natale dell' Orchestra Sinfonica Nazionale della Rai dalla Basilica superiore di San Francesco d'Assisi . Protagonisti il grande tenore Roberto ALAGNA e la star del violoncello HAUSER. ❞ " Protagonista il grande tenore Roberto Alagna , che interpreta Stille Nacht e l’Ave Maria ma anche Minuit Chrétiens di Adolphe Adam e Mille cherubini in coro, sempre di Schubert. Accanto a lui la star del violoncello HAUSER , apprezzato sia nel repertorio classico sia nelle incursioni crossover, che interpreta Panis Angelicus ma anche il celebre Largo di Händel dall’opera Serse e l’Ave Maria di Schubert insieme ad Roberto Alagna . Con loro il Coro di voci bianche “I piccoli musici”, istruito da Mario Mora, impegnato in I will sing the spirit e The Lord bless you and keep you di John Rutter, oltre a Hark, the Herald Angels sing di Mendelssohn, canto tradizionale natalizio tratto da una poesia del pastore metodista Charles Wesley. Sul podio il direttore americano #WilliamEddins . Con loro il Coro di voci bianche "I Piccoli Musici" istruito da Mario Mora " Haut de page

  • REALISATIONS | Roberto Alagna

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  • ► PARUTIONS RECENTES | Roberto Alagna

    Menu REALISATIONS LE CHANTEUR CD/Digipack/Vinyle | Sony Classical 2020 Pour la 1ère fois de sa carrière, Roberto Alagna consacre un album tout entier à la grande et belle chanson française . Passionné des musiques du monde, l’artiste nous offre cette fois une véritable déclaration d’amour au patrimoine musical français : « Le Chanteur » nous le fait découvrir différemment, à travers toute la richesse des genres et des diverses influences étrangères qui ont forgé l’identité de ce répertoire. Par une réalisation très personnelle - entre swing, jazz, jazz manouche, lamento, valse ou tango - l’album transmet aussi toute la passion du ténor pour les musiques de caractère, pleines de vitalité et de sentiments . Une formidable ode aux inoubliables mélodies que nous connaissons et avons tous fredonnées, ainsi qu’à leurs illustres interprètes et compositeurs ! Un disque comme une fête, où l’on retrouve entre autres "La Chanson des vieux amants ", "Padam, Padam ", "Les feuilles mortes ", "C'est un mauvais garçon ", "Mon pot’ le gitan ", "Nuages ", "Adieu mon pays ", "Domino "... PLUS SUR L'ALBUM ECOUTER & COMMANDER

  • RÔLES - OPERAS - PRODUCTIONS | Roberto Alagna

    Menu ZOOM SUR Bas de page CYRANO de BERGERAC Musique : Franco Alfano LIVRET : Henri Cain d'après Edmond Rostand ​ ❝ J'e n ai trouvé la partition par hasard. Et quand je l’ai vue, j’ai eu des larmes aux yeux, parce que je l’ai trouvée d’une beauté incroyable, et je l’ai gardée avec moi pendant cinq ans. Cinq ans et personne ne voulait la monter. Alors, je l’ai montée moi-même. Et vous savez que cette version de 1935 que nous avons faite avec mes frères, nous sommes les seuls au monde à l'avoir chantée. Alfano a été obligé de la modifier en 1936 pour faire une version italienne à Rome, pour José Luccioni. Ensuite, lorsque l'œuvre a été donnée en France, ce fut dans la traduction de la version italienne, mais la version originale de 1935 n’avait jamais été jouée. ❞ ​ Roberto Alagna (Interview OperaLively , 2016) ​ ❝ C'est une œuvre très forte et un énorme défi pour le ténor. C'est un rôle difficile à chanter en raison de l'étendue de sa gamme vocale et la hauteur de sa tessiture. C'est aussi un rôle très long et la nature du personnage est complexe. Il se compose d'une combinaison de plusieurs traits de caractère qu'il faut savoir saisir théâtralement. C'est un ouvrage merveilleux que je suis toujours ravi de faire découvrir.❞ Roberto Alagna (Interview Die Bühne , 2017) ​ ❝ J'interprète avec énormément de plaisir la version originale de 1935, que mes frères et moi avons recréée et mise en scène pour la première fois à Montpellier en 2003, bien que ce soit un des rôles les plus difficiles qui soit et qu'il m'ait été donné de chanter. Mon "Cyrano" ("Version Alagna" dans la réédition de la partition chez Ricordi) est fondamentalement différent de la version italienne de 1936. Nous avons travaillé sur le manuscrit, et avons tout rétabli: dans notre version, il n'y a pas un mot qui ne soit pas de Rostand.❞ Roberto Alagna (Interview MerkerOnline , 2017) LE DERNIER JOUR D'UN CONDAMNE Musique : DAVID ALAGNA LIVRET : Roberto, David et Frederico Alagna d'après Victor Hugo ​ ❝ J’étais à Chicago il y a près de vingt ans et je chantais Roméo et Juliette. J’étais tout seul et j’avais écrit à Frederico en lui disant que je me sentais comme un condamné. Pour me faire une blague, il m’a envoyé le livre du Dernier jour d’un condamné de Victor Hugo. En le lisant, j’ai entendu une sorte de musique et je me suis dit que cela ferait un bel opéra. J’ai appelé David en lui disant que l’on devrait peut-être en faire un opéra. Il m’a alors lancé en boutade : « tu n’as qu’à commencer à faire le livret ». Dans la foulée, je me suis mis à faire une sorte d’ébauche de livret que j’ai renvoyé à mes deux frères. Frederico a trouvé cela intéressant et David a commencé à écrire la musique de l’Intermezzo. Comme on a vu qu’il était très inspiré musicalement, on lui a dit de continuer tant que l’inspiration était présente. Il a en finalement écrit tout l’opéra seul. J’ai donc fait le premier livret et Frederico l’a retravaillé avec David. À un moment, l’ouvrage était trop long et quasiment inchantable pour un seul chanteur et ils ont eu l’idée d’imaginer une condamnée, dans une prison américaine d’aujourd’hui. C’est là qu’on s’aperçoit que l’ouvrage de Victor Hugo est toujours actuel. ❞ Roberto Alagna (Interview Opéra de Marseille, Le savoir-frères , 2017) ​ OTELLO Musique : GIUSEPPE VERDI LIVRET : Arrigo Boito D'Après William Shakespeare ​ ❝ Otello est un rôle magnifique, shakespearien, c'est-à-dire dans lequel il faut autant jouer la comédie que chanter. J'ai joué Roméo dans «Roméo et Juliette» pendant des années, une interprétation pour laquelle j'ai reçu le prix Laurence Olivier à Londres. Que ce trophée porte le nom de l'un des plus grands acteurs shakespeariens a rendu pour moi cette distinction encore plus belle. Et puis, il y a cette musique divine dans laquelle on retrouve toutes les qualités de Verdi. Cette œuvre figure parmi les dernières qu'il a composées. C'est la synthèse de sa carrière. Toute sa vie d'homme et de compositeur, toutes les expériences qu'il a traversées, s'y trouvent. Il va à l'essentiel, au plus profond des personnages, pas seulement d'Otello, mais de Iago et des autres. Tous les personnages sont magnifiquement caractérisés par la musique et la profondeur de leurs sentiments. Otello porte avant tout le drame de l'intégration, du racisme. Il ne faut pas réduire ce personnage à la jalousie. Il faut surtout ne pas le juger. Je défends toujours les personnages que j'incarne, même les plus noirs. D'ailleurs, si les compositeurs n'aimaient pas les personnages les plus noirs, ils ne leur composeraient pas une telle musique !❞ Roberto Alagna (Telepro, Mes personnages me donnent des leçons , 2014) ​ PAGLIACCI Musique : RUGGERO LEONCAVALLO LIVRET : ruggero leoncavallo ​ ❝ Quand Canio chante "Ridi Pagliaccio", chaque artiste peut s'identifier à lui dans cet air, parce que, quoi qu'il advienne, décès d'un parent, enfants malades, ou tout autre problème, le spectacle doit continuer. Les gens ont payé et on doit tout donner au public. Canio souffre d'un véritable dilemme. Il a une sorte de complexe en lui. Il ne sait pas au fond s'il est un homme, un bon mari, parce qu'il passe tout son temps avec cette troupe, à se produire dans tout le pays. Peut-être parce qu'il est un véritable artiste, Canio ne connaît pas la frontière entre la réalité et la fiction. Pendant tout l'opéra, il pense tout le temps: "Suis-je un homme, ou pas ? Ou suis-je un Paillasse ? Suis-je Canio, ou Pagliaccio ? "Il dit :" Si cela se passait dans la vraie vie, Canio ferait cela, mais Pagliaccio fait cela. "Il parle toujours de "la vita" et "lo spettacolo" - c'est pourquoi il est très important que ce soit lui et non le baryton qui déclame à la fin "la commedia è finita!" A ce moment-là seulement, il décide qu'il est un homme, et non plus Pagliaccio; il ne joue plus ! J'ai chanté plusieurs fois les deux rôles ensemble avec Turiddu (Cavalleria Rusticana). Il est très difficile, une fois que l'on meurt sur scène, de renaître immédiatement pour un autre personnage, d'autant qu'il est très différent du premier. On doit revenir en scène pour commencer un autre opéra, et ces deux opéras sont très puissants. Pour moi, Canio est comparable à Otello. C'est pareil, voyez-vous. C'est très dangereux. Vous pouvez vous casser la voix avec Canio, juste avec l'entrée, si vous n'y prenez pas garde. C'est une scène très sonore : grand orchestre, gros chœur, tout le monde chante, et il faut chanter et se faire entendre au milieu de tout cela. ❞ Roberto Alagna (Interview OperaLively , 2016) ​ SAMSON ET DALILA Musique : CAMILLE SAINT-SAËNS LIVRET : Ferdinand Lemaire ​ ❝ Étudier Samson, c’est un peu comme tomber amoureux. Au plus vous travaillez la partition, au plus elle vous apparaît multidimensionnelle et fascinante. Il est surprenant de voir à quel point cet opéra est riche en termes de mélodies, quelle atmosphère y règne. On y entend des phrases incroyablement émouvantes. La partition n'est pas très haute et ne comporte pas beaucoup d’aigus, mais les notes se situent dans le Passage, là où c'est le plus difficile pour le ténor. Mais le vrai défi est le phrasé et le texte : il faut en comprendre chaque mot et Saint-Saëns écrit de très longues phrases et lignes mélodiques. En outre : d’un côté Samson doit incarner une certaine maturité, mais aussi la jeunesse. Vous avez besoin de brillance et de clarté vocales pour correctement positionner Samson d’un point de vue musical❞ Roberto Alagna (Prolog Wiener Staatsoper, Entretien croisé , 2018) ​ WERTHER Musique : JULES MASSENET LIVRET : E. Blau, P. Milliet et G. Hartmann D'après Johann Wolfgang von Goethe ​ ❝ Werther est un rôle difficile, un rôle qui tue sur scène mais aussi dans la vie. Depuis mon arrivée [à Bilbao], je ne réussis pas à dormir. C'est un orage, une torture (...). L'amour que Werther ressent pour Charlotte me parle beaucoup ... Chaque soir, on ne peut pas interpréter Werther de la même façon... On ne peut pas le préparer, il faut le vivre ! ❞ Roberto Alagna (Eklektika.com, Un Werther d'anthologie , 2015) Menu ZOOM SUR Haut de page

  • SPECTACLES - PROJETS - TOURS | Roberto Alagna

    Menu ZOOM SUR Bas de page 2023 Capone THE MUSICAL Comédie musicale Janv. 2023 FOLIES BERGÈRE, PARIS Livret, Musique | Jean-Felix Lalanne 2014 MEDITERRANEO SPECTACLE MUSIQUES SACREES DU MONDE concert création 20° Ed. FESTIVAL DE Fès 14 JUIN 2014 ​ Direction artistique | David Alagna Roberto Alagna The Khoury PROJECT Menu ZOOM SUR Haut de page

  • CHRONIQUES | Roberto Alagna

    Bas de page chroniques- INDEX PRODUCTIONS - CONCERTS - SPECTACLES VOIR TOUTES LES CHRONIQUES > 2021 2020 2019 SECTION EN CONSTRUCTION Ancre Chroniques 2021 Rang1 Basilica di San Francesco d'Assisi Italie CONCERTO di Natale THÈME : Concert de Noël ~ TV RAI 5 DATE : Enregistré le 18 décembre 2021 Diffusé sur Rai5 le 25 décembre 2021 DISTRIBUTION : Roberto Alagna - Tenor Hauser - Violoncelle I Piccoli Musici - Choeur d'enfants dirigé par Mario Mora William Eddins - Direction Orchestra Sinfonica Nazionale della Rai PROGRAMME : • Stille Nacht (Gruber + version en polonais en hommage à Jean-Paul II) • Ave Maria (Schubert) • Minuit, Chrétiens (Adolphe Adam) • Panis Angelicus (Franck) • Mille cherubini in coro (Schubert) LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Salle Gaveau, Paris France CONCERT SOLO Be Classical THÈME : Du Théâtre à l'Opéra DATE : 10 décembre 2021 ​ DISTRIBUTION : ​Roberto Alagna - Tenor Mathieu Herzog - Direction Appassionato Ensemble PROGRAMME : • Leoncavallo – Pagliacci : Prologue "Si puo" • Petit – Thème de Cyrano de Bergerac • Alfano – Cyrano de Bergerac : "Je jette avec grâce mon feutre" • Mozart – Don Giovanni : Ouverture • Gluck – Iphigénie en Tauride : "Unis dès la plus tendre enfance" • Gounod – Polyeucte : "Source Délicieuse" • Verdi – Luisa Miller : "O fede negar potessi...quando le sere al placido" • Verdi – Luisa Miller : Ouverture • Giordano – Fedora : "Mia madre... Vedi io piango" • Giodano – Fedora : Intermezzo • Zandonai – Giulietta e Romeo : "Giulietta son io" • Verdi – Otello : "Ora e per sempre" Bis : • Massenet - Le Cid : "Ô souverain, ô juge, ô père" • Puccini - Tosca : "E lucevan le stelle" • Verdi - Otello : "Niun mi tema" • Leoncavallo – Pagliacci : Prologue "Si puo" • Complainte corse - A Capella LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Arena di Verona, Italie CONCERT DUO Aleksandra Kurzak & Roberto Alagna THEME : Puccini ~ House Debut DATE : 5 décembre 2021 ​ DISTRIBUTION : ​Aleksandra Kurzak - Soprano Roberto Alagna - Tenor David Gimenez Carreras - Direction Orchestre de l'Opéra Royal de Wallonie PROGRAMME : • Tosca - « Mario, Mario…son qui » (Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna) • Tosca - Prélude de l’acte 3 (Orchestre) • Tosca - « Recondita armonia » (Roberto Alagna) • Tosca - « Vissi d´arte » (Aleksandra Kurzak) • Manon Lescaut - Intermezzo (Orchestre) • Manon Lescaut - « Tu, tu, amore tu » (Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna) • Madama Butterfly - « Viene la sera… » (Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna) • Madama Butterfly - Prélude de l’acte 3 (Orchestre) • Madama Butterfly - « Tu, tu…piccolo Iddio » (Aleksandra Kurzak) • La Rondine - « Parigi! È la città dei desideri » (Roberto Alagna) • Le Villi - La Tregenda (Orchestre) • La Bohème - « O soave fanciulla » (Aleksandra Kurzak et Roberto Alagna) LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE MobWallonieConc21 MobConcBeClassical21 MobConcAssisi21 Staatsoper Hamburg, Allemagne CONCERT SOLO The Art of ... THEME : A life for Opera: from Händel to Wagner ~ House Debut DATE : 12 novembre 2021 ​ DISTRIBUTION : ​Roberto Alagna - Tenor Morgane Fauchois-Prado - Piano PROGRAMME : • Pergolesi (Lo frate ‘nnamorato) 1732 « Ogni pena più spietata » • Händel (Serse) 1738 « Ombra mai fu » Gluck (Orfeo e Euridice) 1762 « Che farò senza Euridice » • Piano : Gluck (Orphée et Eurydice) Danse des ombres heureuses (arr. Sgambati) • Mozart (Così fan tutte) 1790 « Un’aura amorosa » • Gretry (Zemire et Azor) 1771 « Du moment qu’on aime » • Mehul (Joseph en Égypte) 1807 « Vainement Pharaon » • Piano : Rossini (Péchés de vieillesse) Hachis romantique • Donizetti (L’Elisir d’Amore) 1832 « Adina, credimi » < entracte > • Flotow (Martha) 1847 « Ach so fromm » • Wagner (Lohengrin) 1850 « Mein Lieber Schwan » • Tchaïkovski (Eugene Onegin) 1879 « Kuda, kuda » • Verdi (Otello) 1887 « Niun mi tema » • Puccini (La Rondine) 1917 « Parigi e la città » • Piano : Mascagni (Cavalleria Rusticana) Intermezzo • Alfano (Cyrano de Bergerac) 1935 « Sa lettre … Roxane Adieu » • Alagna (Le dernier jour d’un condamné) 2007 « Non, je ne suis pas un impie » Bis : • In Fernem Land (Lohengrin, Wagner) • Song of India (Sadko, Rimski-Korsakov) • O Sole mio (Chanson napolitaine) ​ LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Staatsoper Unter den Linden in Berlin, Allemagne MADAMA BUTTERFLY Giacomo Puccini RÔLE : Pinkerton DATE : 28 août 2021 01 septembre 2021 04 septembre 2021 ​ DISTRIBUTION : ​ Aleksandra Kurzak - Cio-Cio-San Natalia Skrycka - Suzuki Roberto Alagna - B. F.Pinkerton Alfredo Daza - Sharpless Massimo Zanetti - Direction Eike Gramss - Mise en scène ​ LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Arena di Verona, Italie CAVALLERIA RUSTICANA Pietro Mascagni PAGLIACCI Ruggero Leoncavallo RÔLE : Turiddu & Canio ~ Fest.Debut DATE : 31 juillet 2021 14 août 2021 ​ DISTRIBUTION : ​Roberto Alagna - Turiddu & Canio Aleksandra Kurzak - Santuzza & Nedda Ambrogio Maestri - Alfio & Tonio Marco Armiliato - Direction Gabrielle Muccino - Mise en scène LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE MobButterfly21 MobConcTheArtOf21 MobCavPagVerona21 MobStDenis21 MobSamsonOrange21 Chorégies d'Orange, Théâtre Antique, France CONCERT TRIO Ildar Abdrazakov Ludovic Tézier & Roberto Alagna THEME : Nuit Verdienne DATE : 24 juillet 2021 ​ DISTRIBUTION : Ildar Abdrazakov - Basse Roberto Alagna - Tenor Ludovic Tézier - Baryton Konstantin Chudovsky - Direction Orchestre National de Lyon PROGRAMME : • La forza del destino : ouverture • La forza del destino : air d’Alvaro « La vita è inferno all’inf elice… » (Alagna) • La forza del destino : duo Alvaro-Carlo « Solenne in quest’ora » (Alagna, Tézier) • Oberto, conte di San Bonifacio : air d’Oberto « Ei tarda ancor! L’orror del tradimento » (Abdrazakov) • I Lombardi alla prima crociata : Prélude de l’acte III • Rigoletto : air de Rigoletto « Cortigiani, vil • razza dannata » (Tézier) • Attila : duo Attila-Ezio «Tardo per gli anni, e tremulo» (Alagna, Abdrazakov) • Les Vêpres siciliennes : Ouverture • Don Carlo : Duo Filippo II-Rodrigo « Restate! Presso alla mia persona…» (Tézier, Abdrazakov) • Don Carlo : air de Filippo II « Ella giammai m’amò » (Abdrazakov) • Luisa Miller : air de Rodolfo « Quando le sere al placido » (Alagna) ( • Ernani : air de Carlo « Gran’ Dio!... Oh, de’verd’anni miei » (Tézier) • Macbeth : Prélude • Don Carlo : Un moine « Ei voleva regnare sul mondo » (Abdrazakov) • Don Carlo : air de Carlo « Io l’ho perduta » (Alagna) • Don Carlo : duo Carlo-Rodrigo « E lui!... desso!... l’Infante! O mio Rodrigo! » (Alagna, Tézier) ​ Bis : La Quête, L'homme de la Mancha (Tézier) Funiculi, Funicula (Alagna et tutti) LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Chorégies d'Orange, Théâtre Antique, France SAMSON ET DALILA Camille Saint-Saëns RÔLE : Samson DATE : 10 juillet 2021 ​ DISTRIBUTION : ​Roberto Alagna - Samson Marie-Nicole Lemieux - Dalila Nicolas Cavallier - Le Grand Prêtre Julien Véronèse - Abimélech Christophe Berry - Un messager philistin Nicolas Courjal - Un vieillard hébreu Marc Larcher - Premier Philistin Frédéric Caton - Deuxième Philistin ​ Jean-Louis Grinda - Mise en scène Direction musicale - Yves Abel Orchestre Philharmonique de Radio France ​ LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Basilique de Saint-Denis, Saint-Denis, France CONCERT SOLO Festival de Saint-Denis THEME : Chants sacrés et airs d'opéra ~ Fest.Debut DATE : 10 juin 2021 [Streaming] ​ DISTRIBUTION : ​Roberto Alagna - Tenor David Gimenez Carreras - Direction Orchestre National d'Île de France PROGRAMME : • L'Arlésienne, suite (Bizet) [orchestre] • Pietà Signore (Stradella) • Panis Angelicus (Franck) • L'Enfance du Christ (Berlioz) • Rosamunde, entr'acte n°3 [orchestre] • Ave Maria (Schubert) • Le Cid, Ah tout est bien fini, (Massenet) • Lohengrin, prélude Acte 1 [orchestre] • Lohengrin, Nun sei bedankt (Wagner) • Lohengrin, In fernem Land (Wagner) • Lohengrin, Mein lieber Schwann (Wagner) Bis : • Ave Maria (Gounod) • Notre-Père - A Capella (Alagna) ​ LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE MobNuitVerdienne21 Staatsoper Unter den Linden, Berlin, Allemagne LOHENGRIN Richard Wagner RÔLE : Lohengrin ~ Prise de rôle DATES : 13 décembre 2020 [Streaming] 19 décembre 2020 [Annulé Covid 19] 22 décembre 2020 [Annulé Covid 19] 28 décembre 2020 [Annulé Covid 19] 30 décembre 2020 [Annulé Covid 19] 03 janvier 2021 [Annulé Covid 19] DISTRIBUTION : René Pape - Heinrich le vogler Roberto Alagna - Lohengrin Vida Mikneviciute - Elsa de Brabant Marti Gantner - Friedrich von Telramund Ekaterina Gubanova - Ortrud ​ Matthias Pintscher - Direction Musicale Calixto Bieito - Mise en scène Rebecca Ringst - Scénographie Ingo Krügler - Costumes ​ Orchestre et chœurs Staatsoper Berlin unter der Linden LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Wiener Staatsoper, Vienne, Autriche PAGLIACCI Ruggero Leoncavallo RÔLE : Canio- Pagliaccio DATES : 30 octobre 2020 02 novembre 2020 [+Streaming] 05 novembre 2020 [Annulé Covid 19] 09 novembre 2020 [Annulé Covid 19] 12 novembre 2020 [Annulé Covid 19] DISTRIBUTION : Aleksandra Kurzak - Nedda Roberto Alagna - Canio Ambrogio Maestri - Tonio Sergey Kaydalov - Slivio Marco Armiliato - Direction Musicale Jean-Pierre Ponnelle - Mise en scène Orchestre et chœurs de l'Opéra de Vienne LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Bayerische Staatsoper, Münich, Allemagne MADAMA BUTTERFLY Giacomo Puccini RÔLE : Pinkerton DATES : 16 octobre 2020 18 octobre 2020 23 octobre 2020 DISTRIBUTION : ​ Aleksandra Kurzak - Cio-Cio-San Alisa Kolosova - Suzuki Roberto Alagna - B.F. Pinkerton Markus Brück - Sharpless Carlo Bosi - Goro Nakodo Daniele Callegari - Direction Musicale Loup Busse - Mise en scène Otto Stich - Décor Silvia Strahammer - Costumes Stellario Fagone - Chœurs Bayerisches Staatsorchester Chœur du Bayerische Staatsoper LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Ancre Chroniques 2020 Rang1 MobPag20 MobButterf20 Gran Teatro del Liceu, Barcelone, Espagne CAVALLERIA RUSTICANA Pietro Mascagni PAGLIACCI Ruggero Leoncavallo RÔLE : Turiddu & Canio DATES : 05 décembre 2019 09 décembre 2019 13 décembre 2019 18 décembre 2019 [+Radio] ​ DISTRIBUTION : ​ Roberto Alagna - Turiddu & Canio Aleksandra Kurzak - Nedda Elena Pankratova - Santuzza Gabriele Viviani - Tonio & Alfio Henrik Nánási - Direction Musicale Damiano Michieletto - Mise en scène ​ Orchestre et Chœurs Teatro Liceu de Barcelone LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Opera National de Paris Bastille, Paris, France DON CARLO Giuseppe Verdi RÔLE : Don Carlo DATES : 25 octobre 2019 28 octobre 2019 31 octobre 2019 04 novembre 2019 07 novembre 2019 11 novembre 2019 DISTRIBUTION : ​ Roberto Alagna - Don Carlo René Pape - Philippo II Aleksandra Kurzak - Elisabeth De Valois Etienne Dupuis - Rodrigo Vitalij Kowaljow - Le Grand Inquisiteur Anita Rachvelishvili - Princesse Eboli Fabio Luisi - Direction Musicale Krzysztof Warlikowski - Mise en scène Małgorzata Szczęśniak - Décors Costumes Orchestre et Chœurs ONP LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Royal Opera House, Londres, Royaume-Uni ANDREA CHENIER Umberto Giordano RÔLE : Andrea Chenier DATES : 24 mai 2019 28 mai 2019 31 mai 2019 03 juin 2019 06 juin 2019 09 juin 2019 DISTRIBUTION : ​ Roberto Alagna - Andrea Chenier Sondra Radvanovsky -Maddalena di Coigny Dimitri Platanias - Carlo Gérard Rosalind Plowright - Comtesse de Coigny Christine Rice - Bersi Elena Zilio - Madelon Stephen Gadd - Pietro Fléville Germán E Alcántara - Dumas Aled Hall - L'Abbé, un poète Carlo Bosi - L'Incroyable, un espion David Stout - Roucher Jeremy White - Schmidt Daniel Oren - Direction Musicale David McVicar - Mise en scène Orchestre et Chœurs ROH of London LIRE LES CRITIQUES ICI > REVUE DE PRESSE Ancre Chroniques 2019 Rang1 MobDonCarlo19 MobChenier19 SECTION EN CONSTRUCTION SECTION EN CONSTRUCTION Haut de page

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